Godin détaille des idées concrètes pour améliorer la condition des ouvriers de son époque, idées qu'il a mises en place dans ses usines et au Familistère de Guise : logement, salaire, etc.
Si de nombreux passages sont intéressants, les répétitions et les longueurs rendent l'ensemble presque indigeste. On sent aussi un brin de prétention de la part de Godin, notamment dans les quelques chapitres métaphysiques où il s'égare complètement...
Ne dénigrons pas le travail de Godin qui est à saluer, mais pour lire ce livre en entier, il faut s'accrocher...
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La bière, le cidre, le vin, approvisionnés en grande quantité, et par cela même en bonne qualité, permettent au sociétaire d'avoir à chaque repas, sur sa table, une boisson toujours fraîche, et qui n'a pu ni s'éventer, ni s'aigrir.
Jean-Baptiste André Godin, l'homme qui réalisa son utopie.