J'ai beaucoup aimé ce livre dans lequel
Julia Glass explore, avec justesse et sans complaisance, les sentiments, la psychologie, les aspirations de chacun, la façon dont la vie et les événements roule chacun tels de vulgaire pions sur un énorme échiquier.
La longueur du roman est une bonne chose, car l'auteur prend le temps de connaître les personnages, de les comprendre, de les découvrir. Il y a bien quelques lenteurs, mais elles sont moindres. J'ai été dérangée, d'abord, lorsque, d'un chapitre à l'autre, on change de personnages. Au début, j'étais prête à lire l'histoire de Greenie, la longueur du chapitre la présentant m'avait immergée dans sa vie, et j'ai été déroutée de passer à Walter au chapitre suivant. Ensuite, j'ai apprécié ces changements, car j'ai appris à connaître les personnages, et chacun m'intéressait.
L'épaisseur du livre fait qu'on peut compléter son point de vue à chaque chapitre. Par exemple, au départ, on voit la détresse de Greenie et l'aspect fermé d'Alan. Puis, le point de vue d'Alan est montré, et les portraits se complètent, les paramètres changent quelque peu.
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