Hélas trois fois hélas .Il est loin le temps de la folie .Oh, qu'il est loin l'esprit de Maitre
Erasme dans son éloge. Avec cette traduction de paresseux Mr.de Nolhac, nous permet de le deviner ce texte (merci) mais jamais de le sentir, de revivre le trouble qu'il a provoqué à la Sorbonne, dans le monde ecclésiastique, et dans la société impie mais bienpensante de ces siècles de confusion. Horace,
Homère,
Virgile et autres Théocrites,(notes en fin de texte vers lesquelles Nolhac nous renvois sans cesse) sont autant de parades pour ne pas faire l'effort de rendre le texte vivant. Pourquoi l'avoir traduit alors ? J'en devine plusieurs des raisons et l'humaniste qu'était
Erasme n'aurait aimé aucune.
Marie Madeleine Fragonard reviens