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Après la lecture des épées de glace qui avait été une excellente découverte, me mettre sur la lecture d'un nouveau titre de l'auteur se déroulant dans le même univers est un vrai plaisir. Cependant, je mets forcément la barre plus haute.
Et malgré des exigences élevées, ce premier tome de la Main de l'empereur a su me plaire (et atterrir dans mes meilleurs lectures de fantasy). Certes, il faut apprécier les combats, les guerres et l'ambiance sombre, mais si c'est le cas, cette série est une très belle découverte
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C'est le premier livre de cet auteur que je lis et ce fut une agréable surprise. Je me suis retrouvée embarquée dans la vie de Rekk très facilement. L'auteur a une écriture fluide et nerveuse. Pas de temps mort dans le récit, l'action s'enchaine à chaque chapitre et les pages défilent sans que l'on s'en rende compte.
L'histoire en elle-même n'a rien de très originale, mais la personnalité de Rekk et son histoire, de son enfance à l'arène, à la guerre avec les Koushites, fait que l'on passe un très bon moment de lecture.
Par contre, j'aurais aimé que Rekk soit un peu plus clairvoyant sur toutes ces manipulations. Je l'ai trouvé parfois un peu naïf de ce côté là.
La fin donne envie de connaitre la suite, ce que je vais faire de ce pas !
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1er tome d'une duologie, qui est également le prequel d'une autre duologie : "Les épées de glace".
Ça tombe bien car je ne l'ai pas lu non plus !

Ce sera une lecture plutôt mitigée pour ce 1er livre...

Tout d'abord, dès le début, je n'ai pas été très emballée.
Même s'il se passe deux gros événements qui chamboulent l'histoire, j'ai trouvé ça un peu mou et long à se mettre en place.

J'ai trouvé la 4ème de couverture un peu trop spoilante, car ce qu'elle annonce n'arrive pas avant la 100ème page sur 375, soit à plus d'un quart du livre !
Je pense que c'est ce qui m'a donné cette impression de longueur au début.

de plus, je ne me suis pas spécialement attachée aux personnages... Rekk demeure plutôt froid et distant.
Nous avons un aperçu de son enfance, mais cela reste survolé.
Je trouve que ses ressentis ne sont pas assez développés pour comprendre ses choix et ce qu'il est devenu.
J'ai cependant envie de découvrir comment il va pouvoir évoluer...
Les personnages secondaires sont quant à eux traités plutôt superficiellement aussi.

Sinon l'histoire en soit est intéressante, il y a plusieurs rebondissements inattendus, mais inversement, certains événements sont courus d'avance.
Et puis, je ne sais pas, il manquait un petit quelque chose pour vraiment me permettre d'apprécier ma lecture.

L'univers m'inspirait puisque l'on se retrouve au temps des gladiateurs, mais je l'ai trouvé, au final, plutôt banal.

Cependant, l'écriture est fluide, rendant la lecture aisée.
Je me lance à présent dans le tome 2, car j'ai malgré tout, l'envie de connaitre le fin mot de cette histoire !
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Un prequel des Épées de glace sur le personnage emblématique Rekk. Et c'est un tout autre Rekk que l'on découvre.
Le principal intérêt c'est de découvrir ce passé qui avait fait un Rekk sombre et torturé. Malgré qu'on sache comment ça va terminer, c'est très prenant et des tas de détails politique qui donne de la profondeur au récit. Ca manque tout de même un peu de... Piment. On a quand même hâte de découvrir le reste de la vie de Rekk, qui l'a emmené jusqu'aux tréfonds du Nord.
On passe assez vite sur la jeunesse de Rekk et sur son passé de gladiateur pour le projet aux portes de la guerre. On le voit évoluer petit à petit. le voir grandir, vieillir, devenir plus sombre. Mais on voit aussi l'homme et ses espoirs. Il est vraiment le centre de l'histoire et tout l'intérêt. Malgré qu'il soit parfois un peu cliché
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La Main de l'empereur est le préquel de la saga Les épées de Glace de Olivier Gay.
Nous retrouvons (ou découvrons dans mon cas) le personnage de Rekk.

J'ai vraiment bien accroché à la première partie de l'histoire où nous suivons l'enfance de Rekk dans l'univers teinté de violence et de rigueur des Gladiateurs.

Puis les choses ont commencé à se corser dès la deuxième partie quand le tournant que prend l'histoire m'a moyennement intéressé. .
Quant à la troisième et dernière partie ... j'ai eu du mal à en venir à bout. 😫

Je n'ai pas été fan des ellipses qui coupent les réactions de Rekk et m'ont empêché de m'attacher un minimum à lui.

Les personnages féminin sont un autre point problématique... que je ne peux détailler sans spoiler.... 😤

Au final c'est le manque de profondeur, d'enjeux (il suffit de lire le résumé de la saga des épées de glace pour comprendre la main de l'empereur) les choix idiots de Rekk, le manque d'intérêt pour les personnages qui font que je ne lirai pas la suite.
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Rekk est l'enfant adultérin de la femme d'un bourgeois richissime et d'un gladiateur fameux, il est adopté par une prostitué de la caserne des gladiateurs, et entrainé par son père il devient vite excellent. Au fil des combats il devient imbattable, si bien que plus personne ne voulant parier contre lui il doit quitter les gladiateurs, l'Empereur qui l'avait remarqué lui offre une charge de lieutenant dans l'armée qui piétine depuis des années face aux "sauvages". Sa vaillance et le mythe qui l'entoure, initialement engendré par les manipulations de l'empereur vont le faire obtenir les plus hautes distinction à travers le sang et l'acier …


Dans un univers se rapprochant de la Rome antique, le scénario est assez convenu mais bien rythmé, sans être très fouillés les personnages sont attachants tant qu'ils restent en vie, mais en général ils périssent assez vite. Un empereur manipulateur, un héros indestructible avec un coté naïf, des combats, des batailles, on baigne dans le sang …


Une écriture fluide, une lecture facile et agréable, un livre d'aventure mené tambour battant, qui même s'il n'a rien d'inoubliable devrait plaire à nombre de lecteurs quel que soit leur âge.
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L'an passé, je découvrais Les épées de glace d'Olivier Gay, série qui me l'a fait connaitre en Fantasy et pour laquelle j'avais eu un petit coup de coeur. Quand j'ai vu qu'il avait sorti une autre duologie dans le même univers, relatant le passé de son héros, forcément j'ai eu envie de le lire.

On retrouve dans ce premier tome la plume légère et entraînante de l'écrivain. Les pages se tournent vite et l'histoire avance également en même temps. Cependant, je regrette presque dans cette préquelle qu'il aille si vite. En effet, j'ai vraiment eu la sensation d'une oeuvre trop rapide et pas assez creusée, restant trop en surface de tout ce que l'auteur voulait raconter.

On y retrouve le personnage de Rekk, notre cher Boucher qu'on avait découvert et aimé suivre dans Les épées de glace et c'est toute son enfance, puis sa jeunesse et ses premières années d'adulte qui feront sa renommée qui nous sont contées. Mais comme c'est fait en l'espace d'à peine 476 pages ici, tout va trop vite. Oui, je suis contente de savoir d'où il vient, mais on ne voit que très peu l'enfance qu'il a pu vivre. J'aurais aimé le voir vivre auprès de cette prostituée - mère maquerelle, mais on ne voit presque rien. J'aurais aimé suivre son entraînement de futur gladiateur ensuite, mais c'est à nouveau passé à l'as. Quant à ses combats, on n'en voit presque aucun et il est donc impossible de ressentir la fougue qu'on aurait aimé trouver. C'est très décevant. Je m'attendais vraiment à sentir une lente montée en puissance mais ce ne fut pas du tout le cas. de la même façon, sa carrière de "Boucher" n'est vraiment qu'esquissée, les combats et démêlés qu'il peut rencontrer sont juste nommés mais jamais vraiment creusés et ça s'en ressent. Tout est vraiment laissé en surface et je le regrette vraiment.

Il y avait pourtant un potentiel certain ici. Tout d'abord dans la conception et les origines de Rekk qui sont celle d'un beau drame classique. Puis dans la manipulation dont il est l'objet de la part l'Empereur afin de se servir de cet ancien gladiateur renommé pour avoir un bras armé implacable. Il y avait vraiment un potentiel dramatique important qui n'est malheureusement pas exploité ici. de la même façon, je trouve très intéressant cette revisite de l'époque romaine avec un Empereur en guerre contre une "peuple barbare". J'ai aimé découvrir les affrontements entre les deux camps, les procédés de propagande de l'un, les motivations de vengeance de l'autre, mais encore une fois tout va trop vite et je reste frustrée. de la même façon, j'étais impatiente de découvrir les figures emblématiques de l'entourage de Rekk dont on parlait dans son autre série. Si Dareen a su tirer son épingle du jeu ici, présentée comme une véritable amie pour celui-ci malgré ses sentiments, les autres font pâle figure. Je n'ai pas du tout été convaincue par Bishia, à aucun moment. Je la trouve totalement transparente. le jeune Rekk est aussi bien trop naïf et manipulable de tous côté. Quant à l'Empereur, il lui reste encore à faire ses preuves de grand manipulateur froid.

Vous l'aurez compris, même si je suis contente d'avoir lu cette préquelle et que les pages se tournaient plutôt bien, je reste énormément sur ma faim. L'univers a un potentiel énorme qui est très mal exploité. Il aurait fallu que l'auteur creuse beaucoup plus ses personnages mais surtout les péripéties qui leur arrivent afin qu'on ressente vraiment toute la dramaturgie de leur histoire. J'espère que cela sera corrigé dans le tome 2 mais j'ai quelques craintes à ce sujet...
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Après avoir eu un immense coup de coeur pour Les Epées de Glace et adoré le personnage charismatique et néanmoins pas très éthique de Rekk alias le boucher, j'étais obligée de me plonger dans la préquelle qui s'intéresse de très près au passé de notre anti-héros qu'on aime en dépit de ses actes impossibles à cautionner ou pardonner.

J'ai replongé avec régal dans l'univers fantasy de l'auteur, servi par la plume fluide, agréable, maîtrisée et efficace d'Olivier Gay. Tous les personnages sont marquants et c'est avec plaisir qu'on retrouve Rekk et d'autres personnes de son passé comme Dareen et les origines du prénom de Deria.

Nous avons donc un aperçu de l'enfance de Rekk puis de son adolescence mais les choses sérieuses commencent à son entrée dans l'âge adulte et donc à la guerre. Cette dernière se déroule dans une contrée reculée, dans la jungle et face à un peuple tribal qui connaît parfaitement son terrain et qui sait comment malmener les hommes de l'Empire. L'ambiance est stressante et étouffante à souhait, on est très loin de la guerre glamour et propre.

Notre cher Rekk est très naïf mais il n'en demeure pas moins redoutable dès le début. Il reste équilibré, ce n'est ni un benêt ni un monstre au départ, il est seulement façonné par les événements et des personnes qui vont vouloir se servir de lui. Ses vrais amis se comptent donc sur les doigts d'une main. Je l'ai trouvé très crédible mais je ne suis peut-être pas à 100% impartiale dans l'histoire !

Ce que j'apprécie avec Olivier Gay c'est qu'il maîtrise aussi très bien les personnages féminins et que les femmes ont toujours la part belle dans ses romans. Nous sommes servis ici entre Dareen et Bishia, même s'il y a d'autres femmes de caractère et d'envergure dans l'histoire. Bishia n'avait pas vraiment le profil de femme que j'apprécie d'ordinaire mais elle a su tirer son épingle du jeu et se révéler bien plus intéressante que de prime abord.

Le récit est ponctué de touches d'humour qui allègent l'ambiance lourde de la guerre et des massacres et qui permettent au lecteur de souffler entre tous les morts car personne n'est épargné. J'ai vu venir de loin certaines grosses ficelles tandis que d'autres sont restées suffisamment subtiles pour que je me fasse prendre.

La fin est terriblement frustrante et je pense que j'aurais pu m'en douter si je n'avais pas, moi aussi comme Rekk, une part de naïveté en moi. J'étais également tellement plongée dans le récit que j'avais oublié les indices donnés dans Les Epées de Glace qui m'ont sauté aux yeux une fois le dernier paragraphe lu.

En toute honnêteté, est-ce que ce roman sur le passé de Rekk est essentiel à la compréhension du personnage et de l'univers ? Non, car Les Epées de Glace se suffisaient à elles-mêmes, le récit et les personnages étaient suffisamment fouillés et travaillés pour qu'on s'imagine très bien le passé chaotique et sanglant de Rekk. En revanche je suis ravie que l'auteur ait eu l'opportunité d'écrire sur le passé de Rekk car c'est un régal de le lire et peu importe ce qu'il a à dire sur ce héros, moi j'achète. D'ailleurs je vais prendre la suite au plus vite. Je me dis même qu'Olivier Gay aurait pu écrire 6 tomes que je les aurais aussi tous lus tant son univers et ses héros sont addictifs.

Lien : https://dryade-intersiderale..
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En bref, la main de l'empereur est une fantasy divertissante et bien menée. Elle reste classique dans son intrigue mais son héros a un je-ne-sais-quoi de spécial qui le rend incroyablement attachant. le lecteur se retrouve embarqué dans les filets d'Olivier Gay (une fois de plus !) et y prendra probablement beaucoup de plaisir. Autant que moi, j'espère. Je le recommande à tous les amateurs du genre mais aussi aux novices car ce titre me parait être une très bonne porte d'entrée dans la fantasy réaliste, inspirée de l'empire romain et militariste juste comme il faut pour convenir à tous.
Lien : https://ombrebones.wordpress..
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Elevé dans la caserne sud, au milieu des gladiateurs, Rekk ne connait que sa mère, Krylla, l'une des nombreuses catins officielles de Musheim, la capitale de l'Empire constitué de nombreux duchés civilisés.

Le combat entre gladiateurs est la seule attraction de la cité et bon nombre de spectateurs s'y pressent, venant d'horizons divers et des différentes couches de la société. du moins ceux qui peuvent payer l'entrée et parier sur leur champion. Un gain lucratif pour les caisses de l'état qui prélève son dû. Rekk a pour ami Oblan, un jeune garçon de son âge, mais moins doué que lui pour le combat et Shar-Tan pour entraîneur. Un jour il apprend incidemment que Shar-Tan est son père et que sa mère n'est pas Krylla, mais dame Irina, la femme d'Aurélius, un riche marchand régnant en potentat.

Et lorsque Aurélius apprend, bien des années après la naissance de Rekk, l'infidélité de sa femme, infidélité provoquée par dame nature, et la non-reconnaissance de ce fils, né hors couche conjugale, à cause de la génétique, il ne prend pas de gants. L'avenir de Rekk en est quelque peu perturbé, pour autant cela ne l'empêche pas de devenir un gladiateur adulé des foules.

Jusqu'au jour où étant devenu invincible dans l'arène, il est prié d'aller voir ailleurs, c'est-à-dire en Koush, avec la charge de lieutenant. Par sa faute les paris ne sont plus rentables et l'Empereur Bel 1er décide le mettre à la tête d'une centurie et d'aller combattre les Koushites, dans le but de coloniser ce pays du Sud peuplé de nombreuses tribus constituées de Noirs. Et surtout de s'approprier les richesses en or, pierres précieuses et épices rares.

Rekk découvre un monde nouveau, une jungle moite, humide, peuplée de serpents, de moustiques et d'araignées, et de guerriers farouches. Les Koushites ne sont pas si bien armé que les combattants de l'Empereur, mais ils possèdent le courage et la valeur des peuples qui sont asservis uniquement dans des buts mercantiles. L'armée de l'Empereur est dirigée par des tribuns, des légats et des généraux qui pour la plupart n'ont jamais opéré sur des champs de bataille organisés en guérillas. Et les soldats, souvent enrôlés sans réelle formation n'exécutent pas toujours les ordres qui leurs sont donnés.

Un fiasco au cours duquel Rekk démontre sa bravoure, son sens de l'honneur et des responsabilités, et parvient à sauver une partie de sa centurie et à la ramener à Vesyria, la grande ville du Sud. Il va recevoir des mains de l'Empereur la charge de capitaine, charge qui comme celle de lieutenant est théoriquement payante par celui qui en bénéficie. Seulement ses pérégrinations ne sont pas terminées. Car des événements dramatiques vont l'amener à se conduire en véritable bête de combat, en une sorte de monstre broyant, déchiquetant, étêtant, passant au fil de l'épée tous ceux qu'il considère comme des ennemis, sans détenir toutes les données qui lui permettraient de réfléchir.



Roman épique, La main de l'Empereur n'est pas sans rappeler la conquête de l'Afrique par les Romains. D'un côté un Empereur omnipotent, possédant une armée organisée quoique bon nombre de ses officiers sont issus d'une société qui a plus l'habitude de déambuler dans les allées du pouvoir que sur les terrains de batailles, avec des guerriers qui n'ont reçu que des bribes de formation mais savent se regrouper en carrés et brandissant leurs boucliers afin d'échapper aux flèches ennemies.

De l'autre côté, de valeureux combattants divisés en tribus parfois rivales, admettant difficilement la soumission à un chef unique, dont les armes sont plus rudimentaires, mais portés par la vengeance et le rejet de colonisateurs doublés de pillards.

Mais ceci n'est pas le seul rapprochement que l'on peut effectuer avec la civilisation romaine, les combats dans les arènes, le pouce dressé ou baissé signifiant que le combattant vaincu doit avoir la vie sauve ou non, en sont un exemple... frappant.

Les combats épiques dans les arènes, contre les guerriers Koushites, et bien des scènes hautes en couleurs forment la plus grande part du roman, mais pas que. Les personnages sont soigneusement décrits, physiquement et psychologiquement, sans pour autant alourdir le récit. Ce ne sont pas les hommes, malgré la présence quasi constante de Rekk, qui offrent les plus belles prestations mais les femmes, comme Dareen la contrebandière, qui influent sérieusement sur cette intrigue belliciste. Car oui les femmes jouent un rôle prépondérant même si parfois elles semblent en retrait. Il faut se méfier de l'eau qui dort.

Quant à l'intrigue elle est machiavélique et La main de l'Empereur peut se montrer douce ou cruelle.

Olivier Gay s'est fait connaître par la publication de romans policiers, dont la série consacrée à Fitz, série humoristique et amorale, avec un personnage attachant au départ mais ne provoquant pas l'empathie par la suite. Avec La main de l'Empereur et ses romans de fantasy, Olivier Gay trouve véritablement sa voie et peut s'exprimer sans contrainte, dans un registre historique dénué de fantastique. Pour moi une véritable révélation qui m'incite à continuer la lecture de ses autres ouvrages, aussi bien chez Bragelonne que les romans pour adolescents chez Castelmore.
Lien : http://leslecturesdelonclepa..
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