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3,51

sur 182 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je ne connaissais pas Sebastien Fitzek avant de lire des critiques
de ses romans sur Babelio .
J'ai décidé de le découvrir plus avant en lisant "Le somnambule" .
J'ai d'abord eu du mal à entrer dans l'histoire puis les allers-retours incessants du héros entre sommeil et veille , réalité et cauchemar , crises de somnambulisme et état de conscience , illusion et vérité ,
folie et raison ont fini par me lasser et l'auteur m'a perdu en route ... comme dans le labyrinthe de l'intrigue !
Ce roman ne m'a donc pas du tout emballé !
Comme j'ai acheté plusieurs livres de cet auteur ,
je vais me plonger dans quelques-unes de ses autres histoires ....
en espérant être davantage accroché !
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Comme beaucoup, j'ai découvert Sebastian Fitzek avec son roman Thérapie. Cela fait quelques années maintenant, mais je me souviens que j'avais adoré ce thriller. J'ai ensuite lu le briseur d'âmes et le voleur de regard, sans réussir à rentrer dedans. J'ai ensuite découvert L'inciseur, écrit à quatre mains avec Michael Tsokos. Ce dernier titre m'a "réconciliée" avec Sebastian Fitzek. C'est donc plutôt confiante que je me suis lancée dans la lecture du "Somnambule".

Contrairement à un certain nombre de lecteurs, je n'ai pas apprécié ce nouveau thriller. Je suis complètement passée à côté. Si le premier tiers du roman m'a plu, le second m'a ennuyé et le troisième m'a complètement larguée.

Le thème du somnambulisme est des plus intéressants et m'a captivé dès le départ. Cependant, l'intrigue tourne vite en rond et devient ennuyeuse. On ne fait que suivre le personnage principal dans ses délires (éveillés? endormis ?) sans jamais apprendre le moindre élément faisant avancer l'intrigue. Ses pérégrinations sans fin dans le labyrinthe m'ont vite lassée. Je m'attendais à ce qu'il y ait plus de rebondissements et que "l'enquête" soit basée sur les entretiens de Leo avec son psychiatre, ce qui n'est pas du tout le cas.

Le dénouement m'a lassée plus que perplexe. Je ne suis pas sûre d'avoir réellement compris la chute de l'histoire, ce qui m'agace prodigieusement. J'ai horreur des thrillers qui se terminent en queue de poisson ou proposent une fin à "choix multiples".
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Sebastian Fitzek est un auteur que j'ai adoré sans réserve dès son premier roman, "Thérapie". Les suivants n'ont fait que confirmer ma passion pour cet auteur.

Mais est arrivé "Mémoire cachée". Je me suis vraiment accrochée pour arriver jusqu'au bout, faisant confiance à l'auteur. Ce roman s'est toutefois révélé être une véritable erreur de casting pour moi.

Pas découragée cependant, j'ai ensuite plongé dans "L'inciseur", que Fitzek a co-écrit avec un médecin légiste. Dans ma critique sur ce livre, j'évoquais le plaisir de retrouver une bonne intrigue sous la plume de Fitzek, mais déplorait trop de sensationnalisme et quelques maladresses scénaristiques.

Toujours confiante malgré ces quelques déceptions, je me suis ruée avec enthousiasme sur "Le somnambule", dont les critiques se réjouissaient d'un "retour au sommet de son art" pour l'auteur. Il est vrai que le résumé est alléchant, et on se plonge avec intérêt dans le début du roman, retors à souhait.

Las... Je suis ressortie de cette lecture déçue, me demandant où était passé le talent de cet auteur qui a tant su me ravir sur ses premiers romans !
Intrigue trop complexe, récit tournant en rond, double twist final capillotracté et sans aucune vraisemblance (je sais bien que ce n'est pas indispensable dans une fiction, mais un minimum de réalisme permet au lecteur de se sentir empathique avec les personnages et leurs péripéties)... Fitzek s'est laissé dépasser par son ambitieux projet pour ce roman, et manque totalement le coche. Quel dommage, lui qui a su, par le passé, offrir de belles intrigues, surprenantes, bien menées et si enthousiasmantes.

Sans doute redonnerai-je sa chance à cet auteur, dans l'espoir de relire d'aussi bons romans que "Thérapie", "Le briseur d'âmes" ou "Le voleur de regards", mais avec moins d'entrain et plus de réserves, je le crains...
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Je conçois que l'on puisse être impatient de connaître le dénouement de ce roman.

La vie de Leo Nader, un jeune homme souffrant de somnambulisme soigné dans le passé par le docteur Volwarth, un psychiatre de renom, voit son épouse fuir alors qu'elle vient d'être victime d'une agression. Leo sait qu'il a eu des excès de violence dans le passé. Cela semble recommencer. Il craint d'être violent durant ses crises de somnambulisme. Il est obsédé par des questions qui s'obstinent à rester sans réponse. Voilà pour le cadre.

Sebastian Fitzek met nos nerfs à rude épreuve dans un voyage particulier entre l'éveil et le sommeil, le rêve et la réalité, quitte à perdre son lecteur. Celui que je fus, a passé du temps, à se retourner sur la véracité des événements. le Somnambule tire vers le thriller psychologique. Entre une ribambelle d'esprits sournois, fourbes et perfides, le tout oeuvrant dans lieu oppressant, l'immeuble conçu par un architecte à l'esprit de pervers, j'ai passé mon temps à me questionner.

Je ne suis pas un lapereau de 6 semaines. Nager dans le noir ne m'effraie pas. Pourtant si le suspense est présent, si l'atmosphère est suffocante à souhait, ma lecture, s'est révélée parfois exténuante tant elle s'était faite oppressante.

L'intrigue m'a paru souvent difficile à suivre, malgré la narration de Léo, qui confère une véritable proximité avec le lecteur. Dans ce roman, je me suis baigné avec une certaine confusion. Bien que Sébastian Fitzek se joue de nous tout comme de Leo, suivre son personnage oscillant entre un cauchemar éveillé et une sensation de folie a été une expérience pesante. Là où Fitzek pose un sentiment angoissant, je n'ai trouvé qu'un côté anxiogène. Fait est que cela est très réussi. C'est un huis-clos au bord de la folie.

A mon sens, les afficionados du genre, trouveront dans le Somnambule de quoi les combler. Comme je me plais à le penser la réussite d'un livre dépend souvent de ce croisement fragile entre les mots et le moment où l'on les découvre. Peut-être ai-je eu tort de me précipiter pour le lire dans la foulée de Passager 23 ?

Non que traquer Leo dans sa découverte de lui-même, m'ait laissé sur ma faim, mais il m'a été impossible de me départir de cette sensation asphyxiante.
Lien : https://nigrafoliablog.wordp..
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