Je préfère la traduction de
Louis Bonalumi, l'argot romain est mieux cadré, l'hésitation, la honte, l'ironie, comme un visage, ici est mieux retranscrit. La nouvelle traduction est plus exacte, dont le titre, embrouille, est approprié, mais
Jean-Paul Manganaro, lui-même écrivain, cherche l'angle précis, ce qui distille un tant soit peu le côté baroque et profus.
Je crois que j'ai trop lu et relu
Gadda...