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3,95

sur 1923 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Une jeune fille agressée pendant son jogging, son sauveur bientôt embauché par le père de la belle demoiselle comme garde du corps. Un chasseur dans l'ombre. Qui ? Pourquoi ?
A chacun ses secrets, ses traumatismes, ses fantômes.
A chacun ses mensonges.
Karine Giebel et moi c'est une histoire compliquée…
Traumatisé par « Purgatoire des innocents », lu il y a quelques mois, je suis allé à sa rencontre il y a quelques jours aux Quais du polar de Lyon où, après quelques mots échangés sur son style et donc, mon traumatisme, elle m'a gentiment dédicacé son dernier opus.
Je dois reconnaitre que si j'avais commencé par « de force » mon jugement aurait été bien diffèrent sur l'auteure de ces deux romans.
La patte Giebel y est bien sur, mais si, dans « Purgatoire…. » c'était une patte de tigre, ici on pourrait parler d'une patte de chat….
Après une attaque violente, ça repart doucement, ça ronronne, ça guette, ça prend son temps…
Coups de pattes et caresses, alternent, mais attention le matou a des griffes et quant à la fin il les sort… ça fait mal, très mal, ça écorche, ça défigure, ça saigne, il ne faut pas réveiller le chat qui dort…
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Un Giebel en petite forme.

Un presque huis-clos pour ce roman convenu aux twists attendus.

Papa est un puissant chirurgien directif.
Sa dulcinée une jeune nympho arriviste.
Sa fille une gamine à la personnalité aussi attachante qu'une poele en teflon.
Greffez à ce tableau idyllique un nouveau garde du corps chargé de protéger cette smala aux prises avec un méchant monsieur qui fait rien que vouloir les violer, torturer, trucider, voire plus si affinité, et c'est un de Force que l'on se retrouve à parcourir sans véritable entrain tant les personnages peinent à susciter le minimum syndical d'empathie, sentiment indissociable d'un éventuel petit coeur avec les doigts boudinés et lèvres botoxées en cul de poule final.

L'écriture est toujours aussi directe.
Empreinte de mots courts, elle instaure un rythme évident et constant.
Le style est plaisant, c'est entendu, mais lorsque le récit traine en longueur sans procurer de réel engouement, c'est qu'il y a un loup.
Un Canis Lupus personnalisé par de pseudos rebondissements reniflés à mille lieues à la ronde et c'est avec soulagement que l'on referme ce petit cru, qui qui l'eût, en se projetant déjà avidement sur le prochain millésime.

Dispensable.
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Rrrgghhh, j'suis pas contente ! C'est le premier roman que je lis de cette auteure, que je croise partout sur la toile, et bon sang qu'est-ce que je me suis ennuyée ! Apparemment, j'ai fait une mauvaise pioche : lire 500 pages avant de trouver le début d'un commencement d'action, le tout saupoudré d'une écriture à peine moyenne !
Papa imbu de son pouvoir de grand ponte et remarié avec une vilaine belle-mère (dixit la fille), bouh ! Fille tombée dans la drogue car bien malheureuse, bouh ! Bodyguard bodybuildé dont toutes les femmes tombent amoureuses, bouh ! Que de clichés ! Il fallait s'accrocher ! Mais mauvais temps oblige : coincée à la maison, librairies fermées, j'ai pioché dans ma grosse Pal qui me sert d'abri antivirus en cas de coup dur. J'ai lu de force !

Jeune, beau, sportif et garde du corps, Luc sauve la vie de Maud Reynier, la fille d'un grand chirurgien, célèbre et riche. Mais l'agresseur semble vouloir finir le travail et Luc est embauché pour surveiller sa fille, et pas question d'appeler la police...

Voilà pour le pitch. Mais vous connaissez sans doute et peut-être même êtes-vous fan de cette auteure, alors pour me sortir de cette mauvaise passe conseillez-moi d'autres titres please... Je ne voudrais pas rester sur cette mauvaise impression. Merci !
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Elle m'avait habituée à mieux !
Certes ce thriller, comme tous les Karine Giebel, se dévore, les presque 600 pages en deux jours !
Malgré cette soif de finir, j'ai été déçue, je n'ai pas retrouvé son écriture habituelle. J'ai trouvé ce livre un peu léger, les scènes ronéotypées, un peu trop feel good pour un thriller.
Au départ un beau prologue, du vrai Giebel, mais la suite bof ! Par contre la fin je ne l'avais pas devinée, j'ai soupçonné tout le monde mais jamais la vérité ! je ferais sans doute un piètre flic.
Peu importe à part le début et les quelques pages de la fin le reste m'a laissée sur ma faim, pour moi ce n'est pas du vrai Giebel !
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Rencontre en demi-teinte avec Karine Giebel, j'en espérais beaucoup plus.
Un thriller qui ne m'a pas emporté, pas assez original à mon goût, même les explications finales n'ont pas réussi à changer cette impression.
J'ai surtout eu un problème avec les personnages beaucoup trop caricaturaux, le père chirurgien bourré de fric et méprisant, la fille capricieuse qui tombe amoureuse de son garde du corps, la belle-mère au physique de mannequin, vingt ans de moins que son époux et qui passe son temps à picoler.
Pas un seul personnage normal qui ne soit pas torturé, ça ajoute des rebondissements mais enlève beaucoup en crédibilité.
Néanmoins, ça se lit vite et bien, les 560 pages ont été liquidé en deux jours.
Peut-être n'était ce pas le bon moment, je retenterai sans doute à nouveau de lire Karine Giebel pour ne pas rester là dessus.
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Au bout de quelques Giebel, on ouvre ses romans en sachant que l'attachement à un personnage de l'histoire équivaut à sa mise à mort. Au minimum.
Pourtant, nous sommes pas mal à y revenir, trouvant certainement que ces coups au coeur pallient temporairement le manque de palpitant de nos vies. Parce qu'en ouvrant un Giebel, c'est bien ça qu'il faut rechercher et non les rimes ou la beauté. Vous faire croire le contraire serait comme vous conseiller de monter dans un grand huit pour admirer le paysage.
Le problème, c'est qu'à force de cotoyer Karine, on peut finir par deviner la suite. Et c'est ce qui s'est passé ici pour moi. du coup, j'ai vu le petit étirage en longeur de l'histoire.
Mais ce n'est pas grave, je suis sûre qu'elle va réussir à me surprendre une prochaine fois.
De force.
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Fan de Karine GIEBEL que j'ai découverte cette année, j'attendais beaucoup de ce livre, peut être trop justement.

Je vous passe le résumé de l'histoire D'autres l'ont fait et bien fait.

J'ai trouvé ce livre en deça de ces livres précédents. L'histoire est moins prenante que d'habitude, elle s'éternise en longueur. Les personnages sont attachants , comme d'habitude chacun dévoile petit à petit ses blessures, ses failles et bien sur ses travers.

J'ai eu du mal à entrer dans l'intrigue, le dénouement est rapide et sec.

Je vais me lancer dans la lecture de Meurtre pour rédemption, à priori, je ne devrais pas être déçue.
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"Maud Reynier, fille unique d'un chirurgien réputé, est sauvagement attaquée et secourue de justesse par un joggeur. Mais son agresseur n'a qu'une obsession: finir le travail...tandis que le professeur Reynier, défiant la raison, s'obstine à ne pas vouloir prévenir la police.
La villa du célèbre médecin, où Maud est enfermée avec ses proches, devient le décor d'un huis-clos inquiétant, et les secrets grondent en sourdine.
L'ensemble s'accorde, fortissimo, et soudain: quelques fausses notes...
Le temps de l'impunité est révolu.
Le temps des souffrances est venu."

De force... C'est un peu de cette manière que j'ai entamé ce livre qui "traînait" à la maison depuis plusieurs mois déjà. Je ne ménagèrai pas le suspense plus longtemps, j'ai dévoré les 560 pages qu'il contient en seulement 48h et je l'ai tout simplement aaaaa-dooooo-ré!!!!
Les raisons de mon enthousiasme pour cette histoire?
La plume de Karine Giebel pour commencer. Fluide, accessible, percutante et efficace. Elle sait utiliser le mot juste au bon moment pour ménager le suspense et produire l'effet escompté sur le lecteur.
Mais une bonne plume ne suffit pas sans un bon scénario.
Et alors de ce côté là... Quelle prouesse. L'histoire, en apparence assez banale, ne cesse de nous réserver son lot de surprises, de mystères, d'interrogations en tout genre, de fausses pistes, de révélations...
Mais un scénario de bonne facture ne se construit pas sans de bons personnages.
Et je dois dire que la façade de la famille parfaite est ici particulièrement efficace. Néanmoins, ne vous fiez pas aux apparences. Elles sont plus que trompeuses et vous réserveront de multiples rebondissements...
De force... c'est la manière dont j'ai commencé ce roman policier mais c'est rapidement avec envie que j'ai poursuivi cette lecture addictive qui je l'espère vous passionnera tout autant que moi.
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J'ai passé un bon moment avec Luc,Maud et son père.Ceci dit ,les fausses pistes me paraissent un peu telephonees et le dénouement ne m'a pas vraiment surpris.J'ai lu de meilleurs ouvrages de cette auteure.,Sans être déçu,je n'ai pas vraiment vibré. Tout va vite car il y'a beaucoup de dialogues mais,franchement,un peu de déception dans l'intrigue,trop prévisible.Je suis un peu circonspect.
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Deuxième lecture de Karine Giebel après Les morsures de l'ombre qui m'avait laissée sur ma faim.
Mon sentiment est mitigé en refermant de force.

Le pitch :
Armand Reynier, professeur et chirurgien réputé, imbu de sa personne, croit que tout s'achète.
Sa fille Maud, qu'il chérit plus que tout, est sauvagement agressée par un inconnu et miraculeusement sauvée par Luc, un jeune homme qui passait par là au bon moment.
Il se trouve que Luc est garde du corps ; Armand l'engage pour protéger Maud.

Je dirais que la singularité de l'écriture réside dans les phrases courtes et l'omniprésence des dialogues.
Bien que l'histoire en elle-même soit un peu rocambolesque, je dirais que « ça fonctionne » : le roman se lit facilement, la brièveté des chapitres et le suspense en font un véritable « page turner ».

Il me semble avoir davantage apprécié ma lecture qu'avec Les morsures de l'ombre, et j'ai l'intention de continuer à découvrir l ‘univers et le plume de Karine Giebel.
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