Citations sur Aide-moi... (20)
Je suis morte deux fois. La première fois, j'ai voulu mourir. Je considérais la mort comme l'endroit où la douleur s'arrêterait, où la peur cesserait enfin.
La seconde fois, je n'ai pas voulu mourir. En dépit de la douleur et de la peur, j'avais décidé que la vie méritait d'être vécue. Cette vie compliquée, angoissante, fatigante, merveilleuse, blessante, avec son lot de ratés et sa tristesse, avec toutes ses joies soudaines et inattendues qui vous font fermer les yeux et dire : " Raccroche-toi à cela, ne l'oublie pas. "
[ Incipit ]
Je pensais que, en fin de compte, j'étais extrêmement seule -et que tout le monde l'est aussi dans ce monde tumultueux. C'est une condition pour être humain. Pendant toute votre vie, vous cherchez l'amour et l'intimité; vous cherchez une loyauté inconditionnelle, et la reconnaissance. De vos parents, de vos amis, de vos associés. Nous nous faisons tous des promesse, et nous les croyons, ou nous feignions de les croire. Et pourtant en ce moments de grande crise et de désespoir intense, la seule personne qui peut vous sauver, c'est vous-même.
ainsi va la vie,lorsque vous souhaitez que tout se passe vraiment bein,les choses tournent au désastre,lorsque vous vous en moquez tout le monde vous aime
Quand j'étais sans défense et que je ne croyais plus en moi, Meg était là. Elle croyait en moi alors que j'avais cessé d'y croire.
Ils ne me soignèrent pas. Ils aggravèrent mon cas. J'étais comme une voiture qui avait besoin de réparations basiques, mais au lieu d'être amenée à l'atelier de carrosserie, on l'amenait à la casse où les véhicules étaient entassés les uns sur les autres, dépouillés de leurs portes et de leur autoradios, et de tout ce qui avait de la valeur, puis condamnés à rouiller.
Toutes ces divergences.si seulement le monde correspondait à l'intérieur de notre cerveau.si seulement l'intérieur de notre cerveau correspondait à celui des autres
Quand j'avais neuf ans, mes cours finissaient à quatre heures et quart et, entre temps nous avions chanté plusieurs hymnes, profité de deux récréations, appris des maths, écrit une histoire, bu du lait, déjeuné, créé un modèle en argile.
Aujourd'hui, à l'âge de vingt-sept ans, de quoi se composait au juste ma journée ?
De pas grand-chose.
a part ma mére,sans doute que j'aimais seulement parce qu 'elle était ma mére
j'avais besoin de rentrer chez moi et de me coucher,comme une personne qui se noie;à besoin de regagner le rivage.Dormir
toutes ces divergences.si seulement le monde correspondait à l'interieur de notre cerveau.si seulement l'interieur de notre cerveau correspondait à celui des autres