Dans ce tome qui termine la trilogie, le narrateur se rapproche des hommes du front car le journaliste va partager la bataille du chemin des Dames et son absurdité. Il va également se joindre aux troupes américaines.
Puis le 11 novembre sonne la fin des hostilités ; l'après-guerre voit rapidement monter le nazisme, Finlay rencontre un orateur aux gestes saccadés ... le caporal Hitler.
L'écriture de
Max Gallo est fluide et d'une lecture facile. Entre le caractère romancé et les références historiques, ce sont ces dernières que j'ai le plus appréciées.