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3,92

sur 691 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Un livre très moyen. L'histoire est intéressante... au début. On s'ennuie très vite par un rythme particulièrement lent et une écriture laborieuse.
Je ne comprends pas la succès de ce roman, mais je pense qu'il faut essayer pour se faire véritablement un avis.
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Mariana ENRIQUEZ. Notre part de nuit.

Dès que je vois un gros livre, que se soit sur les étals des librairies ou sur le présentoir de la médiathèque, je m'en empare. J'espère passer de belles heures de lecture. D'autant que la quatrième de couverture me convient. Oui, j'ai lu le résumé.

Déception. Je n'adhère pas du tout aux séances de spiritisme avec médium et sacrifices humains, mutilations, etc.... 760 pages. Non ce genre littéraire ne m'est pas destiné. J'ai cependant lu jusqu'à la page 233. Je ne peux poursuivre ma lecture. Peut-être, suis-je trop sensible? Je vais de ce pas restituer cet ouvrage à la bibliothèque: il trouvera certainement un autre lecteur. Et je vais cependant lire les avis des babelionautes. ( 15/04/2022)


Lien : https://lucette.dutour@orang..
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Attirée par la couverture de ce livre et le bandeau rouge invitant à se laisser emporter par un nouvel ovni littéraire, j'ai abordé Notre Part de Nuit en m'attendant à un roman baroque, haletant, que je ne parviendrais pas à lâcher tant que je ne l'aurais pas terminé.
De fait, malgré mes difficultés à totalement apprécier ce roman, je n'ai pas pu le fermer jusqu'à avoir le fin mot de cette histoire: la promesse est donc tenue de ce côté.

Cependant, je ressors de ma lecture avec quelques réserves: peut-être faut-il mieux connaître que moi l'histoire de l'Argentine pour apprécier la métaphore (je reconnais que mes connaissances sur l'histoire du continent Sud-américain est plus que lacunaire!), ce qui explique certainement une partie de mes difficultés à entrer totalement dans ce récit.
Malgré tout, ce n'est pas le seul problème de cet ouvrage qui, à mon sens, joue avec les genres sans vraiment aller au fond de l'un d'eux. Roman horrifique, roman fantastique, roman historique ? On comprend bien que l'autrice ne désire pas se limiter à un style, et après tout pourquoi pas car les cases sont souvent restrictives... Mais on se retrouve laissé pour compte dans chacun de ces styles. La plupart du temps, un début d'explication est donné pour chacune de nos questions, mais aucune ne reçoit de réponse complète, ce que j'ai trouvé très frustrant.

Au-delà de cette critique sur le fond, je dirais que sur la forme on ressort de ce livre avec un sentiment poisseux, très lourd, certainement dû au registre assez glauque de l'écriture. de ce côté-là, le lecteur est servi, avec des descriptions parfois répugnantes, d'autres fois inquiétantes, certaines fois impudiques - serait-on finalement dans un tableau de Jérôme Bosch? - mais j'ignore encore si celles-ci nuisent au récit ou lui confèrent sa force.

En résumé, je ressors de cette lecture avec le sentiment assez rare de ne toujours pas savoir si j'ai aimé ou détesté Notre Part de Nuit. C'est peut-être cela qui lui a permis d'obtenir le qualificatif d'ovni littéraire : l'incapacité à le classer dans un genre, ni même à définir les sentiments qu'il fait naître chez nous, si ce n'est une sorte de fascination dégoûtante.

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Quand un bouquin traine une semaine sur ma table, ce n'est pas bon signe du tout. J'aime bien le fantastique, les pavés ne me font pas fuir, le pitch avait tout pour me plaire, mais c'est long, c'est redondant, difficile de s'attacher à quelque personnage que ce soit, la relation père fils ne m'a absolument pas convaincue, les allers-retours dans le temps n'apportent pas grand-chose, bref, je suis passée complètement à côté et les 150 dernières pages ont été lues en diagonale.
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J'ai beaucoup vu passer ce roman à sa sortie et lu pas mal de critiques donnant très envie.
C'est donc confiante que je me suis lancée dans cette lecture mais très vite j'ai compris que je n'irai pas au bout de ce pavé de 760 pages.

Le début de l'intrigue ne m'a pas embarqué dans le road trip du père avec son jeune fils. le personnage du père est peu sympathique, le but de chacun est nébuleux et plus j'avance dans la lecture plus je décroche. Après avoir lu 220 pages, j'abandonne. Cela m'arrive rarement mais là le livre me tombe des mains. Dommage.
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Tout ça pour ça ?

Un style inexistant qui confine à la banalité, une intrigue fantastique de bas-étage et téléphonée que finit d'achever une résolution simpliste et ridicule, des personnages unidimensionnels se démarquant particulièrement par leur insignifiance.
Honte à ma libraire qui a osé le le conseiller.
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Où l'on apprend que Féodor Atkine n'est pas tout-puissant (mais pas loin cependant).
Je sais, vous n'y croyez pas, je parle de Féodor Atkine, qui peut faire vibrer n'importe qui sur n'importe quel texte, qui m'a terriblement émue par sa lecture de Enfant de Salaud de Sorj Chalandon, bref un de mes lecteurs favoris (avec Benjamin Jungers bien sûr).
Autant vous dire que le prestige de Féodor Atkine ajouté aux nombreuses critiques élogieuses lues, je partais plus que confiante en entamant l'écoute de Notre part de nuit.
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Mais... le seul mot qui me vient à l'esprit pour décrire mon écoute de Notre part de nuit, c'est : ennui.
Dès les premières heures (le livre audio dure tout de même 27 heures), je n'ai pas accroché à l'histoire. Juan, ce veuf ayant de mystérieux pouvoirs et la charge de son fils Gaspar depuis que sa femme Rosario est morte, m'a été immédiatement antipathique et l'aspect fantastique du roman m'a laissée de marbre.
Le point de vue narratif change au cours du roman mais à chaque fois, mon léger espoir s'accompagnait de la même déconvenue : qu'il s'agisse de Rosario et du récit de sa jeunesse dorée/débridée, ou de Gaspar enfant puis jeune adulte, l'encéphalogramme restait plat.
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La métaphore sur la situation de l'Argentine m'a de ce fait totalement échappé, et je trouve cela dommage mais il faut croire que ce récit n'était tout simplement pas fait pour moi.
Les trois lecteurs étaient d'ailleurs parfaits et c'est bien grâce à eux que j'ai écouté l'intégralité du roman, certainement qu'en version papier, j'aurais abandonné au bout de 200 pages.
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Je l'ai lu jusqu'au bout, mais j'ai trouvé ça bien long. Car on finit par se lasser de tout. Bien sûr, on peut s'intéresser à l'histoire récente de l'Argentine, mais d'autres livres le font sûrement aussi bien. Quant à l'imaginaire... Tout ceci est tellement peu crédible ! On me dira que l'auteur a beaucoup d'imagination. Mais dans ce cas, pourquoi cette fin, tellement prévisible ?
Pourquoi, donc suis-je allé jusqu'au bout ? Sans doute parce que j'ai trouvé que c'était bien écrit, dans un style très agréable. Il ne faut donc pas oublier de saluer l'excellent travail de la traductrice
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Je n'avais pas spécialement l'intention de publier des critiques ici mais là je me suis dit qu'il fallait quand même que je me fende d'un petit mot pour donner mon avis sur un livre qui a été encensé par certains articles et un de mes amis.
J'avoue je suis déçue. le pitch de base m'intéressait vraiment et je ne m'attendais pas à trouver cela aussi long et ennuyeux. J'ai tenu environ 40% du livre avec toutes les peines du monde et un vrai ennui par moments, ensuite j'ai lu en diagonale et j'ai été chercher les explications sur le net. Je ne comprends pas l'intérêt de ce récit, il part sur une histoire qui ensuite s'égare dans des détails totalement inutiles, puis revient sur le point de vue d'un personnage secondaire, puis finit sur un espèce de truc étrange qui finalement n'explique rien. C'est vraiment un style d'écriture que je n'apprécie pas.
Je ne parle pas des personnages. le père bat son fils et le force à vivre et à faire des choses au nom d'un culte… j'ai beaucoup de mal avec cette espèce de violence et d'égoïsme total. Bref, j'ai pas aimé.





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C'est chiant ce livre.
On peut dire ce qu'on veut mais c'est redondant et j'ai du me forcer pour le terminer. Malgré quelques bons passages l'intrigue ne prend pas et le style ne racheté pas l'intrigue foireuse.
Le succès de ce livre est inexplicable.
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