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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je remercie Mylène, des éditions L'Archipel, pour l'envoi via net galley du thriller : L'accompagnateur de Sebastian Fitzek.
À Berlin, peu après 22 heures, Jules est au standard d'un service d'accompagnement dédié aux femmes en danger.
Son premier appel est celui de Klara, terrorisée à l'idée d'être suivie par un psychopathe.
Un homme qui a peint en lettres de sang la date de sa mort dans sa propre chambre à coucher.
Et ce jour se lèvera dans deux heures !
L'accompagnateur est un thriller oppressant, troublant, angoissant.. mais surtout d'un incroyable violence.
Où donc l'auteur va t-il trouvé un truc pareil ?
Avec lui, les femmes ont de quoi avoir peur ! Il arrive à Klara des choses hyper dures, difficiles à lire même quand on a le coeur bien accroché.
J'ai l'habitude de lire des histoires atroces mais là j'avoue avoir été mal à l'aise à de nombreuses reprises. C'est trop pour moi.
Certains personnages font preuve d'une grande perversité et j'ai trouvé cette lecture réellement difficile.
Je ne peux pas dire que j'ai passé un bon moment de lecture !
C'est un très bon thriller, tous les ingrédients sont réunis pour captiver le lecteur.
J'aime cet auteur, sa façon de jouer avec nos nerfs.
Toutefois, à cause de l'extrême violence de ce roman cette fois ci cela n'a pas fonctionné avec moi.
Je sais que je relirais cet auteur mais je ne mets que trois étoiles à L'accompagnateur.
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Avec cet auteur c'est plutôt quitte ou double pour moi j'ai beaucoup aimé certains de ces récits et beaucoup moins aimé d'autre.

Mais je dois reconnaitre que la curiosité pour ces écrits est toujours présente et l'écriture de l'auteur se lit tout de même très bien ce qui fait que j'y reviens à chaque nouvelle parution. J'ai également eu la chance de rencontrer l'auteur plusieurs fois durant des salons littéraires et je dois reconnaitre que celui-ci est extrêmement sympathique.

Ici première surprise pour moi le thème du roman car il s'agit de violence conjugale et plus globalement également les violences faites au femme.

Jules est un jeune homme qui est bénévole au service d'accompagnement, il reçoit un appel d'une femme se nommant Klara un soir à 22 heures. A ce service d'accompagnement les personnes on très peu de temps au final pour prendre des décisions suivant les dires des personnes au bout du fil, les situations pouvant être plus ou moins alarmantes.

Mais dès le début la situation de Klara semble plus qu'alarmante elle semble en effet être suivie, au fil du récit nous en apprenons plus sur cette situation et le récit devient de plus en plus haletant avec un compte à rebours qui se met en place.

J'ai aimé en apprendre plus sur ces deux personnages que sont Klara et Jules, leurs psychologies est plutôt bien décrites et les pages défilent rapidement, Sebastian Fitzek est tout de même maitre pour les récits à haute tension.

Malheureusement le final ne m'a pas convaincue, celle-ci m'a semblé un peu facile.

Mais je reconnais l'écriture toujours autant addictive de l'auteur et le thème plus qu'intéressant de cette lecture.
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En avril dernier, j'ai lu mon premier Sebastian Fitzek, le cadeau, un thriller psychologique complexe qui m'avait beaucoup emballée. Je renouvelle l'expérience avec L'accompagnateur, une histoire toute aussi glaçante, que j'ai appréciée lire, que j'ai trouvé entraînante, mais dotée d'une intrigue un peu trop tarabiscotée.

Dans L'accompagnateur, Jules se retrouve au standard d'un service d'accompagnement pour les femmes en danger. Son rôle : les rassurer, les guider, leur parler, pour éviter qu'elles ne soient seules, ou dans les cas les plus graves, pour les aider. Un soir, il prend l'appel de Klara, une femme terrorisée par son mari violent, qui souhaite se donner la mort, seule échappatoire qu'elle ait trouvée pour échapper à son emprise. Jules va tenter de comprendre son histoire. Il découvre que Klara est victime de violences conjugales de la part de son mari, qui s'amuse à l'emmener dans des endroits lugubres pour la soumettre à des jeux de rôles pervers. Mais un jour, Klara se retrouve face à un dilemme inimaginable : un tueur en série, surnommé le « tueur au calendrier », lui demande de tuer son mari violent… le cas échéant, ce sera elle qui sera tuée.

C'est un thriller psychologique sombre, particulièrement complexe, où les personnages prennent la parole à tour de rôle pour nous livrer leur point de vue sur l'histoire. L'alternance des chapitres – assez courts, de surcroit ! – est intéressante et apporte une bonne dynamique au récit.

Malheureusement, je déplore l'imagination débordante de Sebastian Fitzek, qui m'a passablement perdue au fil du récit. L'histoire commençait bien, tout concordait, jusqu'à ce qu'on se perde dans les méandres d'une intrigue tirée par les cheveux, bien trop invraisemblable. Je trouve audacieux le fait de sortir des lignes et de proposer une histoire originale, éloignée des thrillers classiques, mais au final, on ressort confus et frustré de cette construction qui manque de concordance.

Néanmoins, il faut souligner la prise de position de l'auteur vis-à-vis de la thématique des violences conjugales. Ici, il met en scènes des femmes prises dans des situations particulièrement choquantes, comme notre protagoniste Klara, vendue à l'heure par son mari à des inconnus, filmé par ce dernier lors de jeux de rôle humiliants et sanglants, avant de mettre la vidéo en ligne sur des plateformes spécialisées. En Allemagne, pays de l'auteur, un service d'assistance téléphonique géré par des bénévoles existe réellement pour les femmes qui se sentent en danger – il n'est pas dédié uniquement aux victimes de violences, comme en France avec le 3919, mais concerne également les femmes qui rentrent seule du travail le soir où celles qui se retrouvent isolée dans un transport en commun et qui ressentent un sentiment de menace… Une initiative qui devrait être étendue à d'autres pays, tant l'idée est bonne et rassurante. Enfin, Sebastian Fitzek essaie d'apporter quelques réponses psychologiques qui ont mené le mari de Klara à de tels horreurs : une haine des femmes héréditaire, une enfance brisée, des traumatismes d'enfance… des éléments intéressants, qui nous poussent à réfléchir sur l'origine de la violence pour y apporter des semblants de solutions.

Un thriller psychologique complexe sur la violence conjugale. Un récit dynamique et bien mené, mais trop tarabiscoté, avec des situations totalement invraisemblables.
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Habituellement fan de cet auteur, je me suis perdue cette fois dans cette lecture ... L'histoire est pourtant noire et gore comme je les aime mais trop invraisemblable . Les personnages sont très spéciaux et donnent envie de les connaitre davantage mais l'association ne m'a pas convaincue, trop de choses bizarres que je n'ai pas réussi à assembler ensemble à la fin du récit ...
Dommage !
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Si vous avez un petit coup de déprime, ce roman vous permettra de relativiser vos souffrances ! Je n'ai jamais rencontré de personnages aussi malchanceux et torturés.
Jules, interlocuteur d'un service téléphonique d'urgence, prend l'appel de Klara, une jeune femme terrorisée.
A travers leur conversation, nous faisons connaissance des deux antagonistes, personnages caricaturaux, qui ont traversés des situations plus qu'improbables. Leur périple est compliqué, alambiqué mais à la fin ça se dénoue…à l'image des pages précédentes, il faut beaucoup de naïveté pour adhérer.
Bref, ce dernier roman de Sebastian Fitzek permet de se divertir mais ne restera pas gravé dans les annales.
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J'attendais cette sortie avec impatience. Il faut dire que Fitzek est l'un de mes auteurs préférés, c'est lui qui m'a donné goût au thriller psychologique. Et le résumé avait tout pour plaire.

Jules Tannberg, 35 ans, remplace son ami à la permanence de la centrale d'appel d'urgence. Nous sommes à Berlin et un serial killer sévit depuis plusieurs mois. Il est surnommé « le tueur au calendrier », car il a pour habitude d'écrire la date de la mort sur le mur avec le sang de sa victime. Lorsque Jules prend l'appel de Klara, sa vie bascule. En effet, la jeune femme, assistante médicale, se dit poursuivie par un tueur.

Malheureusement, cette lecture ne s'est pas hyper bien passée…Le prologue nous laisse dans le flou, j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire. D'autant que les premiers chapitres nous baladent entre maintenant, quelques heures plus tôt, trois mois plus tôt, etc….Cette temporalité diverse et variée m'a perdue d'entrée de jeu, j'ai horreur de ça. Naviguer d'un moment à un autre sans cesse m'agace.

Ensuite, il y a trop de mystères, trop de rebondissements, trop de zones d'ombre….finalement jamais éclairées. César, le meilleur ami de Jules, qu'il remplace au standard du centre d'appel, est en fauteuil roulant suite à un accident. Premier mystère. le passé de Jules est terrifiant, second mystère. Klara a fait un séjour dans une clinique pour un essai thérapeutique, troisième mystère. Trop de mystère tue le mystère. du coup, j'ai trouvé l'ensemble brouillon.

Pourtant, la situation de départ est passionnante, la peur de Klara et la voie apaisante de Jules transportent le lecteur à travers les événements. Cela permet de s'attacher aux deux protagonistes, surtout Klara, qui se révèle être dans une situation bien compliquée.

Alors oui, niveau thématique, on est dans le dur : les violences conjugales. Vues sous tous les angles : le mari violent, la femme soumise, l'enfant traumatisé. Fitzek balaye large, il est complet, il a bossé sur son sujet, qu'il maîtrise parfaitement. Les scènes de violences sont dures à supporter. On entre dans le sexe tabou, celui qui se pratique à plusieurs, dans l'ombre, et qui laisse des traces….Il faut que le lecteur soit bien accroché.

Oui, il y a une réelle tension psychologique qui augmente au fil des pages, dévoilant peu à peu les coins sombres des personnages, déboussolant le lecteur, qui perd ses repères et ne sait plus qui dit vrai, qui est fou (c'est peut-être le lecteur le cinglé, finalement…). L'histoire est captivante, on attend la fin. J'ai dévoré les pages, avide de découvrir le dénouement, et surtout, savoir si Klara réussira à échapper à son agresseur qui en veut à sa vie. Et, accessoirement, savoir qui il est !

L'écriture de Fitzek est d'une fluidité déconcertante. Les chapitres courts se terminent souvent par des cliffhangers rendant la pose du roman quasi impossible.

Mais, car il y a un gros mais…..Klara cumule les ennuis de taille. C'est trop pour une seule personne ! A qui cela peut-il arriver ? Franchement ? Son mari est d'une violence inouïe avec elle, elle est poursuivie par un tueur, elle veut se suicider mais n'y arrive pas, et je ne vous dévoile pas tout !….Autant je l'appréciais au début, autant elle m'a vite agacée. Son manque de réaction, sa mollesse face aux événements m'ont laissée sans voix.

Le récit est devenu de plus en plus confus et de moins en moins crédible à mes yeux au fur et à mesure que j'avançais dans l'intrigue. du coup je n'ai pas pris autant de plaisir que prévu avec ce roman. Bien entendu, ce n'est que mon ressenti personnel. Si le résumé vous tente, allez-y, n'hésitez pas, lisez « L'accompagnateur ». Je sais qu'il trouvera son public.

Je remercie les Éditions L'Archipel pour cette lecture.

#laccompagnateur #SebastianFitzek #LArchipel

« La porte n'était plus retenue que par le gond supérieur, son bois bas de gamme déchiqueté à la hache à hauteur d'homme. Elle était béante, sa face intérieure exposée à Jules, de sorte qu'il distingua tout en bas ce qui resterait le spectacle le plus abominable de toute sa vie, une chose qu'il n'oublierait jamais, jamais, jamais. »

Lien : https://soniaboulimiquedesli..
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Jules effectue un remplacement au standard d'un service téléphonique pour les femmes qui se sentent en danger. Rares sont les situations critiques mais ce samedi soir , l'appel de Klara va changer la donne. La jeune femme est terrifiée à l'idée d'être la prochaine cible d'un tueur qui lui a déjà dévoilée la date de sa mort en l'écrivant avec du sang sur les murs de sa chambre. Il ne lui reste que quelques heures avant la date fatidique. Elle craint aussi son mari violent et commence alors le récit de ce qu'il lui fait endurer.
On retrouve le style brut de l'auteur qui n'hésite pas à détailler les pires atrocités de façon très visuelle, en alternant les points de vue de Jules et de Klara. Si bien qu'il arrive un moment où ma lecture est devenue malaisante, âmes sensibles s'abstenir, trop c'est trop. Alors même si je reconnais à l'auteur un talent pour maintenir un haut niveau de suspense et nous captiver avec des chapitres courts et de nombreux retournements, je n'ai pas réussi a dépasser certaines incohérences. On part dans une violence verbale, physique, psychologique et sexuelle à tout va, une surenchère qui ne se justifie pas, comme si en faire toujours plus allait faire que ce soit mieux. Au contraire plus c'est exagéré plus ça perd en crédibilité et pour moi c'est rédhibitoire. J'ajoute à cela une faiblesse dans la construction des personnages, notamment celui de Karla qui n'a généré aucune attache de ma part voir une certaine frustration face à ses réactions, ce qui est gênant dans un thriller psychologique. Je n'ai pas été convaincue par ce thriller malgré le thème des violences faites aux femmes qui me passionne généralement. Je suis certaine qu'il trouvera son public mais j'attendais plus de ce thriller. Bonne lecture.
Lien : http://latelierdelitote.cana..
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c'est le 14ème roman de Sebastian Fitzek publié en France. Et entre nous, même si j'attends impatiemment chacun de ses romans, je trouve que l'auteur ne se renouvelle pas autant que j'aimerais, et j'ai un peu le sentiment de lire toujours le même roman. C'est un peu dommage.

Et pourtant, cette année encore, j'ai été totalement embarquée dans son univers, et terrifiée par le scénario de folie qu'on découvre dans ce roman. On est à Berlin, et Jules travaille pour une ligne téléphonique qui vient en aide aux femmes qui se sentent en danger. C'est lui qui va réceptionner l'appel de Klara, une jeune femme terrorisée. Nous voilà alors embarqués dans une intrigue mettant en scène un tueur en série terrible.

Cette appel téléphonique, sert de fil conducteur au roman. Jules et Klara vont parler, et les chapitres alternent entre l'un et l'autre, leur passé et leurs histoires respectives. le suspens est fragile tout au long du récit, et l'auteur sait imposer le mystère et le flou comme il en a l'habitude. Ses thèmes de prédilections sont toujours au coeur du roman: l'enfance, la fragilité psychologique, la violence envers les femmes. Ce dernier sujet d'ailleurs est traité par l'auteur sans aucune retenue. La violence est présente, certaines scènes sont atroces et j'ai eu du mal à m'en défaire. Sebastian Fitzek n'a pas eu peur de décrire le pire du pire. L'ensemble est confus, mais tout s'enchaine pour enfin prendre sens…quoique.
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J'ai pour la première fois utilisé NetGalley et j'ai lu L'Accompagnateur de Sebastian Fitzek, qui sort le 10 mars aux Éditions de l'Archipel.

CW : pensées suicidaires, tentative de suicide, suicide, mort d'enfant, violence conjugale, violence sexuelle, viol, meurtre

Jules Tannberg, ancien standardiste du numéro d'urgence de la police de Berlin, passe la soirée au service d'accompagnement. C'est un service téléphonique bénévole qui permet aux personnes apeurées de communiquer avec un accompagnateur sur le chemin pour rentrer chez eux. Ce service est surtout utilisé par les femmes qui se sentent en danger, la nuit dans la rue. Aucun appel n'a jamais été important ou dangereux, excepté celui que reçoit Jules. Klara pense être poursuivie par un homme l'ayant déjà agressée et ayant peint sur le mur de sa chambre la date de la mort de Klara avec le sang de celle-ci. Date qui n'est autre que dans quelques heures, juste après minuit.

C'est un thriller psychologique angoissant et oppressant. Je ne connais pas le travail de Fitzek donc je ne sais pas si tous ces thrillers sont du même modèle. Celui-ci se met en place doucement, beaucoup d'informations sont données pour que l'on puisse comprendre le rôle de chaque personnage, l'origine de l'angoisse de Klara, le passé de Jules. L'angoisse apparait dès l'appel de Klara et ne va nous quitter qu'à l'ultime fin de l'histoire, les dernières lignes. Les évènements s'enchaînent ensuite rapidement, on découvre de nouveaux personnages, on en apprend plus sur la vie de chacun et sur leurs pensées. La tension ne redescend jamais vraiment, on est immergé dans l'intrigue, essayant de comprendre d'où peut venir le danger.
De mon point de vue, l'histoire de Klara est trop violente et traumatisante, je pense qu'on comprend parfaitement ce qu'elle vit sans pour autant avoir besoin d'un autre épisode traumatique dans sa vie. Elle souffre trop, il y a un véritable acharnement sur elle que je ne trouve pas justifié. Elle vit l'enfer et je ne comprends pas pourquoi une si grande violence est nécessaire pour l'intrigue. C'est aussi un personnage un peu cliché des polars/thrillers, la femme en détresse, ses réactions sont expliquées par ses troubles psychologiques, la femme faible qui ne peut pas s'en sortir toute seule. L'histoire ne comprend que très peu de personnages féminins. Et dans ce monde extrêmement masculin, la femme est « forcément » faible et dépendante de l'homme.
Je n'ai pas trop compris le personnage de Jules, surtout au début. Il se contredit, se perd, sa vie est floue. La suite de l'histoire permet de comprendre son rôle, mais le début est assez confus.
J'ai trouvé la fin un peu facile dans sa construction. Une simple discussion entre deux personnages permet de comprendre le rôle de chacun. La réponse à toutes nos interrogations est juste jetée à la fin, sans vraiment trop expliquer les évènements, les répercussions de ces évènements, les motifs des personnages.

Je ne dirais pas à tout le monde de lire ce livre car il est extrêmement violent et parle de sujets sensibles (voir CW). Certains passages sont très crus, voire choquants, et tout le monde ne veut pas lire ce type de livre. Mais, si vous aimez les thrillers angoissants, où le dénouement est flou, où l'avenir est très incertain, où l'angoisse monte au fil du récit, je pense que ce livre répond à toutes vos attentes.
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Berlin - 22h - Jules remplace un collègue et ami à la permanence téléphonique dédiée aux femmes en danger.
Le 1er appel provient de Klara, martyrisée par son mari et qui veut mettre fin à ses jours.
Ce coup de fil va bouleverser la vie de Jules.

Cet auteur ne m'est pas inconnu et je l'apprécie beaucoup. Mais je vous avoue qu'avec ce roman, je suis dans le flou le plus total.
Le début était prometteur et augurait un suspens à couper le souffle et pourtant.....
Tout d'abord Sebastian Fitzek m'a perdue avec la temporalité de l'histoire et j'ai eu du mal à me situer.
Il joue sur le passé mystérieux des protagonistes, ce qui en soit, est intéressant mais ne nous éclaire pas par la suite.
Je vous avertis âmes sensibles s'abstenir, l'auteur n'y va pas de main morte, certaines scènes sont très violentes et carrément malsaines.
Un autre aspect qui m'a gênée est la surabondance de catastrophes (que je ne dévoilerai pas) que subit Klara, cette pauvre fille est résolument maudite!
Vous l'aurez compris, j'ai été déçue par ce roman mais je vous invite à vous faire votre propre opinion.
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