Dans nos traditions d'histoire d'épouvante, les sombres créatures et autres monstruosité nous proviennent des bas fonds, du sous-sol où l'enfer est roi et maîtres. Non cette fois ci elle nous vient dans haut.
L'auteur nous présente une micro société établie sur les toits des édifices. Ces personnes ont appris à ce déplacer, se nourrir, s'informer sans interagir avec la société vivant aux sols. Tous comme n'importe qu'elle société des clans et religions se sont formé. Un être immonde nommé Chymes prend le contrôle en imposant ça vision sombre mêlé de sacrifice et de destruction. Ce Chymes est-il vraiment humain ou est-il le retour d'une ancienne entité ? Des poches de résistance se créent pour contrer Chymes. Deux personnages du monde tel que nous le connaissons entame une enquête pour retrouvé une jeune fille ils seront malencontreusement pousser dans ce conflits.
J'ai bien aimé l'idée de ce roman, mais je l'ai toutefois trouvé mal exploité, tout y est prévisible. J'aurais aimé quelque chose de plus sombre. L'auteur amène quelque fois des touches humoristiques inefficaces. Ce roman est bien sans plus.
Commenter  J’apprécie         62
Fowler aime bien les sociétés secrètes , les tribus , nichées au coeur de la ville moderne . Ici les clans s'affrontent sur les toits de Londres et ils n'on rien à voir avec les gentils ramoneurs de Mary Poppins!
Commenter  J’apprécie         10
Tu crois qu'ils n'ont aucune chance contre vous, rugit Nick qui savait sa mort imminente. Et tu as probablement raison, mais vous finirez tous par être arrêtés. Tu te baptises ''Empereur'', mais tu ne débites que des conneries et un mysticisme de merde! Empereur de quoi? D'une bande de psychopathes, de junkies et de tarés qui s'introduisent dans des appartements, qui tuent et font tout ce que tu leur commandes parce qu'ils ont besoin de leur fix? Quelle putain de merde d'empire...
A l'extrémité de la surface de tuiles sales était assis celui qu'ils appelaient Chymes, sa cape étalée autour de lui . Il écoutait avec une grande attention apparente la lecture de son homme de mains,sa main d'acier reposant légèrement sur son genou.