Cher François,
C'est en constatant que ta vie de débauche ne t'apportais pas grande joie que tu as décidé de la consacrer à Dieu. Tu t'es débarrassé du superflu, tu as choisi une pierre en guise d'oreiller, tu as consacré ton temps à reconstruire la maison du Seigneur, à entrer en relation avec les pauvres et les malades. Tu as pris le temps d'écouter chanter les oiseaux, de remercier le soleil pour sa chaleur, l'eau pour sa fraîcheur et Dieu pour sa splendeur.
Toi François, surnommé le Poverello, tu peux être considéré comme le premier écologiste chrétien. Tu respectais toute forme de vie, animale et végétale, tu répandais la Bonne nouvelle de Jésus-Christ autour de toi et quand "notre Sœur la Mort", comme tu la nommais, t'a emporté, tu es parti sereinement persuadé de rejoindre le Dieu de Miséricorde qui t'a accompagné durant ton existence.
Ta vie a tellement marqué les générations qu'au vingt-et-unième siècle un Pape a décidé de porter ton nom pour bien montrer que l'humilité et le partage devraient être les fers de lance de tout chrétien. Il intervient sur chaque page et nous pouvons apprécier des citations tirées de ses discours ou de ses homélies. C'est en ton nom qu'il a prononcé cette parole : "comme je voudrais une église pauvre et pour les pauvres".
Ton œuvre chrétienne a inspiré les plus grands artistes, ils ont mis ta vie en tableaux et nous pouvons admirer, dans cet ouvrage, ceux que l'auteur a choisis pour illustrer ton histoire. J'ai donc appris à te connaitre un peu mieux et à apprécier la façon dont tu as mené ta vie, sans jamais te décourager et en faisant entièrement confiance à ton père du ciel.
Merci pour ton message qui a traversé les époques et qui est toujours d'actualité aujourd'hui, car le fossé entre les pauvres et les riches ne s'est pas comblé.
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Commence par faire le nécessaire, puis fais ce qu'il est possible de faire et tu réaliseras l'impossible sans t'en apercevoir. (Saint-François d'Assise)
Un Pont des arts de Géraldine Elschner et Fred Sochard pour commémorer le centenaire de la Première Guerre mondiale. C?est avec Fernand Léger et la fraternisation franco-allemande que nous avons souhaité l?évoquer.