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3,32

sur 137 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
"Vera" est une histoire d'amour et aussi et peut-être surtout une ambiance.
C'est une histoire d'amour peu conventionnelle, lui , Sonny est un jeune adolescent de 16 ans, elle, Vera est une femme de plus de 30 ans, lui vient d'un milieu social pauvre, elle des quartiers chics. Rationnellement , histoire peu probable mais l'amour est rarement rationnel. Et puis ici cela donne une force fragile. Oui, ces termes peuvent sembler antinomiques mais c'est ainsi que j'ai ressenti leur histoire.
C'est aussi pour Sonny le moment de l'éveil de l'amour, de l'apprentissage du désir qui se fait progressivement à travers la découverte de la peau, de la blancheur d'un cou,de la douceur d'un sein.
Le milieu dans lequel évolue nos deux héros, et particulièrement celui de Sonny est très cinématographique. Je n'ai eu aucun mal à m'imaginer Sonny dans sa famille ou encore dans la boucherie où il fait un apprentissage.
Ne connaissant pas l'auteur, j'ai fait ma curieuse et j'ai alors découvert que c'est un acteur et scénariste, rien d'étonnant donc que ce roman soit si visuel.
Je n'ai cependant pas apprécié l'emploi du "tu" pour nous parler de Sonny, était-ce pour nous impliquer davantage ? Je ne sais pas mais cela m'a déstabilisée tout au long de ma lecture qui est cependant restée très agréable jusqu'à la fin, fin qui m'a surprise et émue.
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Un ado, mal dans sa peau, perdu dans une famille bancale et sans amour. Une mère qui peine à joindre les deux bouts, un père qui file chez les bookmakers dès que la paye tombe, des frères indifférents avec lesquels il a bien peu à partager. Au milieu des cris et des reproches, Sonny tente de surnager entre l'école qui ne le passionne pas et quelques heures de travail chez un boucher, pour gagner dix livres par semaine.

Et un beau jour, il fait la rencontre qui change sa vie.
Vera est belle, très belle même, malgré un mal-être perceptible que le jeune homme ne comprend pas.
Malgré la différence d'âge et de classe sociale, une étrange relation s'installe et c'est avec beaucoup de crainte et de pudeur qu'ils se dévoilent peu à peu.

Autant le dire d'emblée, il ne se passe pas grand-chose dans ce roman et pourtant, j'y ai trouvé une sorte de nostalgie envoûtante, qui fait que les pages se tournent vite, trop vite.

Tout réside, à mon sens, dans l'ambiance opaque de cette relation improbable, lourde de non-dits.

Si Sonny est décrit avec beaucoup de précision, l'auteur choisi de laisser l'ombre planer sur son héroïne.
Qui est-elle ? On ne le sait pas vraiment, pas plus que son âge ou sa situation familiale.

J'ai particulièrement aimé le style d'écriture. le choix de l'auteur d'employer le « Tu » pour s'adresser à son héros m'a déstabilisée pendant quelques pages, mais, une fois habituée, j'ai trouvé que ce mode de narration créait une sorte de proximité, voire même de complicité entre le personnage et le lecteur.

Dire que j'ai adoré serait exagéré, mais j'ai trouvé cette histoire douce-amère pleine de charme et la révélation de la dernière page m'a laissée au bord des larmes.

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C'est un premier roman? Alors j'espère lire encore d'autres belles oeuvres de cet auteur, même si cette histoire d'amour ressemble parfois à une histoire de désenchantement, même si les personnages ne sont pas des héros magnifiques: Sonny est un ado paumé, mal dans sa vie et avec ses parents, mal en cours; Vera est une écorchée vive, belle et sensuelle ,aux yeux de Sonny. Leur histoire vaut vraiment la peine d'être lue. L'utilisation, par l'auteur, du tutoiement, nous rapproche un peu plus de Sonny.
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On appelle ça un roman d'ambiance je crois. Un de ces textes qui joue sur les silences, les sensations, les ombres et les lumières. Ou plutôt les tonalités, des couleurs un peu passées, des clair-obscur qui donnent aux personnages leur petite dose de mystère. C'est un roman qui saisit l'instant, dilate le temps et l'espace. Et parvient à capturer ces moments fragiles où les rêves percutent le réel et font surgir l'espoir.

Une "histoire d'amour" annonce le bandeau rouge... Oui, si l'on veut. Totalement improbable, hors cadre, voire incompréhensible pour le commun des mortels. Fragile, fugace, impossible et d'autant plus belle. Celle qui va réunir Sonny et Vera l'espace de quelques semaines à peine dans un Dublin où les banlieues pauvres côtoient les quartiers chics sans réellement se mélanger. Ils ne sont ni du même monde, ni de la même génération. Sonny est un adolescent de seize ans en déliquescence avec ses études, qui tente de s'insérer dans une société qui le rejette sans arrêt. Un père qui brûle ses maigres gains chez les bookmakers, une mère qui a oublié depuis longtemps ce qu'est la tendresse, des frères qui rêvent de le voir échouer autant qu'eux. Après le lycée il travaille en tant qu'homme à tout faire dans la boucherie du quartier et aide parfois son père dans des travaux de bricolage chez des particuliers. C'est ainsi qu'il croise Vera. Une femme que l'on imagine autour de la quarantaine, toujours belle mais qui promène un air de lassitude qui intrigue Sonny autant que sa beauté le subjugue.

Entre ces deux-là se noue une relation particulière, faite d'attirance, de tristesse et de tendresse. Auprès de Vera, Sonny oublie le quotidien qui l'étouffe et l'emprisonne, il entrevoit la possibilité d'un autre monde que la grisaille sans espoir qui l'entoure. Et Vera ? Que cherche-t-elle ? Quel drame essaie-t-elle d'oublier ou de dépasser ? Malgré l'hostilité palpable du monde extérieur, ils capturent quelques instants, comme une bulle de réconfort. de quoi trouver le courage de continuer... ou de changer.

C'est bien une ballade irlandaise que nous chante Karl Geary dans ce premier roman qui ne cède en rien à la facilité et dont on capte si bien les images que l'on imagine tout de suite un film. L'arrière-plan social l'ancre dans la triste réalité tandis que les moments volés par Vera et Sonny donnent envie de croire qu'il suffit parfois d'une rencontre, et surtout de s'accrocher à ses rêves. C'est un beau roman, cruel, âpre mais subtilement lumineux.
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Karl Geary est un acteur américain et, depuis la parution de son premier roman, Vera (Montpelier Parade), un auteur irlandais ! C'est indéniable, preuve qu'on ne renie pas ses origines, et dans les thématiques et dans le ton de ce livre ô combien âpre et triste comme un jour de crachin sur la lande. "Une histoire d'amour inoubliable" selon The Guardian : vraiment ? Inoubliable, c'est sans doute très exagéré et une histoire d'amour, c'est en partie vrai mais comme le dit lui-même Karl Geary dans une interview à Libération : " C'est plutôt une histoire de désir, de convoitise, de solitude… C'est une histoire d'amour qui rêverait d'en être une." Bien dit. Un récit qui explore l'existence d'un adolescent de 16 ans qui n'en peut plus de son quotidien morose, entre sa famille qui ne le comprend pas, l'école pour laquelle il n'a aucun goût, un petit boulot à la boucherie du coin, quelques actes de délinquance, une petite amie qui n'en est pas réellement une, etc. Et puis une femme superbe qui croise sa route, dépressive, malade, peu diserte sur son passé. C'est comme une déflagration dans sa vie à lui, la sauver de ses tourments devient une quête, une raison d'oublier un horizon sans espérance. Karl Geary possède une jolie plume qui fait oublier parfois que le roman s'enfonce un peu trop dans le malheur et n'adopte qu'un seul ton : gris foncé. Et puis il y a un "mais" : l'ensemble du roman est écrit à la deuxième personne du singulier. Certains lecteurs s'en accommoderont peut-être mais le procédé est lourd et tient finalement à distance de ses deux personnages.
Lien : http://cin-phile-m-----tait-..
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Avant de « chroniquer » ce premier roman de Karl Geary, deux petites remarques à l'attention de l'éditeur : la couverture est particulièrement laide et le résumé figurant sur la quatrième de couv. ne donne pas vraiment une idée exacte du contenu.
Sonny a 16 ans. C'est un bon gamin peu doué pour les études et un brin voleur. Après l'école (quand il y va), il travaille dans une boucherie. le soir, il retrouve sa famille où la télévision hurle, où les livres n'ont pas droit de cité, où le père, figure poignante sans cesse houspillée par sa femme parce qu'il dépense son salaire dans les paris, où la mère passe ses journées dans sa cuisine à éplucher quelques pauvres légumes. Devenir ouvrier et fricoter avec la vulgaire Sharon, voilà son horizon.
Quand il croise le regard de Vera, une femme plus âgée que lui qui vit dans les beaux quartiers de Dublin, il est comme fasciné pas sa beauté et son raffinement. Peut-on pour autant parler d'amour ? Est-ce Vera qu'il aime ou plutôt le monde élégant et cultivé dans lequel elle évolue alors que son milieu d'origine ne propose rien d'autre que d'assouvir les besoin les plus primaires. Sauver cette femme dépressive n'est-elle pas aussi une manière de donner un sens à une vie bien banale ? Entre rejet de sa vie d'avant et attirance pour Vera, Sonny est confronté à un dilemme propre à un âge où on se cherche une identité en chassant ce qui vous a construit et où on idéalise l'amour.
Roman d'initiation où Sonny, garçon sensible, s'éveille à la sensualité et vit une parenthèse enchantée, « Vera », avec l'utilisation de la deuxième personne du singulier qui souligne l'impossibilité du personnage principal de dire « je », est un très joli roman empreint d'une grande tristesse qui, avec délicatesse, suggère le mystère de la relation entre un jeune homme un peu perdu, solitaire et sensible et une femme d'âge mûr désespérée. C'est cette absence d'explications de la part de l'auteur qui donne toute latitude au lecteur de puiser dans son imagination et c'est plutôt agréable.

EXTRAITS
- Tu n'avais jamais possédé de livre, et celui-ci était un bon livre, tu en était sûr, à cause de ses pages abîmées à force d'être tournées, et de cette odeur d'ambre.
- Ta mère avait sans doute raison : les livres n'étaient pas pour les garçons qui découpaient de la viande.
- Tu menais une vie ordinaire et sans envergure, tu le savais très bien.

Lien : http://papivore.net/litterat..
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Sonny Knolls, jeune irlandais de seize ans, habite dans un quartier pauvre de Dublin. Il vit dans une misérable maison avec ses parents et ses frères. Après les cours, il travaille chez un boucher, parfois il aide son père sur des chantiers. C'est ainsi qu'il va rencontrer Vera, une belle femme qui vit dans les quartiers chics de Dublin. Sonny est fasciné par Vera, par la vie qu'elle mène dans sa belle maison. Il va réussir à retourner chez elle et ils vont vivre une histoire hors du commun. Sonny est tiraillé entre deux univers radicalement opposés. Quel contraste entre Sharon, une copine qui habite le même quartier que Sonny, et l'élégante Vera Hatton ! Un très beau roman, tout en finesse, un parcours initiatique qui fera grandir Sonny.
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Vera est un premier roman d'un auteur très prometteur, un premier roman intense !

Aujourd'hui vous pouvez retrouver chez votre libraire favori ce petit bijou de la littérature irlandaise, un très beau roman qui est annoncé comme une histoire d'amour inoubliable mais qui est à mes yeux un roman initiatique dans la lignée de L'Attrape-coeurs. Un récit qui prend sa source, sa force dans un personnage central fascinant et une construction narrative très originale.

En effet dès le départ le lecteur sera frappé par ce style unique qui s'adresse directement à nous : une narration à la deuxième personne du singulier qui implique, qui interpelle et qui capte notre attention. Je trouve que cette originalité apporte déjà une forme captivante, une écriture singulière merveilleuse traduite par Céline Leroy.

A côté de ce style il y a ce personnage. Même si le roman s'appelle Vera, elle est presque secondaire à mes yeux, elle est un élément déclencheur, une histoire tragique en parallèle, un être qui croise la route du touchant Sonny. Ce dernier est un adolescent Irlandais qui cherche à fuir une vie toute tracée, un destin morose et fade, qui souhaite plus, qui veut vivre et ressentir plus. J'ai tout de suite adoré cet être à la fois sensible et sincère, curieux et amoureux. Amoureux de Vera, cette femme mystérieuse qui cache de nombreux secrets...

En définitive, un premier roman passionnant et passionné qui capte notre coeur et qui nous fait découvrir un romancier incontournable !
Lien : https://leatouchbook.blogspo..
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Mon obsession cette année est de découvrir un maximum d'auteurs irlandais. Je suis tombée sur ce titre de la rentrée littéraire 2017 en le rangeant au travail (à la médiathèque) alors que je ne l'avais même pas vu passer lors de sa sortie. Les avis étant globalement très bons – voire dithyrambiques pour certains – j'étais assez confiante et curieuse de me plonger dans ce premier roman.
Force est de constater que, si je n'ai pas détesté, j'ai été un peu désappointée par ma lecture. le style m'a surprise et on est loin, à mon avis, de l'histoire d'amour inoubliable ; même si, effectivement, c'est une relation ayant un impact énorme sur les deux personnages qui la vivent.

Vera – le titre original est Montpelier Parade, du nom d'un quartier de Dublin – est un roman d'apprentissage, un roman initiatique mettant en scène un jeune garçon de 16 ans, Sonny et cette fameuse Vera, une femme taciturne et solaire, belle et énigmatique.
Sonny vit dans une famille très modeste, dans un quartier populaire de Dublin. Son père, travailleur dans les chantiers, dépense toute sa paie dans des paris ; sa mère, femme au foyer, dépérit dans sa cuisine à attendre que tous ses hommes rentrent ; et ses deux frères aînés semblent déjà perdus, sans aucun espoir d'avenir. Sonny est à un moment charnière de son existence. Peu passionné par l'école, peu motivé par son apprentissage dans la boucherie du coin, l'adolescent est sur une pente glissante. Il pourrait facilement tomber dans la délinquance et suivre le modèle familial : une vie misérable, sans lueur d'espoir. Mais Sonny possède un certain éclat, une lueur qui attire tous les espoirs sur lui. S'il sait prendre les bonnes décisions, c'est un adolescent qui peut s'en sortir.

C'est justement alors que tout se joue pour lui que Sonny fait la rencontre improbable de Vera, alors qu'il donne un coup de main à son père sur un chantier dans les beaux quartiers. Vera a plus du double de son âge, elle est riche, elle est belle, elle est brillante, elle est inaccessible. Et pourtant, Sonny ne peut s'empêcher de revenir vers elle et de s'accrocher. Cette relation sans avenir va-t-elle le faire sombrer ou au contraire, va-t-elle lui montrer la lumière à laquelle se raccrocher ?
La relation amoureuse est là, comme l'indique la quatrième de couverture et le bandeau. Mais c'est aussi un peu trompeur car ce n'est pas une histoire d'amour à proprement parler, ou en tout cas pas celle qu'on s'attend à trouver avec de telles indications. Je me demande même si ce que ressentent les deux héros l'un pour l'autre est véritablement de l'amour ? D'une certaine façon, oui. Mais Sonny n'est-il pas davantage à la recherche d'un point d'ancrage ? Presque d'une figure maternelle ? Et elle, ne s'accroche-t-elle pas à cet adolescent comme à une bouée de sauvetage ? A la fois ennemis et sauveurs l'un pour l'autre.
Je n'ai pas été insensible à cette histoire qui se noue entre deux êtres marqués par les difficultés de la vie mais je n'ai pas non plus vibré au point d'en faire une histoire inoubliable. Je dirais même que j'ai trouvé certaines longueurs au récit, ce qui m'a parfois fait un peu décrocher.

Mais ce qui m'a certainement déstabilisée le plus dans cette lecture, c'est bien la plume. Ce n'est pas tant l'utilisation du « tu » pour la narration qui m'a bloquée, que son association avec les temps du récit, et notamment le passé simple. Autant au présent, je crois que ça serait passé sans trop de problème et j'aurais même apprécié la proximité avec le héros, comme si on prenait un peu sa place… mais ces « tu » au passé simple… personnellement, je butais sur chaque phrase. Tant et si bien que je crois, qu'au bout d'un moment, je changeais automatiquement le temps de narration dans ma tête pour ne pas être dérangée. Un exemple vaut mieux que dix lignes d'explications : « Tu patientas deux jours avant d'appeler Vera : un bon compromis, d'après toi. Ce fut compliqué, cette attente. Puis tu te demandas si tu n'avais pas trop attendu, et tu courus à la cabine téléphonique après le travail. » Alors peut-être qu'en vo, ça ne rend pas du tout de la même façon mais en français, je trouve que ça coince.

Vera fut donc une lecture en demi-teinte pour moi. L'histoire n'est pas inintéressante et pas dénuée d'émotions – bien que j'en attendais davantage – mais le choix de la narration aux temps du passé et surtout son association avec la deuxième personne du singulier (le « tu »), est décidément quelque chose qui me déstabilise, même si j'en comprends l'intérêt.
Lien : http://bazardelalitterature...
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Deux personnages font toute l'histoire. Sonny, un adolescent mal dans sa peau, solitaire et timide, naïf et fondamentalement gentil mais sans réel objectif de vie. Issu d'un milieu plutôt défavorisé, il vit dans une famille aux relations tendues. Et puis, il y a Vera. de vingt ans son aînée, noyée dans un chagrin dont on ignorera longtemps l'origine. D'une classe sociale plus élevée, Vera est belle, élégante et cultivée. Autant je me suis attachée à Sonny, autant j'ai éprouvé des difficultés à cerner le personnage de Vera et ses motivations.

Evidemment, la relation qui va s'établir entre Sonny et Vera est improbable et d'ailleurs très mal vue par l'entourage du garçon. Mais cette rencontre va changer sa vie et lui ouvrir l'esprit sur le monde des livres, de l'art et de la culture, tant de choses considérées comme inutiles dans son milieu social.

Outre ces deux personnages, le système social irlandais constitue presque un personnage à part entière tant il est présent dans ce roman. On se trouve dans une opposition constante entre la grandeur et la pureté des sentiments de Sonny pour Vera et le monde étriqué qui est le sien.

L'écriture à la deuxième personne est originale bien que légèrement déstabilisante au départ, mais ce détail est vite oublié au profit de l'histoire.

Un roman d'une grande humanité, qui traite des classes sociales et de la difficulté de sortir de son milieu, entre loyauté vis-à-vis des parents et rêves d'ailleurs.
Lien : http://carnetdelecture.skyne..
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