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Y. Darcy (Illustrateur)J. Malval (Autre)5/5   1 notes
Résumé :
Livre écrit par un Capitaine de l'Infanterie Coloniale sur Pékin.
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Que lire après Pékin ses palais, ses temples et ses environsVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Un intéressant livre un peu ancien, mais qui probablement peut servir d'aide au touriste, puisqu'au début, on propose des circuits rapides, dont on peut s'inspiré si on a la chance de prendre le temps ! Et à la fin du livre, des adresses utiles sous formes d'encarts publicitaires.
On nous le dit dès le début : ce livre n'est pas pour le sinologue, mais pour e touriste, pour qu'il prépare en connaissant le minimum de cuture chinoise pour bien profité de tout ce que l'apport culturel chinois peut fournir en un temps réduit. Cependant, pour le futur sinologue qui n'a pas encore de base, le passionné encore inculte, page blanche sur lequel doit s'inscrire un minimum de cuture chinoise, ce livre peut être d'une grande aide, surtout s'il veut bien connaître les bases de 'histoire et de la culture autour de Pékin !
Au début, après la préface, des illustrations, plan montrant trois voies principales de voyages depuis Paris : deux par le sud et un par la Russie, suivie de plans de la ville, mais bien d'autres illustrations suivrons.... je n'ai pas hélas les illustrations couleurs qui ont été rajoutées pour des éditions limités comme indiqué avant la préface, mais c'est déjà une source infiniment riche ! Oui, sur la Chine, en MTC ou pour le reste de la culture, si on a du mal à les trouver, il y a pourtant bien plus de sources qu'on ne le croit et en Français, une source que l'on doit à un capitaine de l'infanterie de marine, et illustrée grâce à deux personnes qui l'ont aidé !
Après une brève histoire de la ville en la remettant dans un contexte d'histoire globale de la Chine et en faisant des parallèles temporelles avec l'histoire occidentale pour bien fixé es repères simples ( notamment à retenir, les 4 principaux philosophes chinois, à l'époque des philosophes grecques, et à l'époque de Louis XIV des pères Jésuites français ! On n'oubliera pas bien sûr, de replacer la révolte des Boers, dans le contexte très occidentale du film les 55 jours de Pékin, ces repères sont importants pour l'occidentale !) on nous parle des quatre villes autrefois séparées qui constituent aujourd'hui Pékin la ville Tatare, la Ville Impériale, la Cité Interdite, la Cité Chinoise, 4 endroits à bien repérer dans l'espace pour pouvoir se diriger correctement !
Un précieux outil pour le touriste qui veux vraiment connaître la culture chinoise, et pas juste survolé le paysage en visitant quelques musées en se laissant envahir par une culture moderne sans saveur au coeur de spectacle moderne, de restaurants et de boite de nuit... ici on vous invite au vrai Pékin traditionnel, et tellement de monuments et de lieux sont décrits pour Pékin et ses environs que vous vous dites, mais jamais je n'aurais le temps de tout voir! D'où l'intérêt des parcours rapides proposer au début, et si vous avez plus de temps, libre à vous de passer plus de temps sur quelques lieux, mais on se dit à lui seul, Pékin mériterait un mois de visite.... mais qui a vraiment un mois pour Pékin seul ? Alors c'est comme pour notre Versailles, une toute petite partie de Paris, il faudra adapter au temps que l'on a si on a la chance d'aller là-bas, en n'oubliant pas que non ce n'est pas une chance ouverte à tous les Français.... alors comportons-nous là bas avec un minimum de décente, de respect, et de politesse.... si chères aux Chinois quoiqu'en disent certains.
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
En 1289, le pape, intéressé par les bonnes dispositions du Grand Khan (empereur Moghol) vis à vis de la religion chrétienne, à la suite des démarches des frères Polo, envoya Jean de Montcorvin, avec le titre de léga et nonce auprès de la cour de Kanbaliq. Après un arrêt dans les Indes, le léga arriva à Pékin, terme de son voyage en 1298. Il y demeura seul pendant 11 ans, rejoint ensuite par le frère Arnold (Allemand). Il gagna à la religion catholique un prince de la famille de l'Empereur. Et en 1305 il y avait à Pékin deux églises et un missionnaire, léga du pape, ayant ses entrées dans le palais. [note de Pégase Shiatsu : moralité, si l'on doit nier la présence de Marco Polo en Chine, c'est dans les archives papales qu'il faut cherché et vérifié l'orrigine de cette délégation papale! et non pas dans une sordide histoire de nombre de mats de bateau et d'absence de Marco Polo dans des archives chinoises... alors que bien des documents ont du être disparus avec le palais du Grand Khan à l'époque de la construction de la cité interdite qui le remplaça! Preuve que oui, au lieu de crié victoire, certaines p.. se prenant pour des historiennes, feraient mieux de la boucler dans les documentaires, aussi grotesque que le livre qui prétendait que Jeanne d'Arc était un homme ! ]
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Les lamas ont retenu du Taoïsme cette lois du moindre effort qui leur a suggéré ces solutions dont on ne peut qu'admirer le caractère pratique.
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Du reste, les Chinois sont, à ce point pleins d'une douce philosophie : "Tous les chemins sont bons, disent-ils, pour aller au ciel', et il n'est pas rare de voir le prêtre bouddhiste et le prêtre taoïste réciter leurs prières côte à côte auprès du lourd cercueil chinois contenant le trépassé.
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L'lly Miao, construit en 1764, se dresse majestueusement à l'est de la rivière. Il est du plus pur style chinois. Ce temple renferme une énorme statue de la déesse Târâ, représentée sortant du calice d'une fleur de Lotus. Son nom rappelle la rivière Ily et sa vallée fertile.
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Le Potala. en 1767, ayant atteint l'âge de soixante ans, l'Impératrice Douairière elle-même, entra dans ses quatre-vingts ans, Ch'ien Lun ordonna la construction du Potala, sur le modèle du monastère de Lhassa, en même temps résidence du Dalaï Lama, que le cinquième Grand Pontife Tibétain avait fait, au XVIIe siècle, construire en sa capitale.
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