J. de Boschère dit dans l'une de ses préfaces : " Tous mes poèmes contiennent une lueur de ma folle espérance". Dans le poème de "Job", il reste encore à celui-ci, dans la misère et les souffrances, un sourire:
Je pleure
Certes Job pleure.
Mais son cœur était repris d'enfance,
gonflé de tendresse romantique.
C'était la minute où le gris du soir est un peu rompu
Et l'oiseau dit deux notes à la nuit qui vient.
des voiles violets habillaient les tristes choses
Même dans le salon usé entrait la gloire;
Et la mère approchait la chaise,
elle tirait les brioches du four;
Elle se redressait:
j'ai l'espoir que... (p. 129-130)
Littérature
Emission publique présentée par François-Régis BASTIDE et
Michel POLAC consacrée à la
littérature en compagnie des critiques, Nicole VEDRES, Guy DUMUR,
Luc ESTANG,
François NOURISSIER,
Robert KANTERS et l'invité de la semaine, l'écrivain
Alain ROBBE-GRILLET. Les intermèdes musicaux sont interprétés à la guitare par Romano.
- Courrier des auditeurs
- à 03'15" : "Luna Park" d'Elsa...