En réalité il faut comprendre que les histoires non terminées restent présentes, cachées derrière les apparences, même si les générations défilent et que le temps passe. Il s’agit d’une sorte de passé qui n’est pas passé, d’un inconscient toujours présent et qui se manifeste dans toutes sortes de difficultés et de symptômes chez ceux qui en héritent. Pour les anciens Grecs il était tout à fait clair que les familles, liées par les liens du sang, forment une seule et même entité et que leurs derniers représentants héritaient autant des biens accumulés que des histoires non terminées.