J'aime également le travail de Gimenez et je dois bien avouer qu'il a fait là du bon boulot. Je me souviens de son association avec Jodorowski pour la saga de la Caste des Méta-barons. On est loin ici de cette science-fiction hallucinante puisqu'il s'agit d'un retour vers un passé moyennageux dans un monde où les dragons existent et naissent comme des hommes.
Ce premier tome donne véritablement envie d'en savoir plus. Les intrigues de palais sont assez bien reconstituées. On sent que des personnages auront de grands rôles à jouer. Tout se met en place assez lentement il est vrai. La narration peut même se révéler pesante par moment. Pour autant, la découverte de cette histoire prend le dessus.
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Le trait de Gimenez avec sa grande capacité d'évocation sublime un récit qui ravira pour sûr les amateurs du genre.
Lire la critique sur le site : Sceneario
La narration s’avère brouillonne, les dialogues peu élégants, le suspense inexistant et le rythme pour le moins chaotique. Ajoutez-y le manque de charisme des personnages et vous obtiendrez une histoire sans relief, sans inspiration et, au final, laborieuse.
Lire la critique sur le site : BDGest
Au même moment, au-dessus du volcan Ferona en éruption, deux dragons femelles volèrent très haut, comme en signe de deuil.
L'un deux était ma mère.
On aimerait tant pouvoir inventer le dragon qui fera de nous des princes charmants.