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EAN : 978B08DHK57PY
569 pages
Les Nouveaux Auteurs (20/08/2020)
4.08/5   25 notes
Résumé :
«Entre Société secrète et recherche scientifique, un thriller sous haute tension." Femme Actuelle  »

Un thriller magistral entre anticipation, aventure, société secrète et recherches médicales

Nico, biologiste belge, est entraîné par une société pharmaceutique dans un combat pour sa survie face à un complot sans limite. Chu, médecin dans une Chine reculée, découvre des cas d'infection étranges et se retrouve traqué par d’impitoyables t... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Ce livre se divise en deux parties.
1. la thèse d'une vie

Un jeune chercheur en biologie est remarqué par un groupe pharmaceutique. Il lui offre un pont d'or pour l'embaucher autour d'un gros projet top secret…
Un journaliste, désabusé, créé un blog pour dénoncer le non partage des richesses. Il est contacté par les Unanimous…
Un médecin chinois, travaillant dans un dispensaire dans une région pauvre de son pays, découvre des morts suspectes autour de lui. Il enquête…

Trois orientations qui vont nous faire haleter au fur et à mesure de l'histoire parce que les chapitres sont courts, on saute d'une situation à l'autre.
De rebondissements en rebondissements, les histoires finissent par se rejoindre.
Les personnages principaux de chaque histoire (Nico le chercheur, Philippe le journaliste, Chu le médecin chinois) sont tous très attachants.

2. L'épilogue interdite
Seize ans sont passés depuis les événements qui terminent la première partie.
Les personnages principaux ont évolués et semblent mener une vie un peu apaisée.
Rapidement, la situation bascule et la traque reprend…
La fin, en deux teintes : happy-end pour certains, angoissante pour d'autres.


Ce livre est vrai page-Turner. Les chapitres sont très courts nous faisant sauter d'une histoire à l'autre.
Les descriptions sont précises et nous permettent de bien visualiser la situation dans laquelle évolue les personnages.
Les dialogues sont fréquents. Ce qui donne beaucoup de vie au récit.
Un peu d'anticipation dans la seconde partie pour bien montrer l'effet Big Brother que pourrait avoir pris l'informatisation à outrance.

Un bémol cependant, je n'ai pas compris l'intérêt des digressions sur l'histoire d'un négrier, si ce n'est pour nous annoncer qu'il est l'ancêtre d'un des personnages. Beaucoup de chapitres sont associés à cette histoire qui n'apporte rien, à mon sens et ralentissent les événements qui se passent dans le temps présent

Bref, malgré ce bémol, j'ai beaucoup aimé ce livre et je vous le conseille pour passer un excellent moment.
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J'avais repéré ce livre depuis très longtemps, mais ce n'est pas très étonnant : deux auteurs belges à peu près inconnus, qui écrivent un thriller de bonne tenue qui gagne même un prix de lecteurs (certes, Femme Actuelle n'est pas le Goncourt, mais au moins il a trouvé son public !), ma librairie ne pouvait que le mettre en évidence ! de plus, c'est un vrai pavé, presque 700 pages, et moi j'aime bien les pavés, donc ça ne pouvait que marcher… Bref, il était temps de le lire enfin !

Maintenant que j'ai refermé la dernière page, je suis peut-être un peu moins enthousiaste. Il y a beaucoup de bon dans ce livre, mais aussi quelques défauts qui font que le plaisir est quand même un peu mitigé.
Je commence par le plus évident, au risque de me répéter : les auteurs sont belges, et surtout, ils assument à 200% leur belgitude. J'adore ça ! J'ai lu dans l'un ou l'autre commentaire, ici ou là, qu'il y aurait des fautes de français… Sérieusement ? Moi je n'en ai trouvé aucune ; en revanche, oui, il y a quelques tournures de phrase qui avaient ce petit goût « de chez moi » - certaines que je pouvais reconnaître de façon évidente, d'autres moins, car certains professeurs de français en Belgique francophone continuent d'imposer une langue française uniforme, tandis que d'autres, déjà du temps de ma jeunesse, se plaisaient à souligner les différences locales, tout en insistant sur le fait que tout est permis tant que ça reste correct. Et pour les esprits chagrins : parle-t-on exactement le même français à Lille ou à Marseille, à Charleville-Mézières ou à Pau ? (je pense à l'éternel débat entre pains au chocolat ou chocolatines, et je ris !) Bref, je n'ai pas relevé ces quelques spécificités, mais indéniablement elles m'ont donné un sentiment de bien-être accrocheur.
Et bien sûr, bien au-delà de la seule langue, la description même sommaire de certains lieux de Bruxelles a renforcé cette impression d'être en terrain connu, je pouvais visualiser certains lieux sans aucun problème car je les connais ! Ce don de pousser à la visualisation, de se sentir « chez soi » même quand on n'y est pas, va plus loin encore : quand on passe à un certain dépaysement (lors de l'intrigue en Chine par exemple), c'est un peu comme si un grand frère nous donnait la main pour nous y conduire, j'ai beaucoup apprécié cette sensation !

Par ailleurs, j'ai rapidement été emportée par une histoire trépidante, au rythme soutenu, parfois même endiablé (vraiment !). Certes, dans les premières pages, l'intrigue m'a semblé à la limite d'une certaine fadeur, avec un héros très lisse, tout énamouré de sa femme enceinte, bien entouré par sa belle-famille, sans aucun côté obscur. Mais très vite ça se modifie, par de petites touches au départ, et puis c'est de plus en plus évident, offrant une histoire pleine de rebondissements, tandis que la tension va crescendo. On a même quelques retournements de situation ici ou là, mineurs mais qui entretiennent indéniablement le suspense. le tout est porté par une écriture que je qualifierais de « visuelle sobre ». En effet, elle permet au lecteur de se faire très facilement ses propres images, à la façon d'un film qui se déroulerait sur sa rétine au fur et à mesure de son avancée dans le livre, et on sent le potentiel de mise à l'écran que pourrait avoir ce roman. Pour autant, il ne tombe jamais dans un langage ultra-cinématographique comme j'ai parfois trouvé ailleurs : il ne ressemble pas à un pseudo-script. Au contraire, il reste toujours sobre, simple, allant à l'essentiel en quelques mots bien choisis, et cela suffit pour créer toute une suite d'images comme je disais plus haut.

Pourtant, ce livre ne m'a pas tout à fait enchantée comme j'aurais pu espérer.
En effet, le synopsis ne l'annonce pas, et à vrai dire je ne m'y attendais pas : ce livre est divisé en deux parties, qui auraient pu être deux tomes tant ils sont différents, même si bien évidemment ils se tiennent. La première partie se passe de nos jours sans trop de précision et tout est tout à fait plausible ; tandis que la seconde partie fait des allers-retours entre l'Angola et les comptoirs du Nouveau-Monde au XVIIe siècle, et un rebond dans les aventures de nos héros du premier tome, 16 ans plus tard, à la limite de l'anticipation car certains éléments qui ne sont que des prototypes actuellement, ou en tout cas que l'on trouve très peu, y sont exploités comme s'ils faisaient partie d'un quotidien normal (comme les voitures ultra-connectées et qui se conduisent sans intervention humaine). Or, je ne suis pas convaincue que la structure de ces deux parties ait été très bien choisie. L'histoire « principale » était clôturée dès la fin de la première partie, du coup on se demande ce que les auteurs peuvent bien encore raconter, on a un peu l'impression d'une surenchère. Quant aux chapitres historiques, ils sont réellement intéressants… et je pense réellement qu'il aurait été opportun de les introduire dès la première partie, car ils apparaissent comme un véritable fil rouge, qui aurait pu traverser tout le livre dans une espèce de mystère, qui ne s'éclaire de toute façon que tout à la fin.

Mais surtout, de façon générale, et malgré les qualités citées plus haut, j'ai eu l'impression de « trop », de tout. J'ai déjà parlé de la surenchère que représente la deuxième partie du livre, qui n'était pas forcément utile (à part la partie historique, peut-être…). Mais il y a aussi un nombre incalculable de sujets abordés, qui tournent tous autour d'une organisation ultrasecrète dont le but ultime serait de diriger le monde en influençant les dirigeants officiels et, au-delà, de trouver la recette de la vie éternelle. Sous ce prétexte, les auteurs jettent dans leur filet tant de sujets potentiellement à scandale que c'en est trop : les firmes pharmaceutiques qui pourraient trouver des traitements contre les MNT (pour maladies non transmissibles, comme le diabète ou les cancers par exemple) mais qui ne le font pas ou alors à prix prohibitifs car sinon ce n'est pas rentable ; la révoltante mauvaise répartition des richesses dans le monde, quand les 8 personnes les plus riches possèdent autant que 3,6 milliards d'individus (pauvres) rassemblés ; le scandale des négriers au temps des colonies et toutes les exactions y liées. Mais c'est aussi une diatribe, certes soft mais bien présente, contre les croyances (chrétienne en particulier) qui auraient été créées pour éviter à « monsieur tout le monde » de penser ou de raisonner, prétendument à l'inverse de la franc-maçonnerie, qui est légèrement mise en avant mais avec des garde-fous ; etc.
À côté de ça, on a aussi trop de morts tout au long de ce livre : on tremble sans arrêt pour les personnages, surtout dans la première partie, et c'est normal puisque c'est un thriller… mais là on est carrément dans l'excès, car ils tombent comme des mouches les uns après les autres ! On se demande même qui va réellement être présent dans la 2e partie (quand on se rend compte qu'on y est), et même là ils ne vont pas durer bien longtemps. Cela a aussi l'effet indirect que, si on s'est attaché à l'un ou l'autre personnage au début, finalement on les laisse « partir » et on décide presque involontairement de ne plus s'attacher à aucun, puisqu'ils vont de toute façon disparaître à leur tour dans des circonstances désagréables… ou pas… mais décidément : trop is teveel ! – expression très belge (ah ah !) mêlant français et flamand, qui signifie tout simplement « trop, c'est trop ! ».

Cela dit, il faut reconnaître que les auteurs ont fait un véritable travail de recherche, très convaincante, comme en témoignent un certain nombre de faits réels cités en cours de narration et rassemblés en fin du livre, et étayés par une bien intéressante bibliographie qui semble tout à fait abordable.
Ainsi, ce livre m'a séduite avec sa belgitude assumée, ses nombreux rebondissements et son écriture très maîtrisée ; il a réellement tous les atouts pour plaire aux amateurs de ce genre de thriller survitaminé. Ma propre réserve n'altère en rien ses qualités, dont une écriture visuelle sobre qui fonctionne mieux qu'un script forcé. Mais je retiens aussi quelques maladresses, qui auraient pu être évitées, et qui le seront sans aucun doute si les auteurs se décident à tenter une nouvelle aventure littéraire !
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Magister dixit : le maître l'a dit .Un titre accrocheur. Ces mots s'utilisent lorsqu'on veut signifier que ce que l'on vient de dire ne souffre aucune contradiction. Alors pourquoi ce titre ? Puis la 4ème de couverture, tout aussi alléchante…
Vous comprendrez aisément que cet ouvrage avait tout pour me tenter. C'est donc avec impatience que j'ai commencé ma lecture. Et je n'ai pas été déçue !!!
Tout d'abord, nous faisons connaissance avec les trois protagonistes.
Nicolas (Nico) Berger. Docteur en biologie fraîchement diplômé. Sa femme, Anna, vient de lui annoncer qu'elle est enceinte. Comme un bonheur n'arrive jamais seul, il reçoit une proposition de travail dans un institut privé de recherches. Mais à Genève, un peu loin de Bruxelles. Cependant cet emploi l'intéresse, le labo est moderne et a un équipement de pointe. Et puis le salaire est plus que confortable ! S'il avait su où il allait mettre les pieds, il n'aurait probablement pas accepté…
Philippe, un journaliste de 28 ans qui vit encore chez sa mère. Les articles qu'on lui demande de rédiger ne sont guère palpitants…la circulation…. de son côté, il a fait des recherches sur la distribution des richesses dans le monde et s'apprête à tout poster sur son blog personnel...Mais… peut-être n'est-ce pas du goût de tout le monde…
Le docteur Chu travaille dans un petit village de Chine. Il s'occupe du dispensaire et distribue autant qu'il le peut médicaments et compléments alimentaires. Un jour, on l'emmène vers le cadavre d'un enfant de 10 ans. Chu trouve le décès étrange : l'enfant avait vomi, sa langue est noire… D'autres cas vont surgir. Que se passe-t-il ? A quoi ces morts sont-elles dues ?
*******
Dès le début, je me suis attachée à ces personnages. le fait des les voir si différents et si éloignés les uns des autres nous pousse à continuer notre lecture. Parce qu'on se doute bien que quelque chose va les relier. Mais quoi ? Et de quelle façon ?
Ce temps de présentation est peut-être un peu long, mais les chapitres alternent les personnages et finalement la période « action » arrive rapidement.
Ce livre fait plus de 500 pages mais cela ne doit pas vous faire peur. le temps passe vite et les pages défilent. On ne s'ennuie jamais !
J'ai vraiment pris plaisir à découvrir cette histoire. Complots, amitié, action, rebondissements en sont les ingrédients majeurs. Une intrigue bien menée sur des sujets d'actualité, un style agréable à lire, que demander de plus ? Je vous dirais bien « vous pouvez y aller les yeux fermés » mais quand il s'agit d'un livre, l'expression n'est pas vraiment top ! Je me contenterai donc d'un « foncez, vous ne serez pas déçu ! »
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Quand l'un des auteurs Sandro Galeazzi, m'a contacté pour me proposer son livre, je n'ai pas hésité une seule seconde. J'ai été tout de suite emballée par la quatrième page de couverture que j'ai trouvé juste intrigante et cela a titillé ma curiosité. C'est un livre écrit à quatre mains par un duo d'auteurs étonnant. Je n'ai pas été déçu, c'est un roman haletant, avec une intrigue rondement menée. Amis lecteurs, préparez à vous à plonger dans l'univers pharmaceutique mais pas que... Sous fond de complot, d'expériences médicales et de société secrète, nous allons suivre 4 personnages qui sont à différents coins du globe et qui vont voir leur destin lié. Je me suis attaché facilement aux personnages : je me suis prise d'affection pour Nicolas Berger et j'ai compris sa décision quand on lui propose une offre qu'il ne pourra refuser car elle lui promet un avenir certain, je pense que j'aurais fait pareil. Je l'ai trouvé honnête et plein de bons ressentiments. Puis il y a Chu, le médecin qui oeuvre pour les plus démunis et qui va avec ténacité, tenter de trouver quel est le virus qui s'abat sur les populations moyennes de Chine. Que se passe t-il là-bas ? C'est une lecture trépidante, un thriller plein de rebondissements ! Mon cerveau a été malmené durant toute ma lecture, il était en ébullition. Vous ne serez pas au bout de vos surprises, je vous le dis ! Tout d'abord il va falloir s'accrocher : c'est un gros pavé de 600 pages, mais une fois lancé, on a plus envie de lâcher le livre je vous l'assure ! Avec des chapitres courts, une écriture précise et efficace et bourrée de pleins d'informations les auteurs nous tiennent en haleine et on a qu'une seule envie c'est de savoir ce qu'est le Magister Dixit ? Il est difficile d'en dire plus au risque de spolier mais sachez que ce livre a été pour moi une belle surprise. J'ai passé un excellent moment de lecture et j'ai hâte de lire à nouveau ce duo d'auteurs ! Alors à quand le prochain :-)
En bref, je vous le recommande vivement, alors lisez-le !
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Ce roman est organisé en 2 parties, probablement 2 tomes à l'origine. A chaque fois, j'y ai trouvé les mêmes points positifs et les mêmes points négatifs.
On démarre avec Nico, embauché à prix d'or comme scientifique pour un projet de recherche médicale. Puis s'ajoute d'autres personnages, sans lien entre eux. Chacun va devoir faire face à un mystère, des secrets. Donc, ça démarre pas trop mal. le style n'est pas exceptionnel, mais le suspens est là, l'histoire donne envie de tourner les pages. Et à un moment, j'ai décroché. Les histoires des personnages se catapultent entre eux, les maléfiques sortent de leurs trous et tout ça prend une tournure très bizarre et souvent incompréhensible. J'ai trouvé l'effet course-poursuite un peu raté.
J'ai donc poursuivi comme ça, en essayant de me raccrocher au branches, en me disant que je retrouverai peut-être l'intérêt du début.
Puis arrive la seconde partie. On retrouve nos personnages 16 ans plus. Plutôt étonnant au vue de la fin de la première partie, mais pourquoi pas. En tout cas, ça a piqué ma curiosité. Et là, même schéma que pour la première partie. C'est sympa au début, et puis ça part en cacahuète et ça devient incompréhensible.
Une lecture particulièrement mitigée et c'est dommage, le sujet me plaisait bien.
Lien : https://www.facebook.com/Les..
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Un regard distrait vers les boutiques lui dévoilent ces nouveaux centres déshumanisés. Un ingénieux système de scan détecte les achats en temps réel. Plus de caisses, ni de vendeurs, dès la sortie la liste complète de votre panier est directement débitée de votre compte bancaire. De quoi faciliter les achats impulsifs et inconsidérés.
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A l’heure où l’argent ouvre tous les accès, une seule porte reste résolument close. Les privilèges s’effacent lorsque le chrysanthème fleurit. Si les biens nantis vivent dans le marbre toute leur vie, l’intérieur du caveau est le même pour tous et goûte le moisi.
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Chu-Jung, à semer sur des terres rocailleuses, tu ne récolteras que des chardons. Tu tentes de cultiver l’amour dans une terre inhospitalière. Tu parviendras peut-être à faire pousser le bien par endroits, mais sois réaliste, tu ne changeras pas la nature du sol.
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Il prit un crayon et l’utilisa pour se gratter le cuir chevelu. Les reflets suspects de sa tignasse noire laissaient présager une hygiène plus que douteuse. Il devait certainement y avoir matière à racler.
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Les pharaons, dieux vivants, surpassaient le commun des mortels dans la vie… La mort cependant les replaçait froidement sur le même pied.
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