Me voici. En appeler à l'amour de l'art auprès d'un public dont, a priori, on ne sait guère mieux aujourd'hui que du temps de Manet s'il aura l'esprit suffisamment éduqué, le regard suffisamment aiguisé, le coeur suffisamment ouvert pour se laisser toucher, est infiniment plus difficile après Duchamp qu'avant, parce que la part la plus informée de ce public sait ou croit savoir que les jeux sont faits : si c'est au musée, c'est de l'art. Le reste du public n'a que l... >Voir plus