Telle une abeille

Mimi, 5 ans, se retrouve un jour toute seule sur un trottoir de Rio avec sa petite soeur dans les bras... abandonnée par sa mère... !
Il faut beaucoup de courage et de présence d'esprit pour transformer chaque obstacle en une chance à saisir. C'est ce que fait la petite héroïne dont nous suivons le récit naïf et spontané jusqu'à l'âge adulte, un récit émouvant mais sans pathos qui, bien évidemment, ne peut laisser indifférent. Isabelle Girard s'inspire pour son premier roman de l'histoire de Dalila Gerlani, qui dirige aujourd' hui plusieurs associations qui viennent en aide aux plus pauvres : un message plein d'espoir !

wollah is kut boek. Deze vrouw is grote achterlijk, zij draagt geen hijab en ook geen boerka! Ik heb 20 gram gesnoven om dit te kunnen lezen, als yusuf dit wil, rook minstens 8 joints wollah. Mohaammed heeft 20k verdiend in de tijd dat ik aan deze boek spendeerde walleh! Koop bij ahmed deals. Ik heb grote problem mer deze wiet, minstens 6 joints om goed op weg te zijn en deze vrouw in rio ofzo helpt niet. waarom is deze boek ook geschreven in stokbroodtaal, arabish is veel gemakkelijker tfoe. kifesh wollah, zees z-deze niet, coco voor 50 oer grammetje!

On m'avait dit que c'était une histoire vraie, alors j'ai eu envie de lire ce livre. La vie d'une petite fille abandonnée trop tôt, en pleine rue. C'est vraiment une jolie histoire. Finalement, comme le personnage de Gabriela, on passe beaucoup de temps à ce plaindre de nos propres problèmes sans se rendre compte qu'on a quand même pas mal de chance.

L'auteur s'est basée sur un fait réel pour écrire ce roman. Je ne sais pas dans quelle mesure elle a puisé dans la réalité, mais j'ai trouvé certaines choses peu vraisemblables, ou disons clichées. D'un côté, on a envie d'applaudir cette enfant qui se débrouille comme elle peut, qui, à force de douceur et d'opiniâtreté, parvient à obtenir certaines choses de la vie. J'ai apprécié la lecture d'une histoire qui ne racontait pas la dérive d'une enfant livrée à elle-même à l'âge de cinq ans. Au moins, l'auteur ne nous raconte pas une longue descente aux enfers. En outre, le lecteur éprouvera forcément de la compassion et de l'admiration pour Alessandra, et sourira de ses remarques naïves.
On ne pourra s'empêcher de réagir en apprenant ce que sont devenus ses frères et soeurs qui n'ont pas vécu dans la rue. Je pense que l'auteur a voulu montrer que tout n'est pas toujours tracé par l'environnement dans lequel on évolue. C'est une idée intéressante.
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Mimi s'acharne à vivre sur les trottoirs de Rio au Brésil. Il faut travailler, trouver un toit, travailler et apprendre sans relâche. Un récit poignant