A sept ans, elle faisait déjà une heure d'oraison par jour, quelquefois davantage, et ce qui lui était très doux. Ses parents contemplaient avec un indicible bonheur son recueillement lorsqu'elle pratiquait ses pieux exercices; toutes les bénédictions que recevait cette âme privilégiée rejaillissaient sur eux et ils ne travaillaient qu'avec plus de sollicitude à la préserver des souillures du siècle, à l'embellir spirituellement.