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Agence Hardy tome 7 sur 7
EAN : 9782205067095
48 pages
Dargaud (29/06/2012)
3.2/5   15 notes
Résumé :
Ce 7e tome de L’Agence Hardy, une série animée par Christin et Goetzinger, nous ramène dans le Paris du début des années 1960, alors que des diamants volés à une famille juive pendant la guerre refont surface. Dans ce 7e épisode de L’Agence Hardy, Édith se lance dans une enquête aussi cocasse que douloureuse qui la plonge dans un passé honteux, à la recherche de biens spoliés. Elle devra également se rendre en Algérie, alors ravagée par ce que l’on appelait les «évé... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Nouvelle enquête pour l'agence Hardy qui démarre avec la réapparition d'un rubis ayant appartenu à une famille juive assassinée dans les camps pendant la Seconde Guerre Mondiale : "Il y a un fantôme, madame. Il avait dû m'entendre farfouiller et il est sorti de là comme un vieux diable de sa boîte en me tendant la pierre rouge, le rubis je veux dire.", tandis que son jeune assistant Victor est parti en Algérie à la recherche de sa fiancée, Rosa, une journaliste qui a disparu.
"Cette femme réussit tout ce qu'elle entreprend.", voilà donc pourquoi Edith Hardy va réussir en deux temps et trois mouvements à résoudre l'enquête sur le rubis et sauver son jeune assistant qui s'est retrouve emprisonné dès son arrivée, tout comme sa fiancée qui est elle aussi retenue prisonnière, aidée bien entendu de l'agent secret américain Jones.

Je suis globalement déçue par ce septième tome de l'agence Hardy alors que j'étais impatiente de lire cette nouvelle enquête.
Ma déception tient au fait qu'il n'y a déjà pas vraiment d'intrigue, l'affaire du rubis étant résolue assez rapidement et sans trop de difficultés, j'avais pourtant l'habitude de scénarios mieux ficelés avec cette série et dont je ne devinais pas tout de suite les ficelles.
Quant à l'histoire de Victor, le lecteur n'en voit que quelques bouts au milieu de l'enquête d'Edith Hardy et au final ne sait pas trop pourquoi il a été arrêté, ni ce qu'a bien pu faire son amie Rosa pour être retenue prisonnière.
En somme, le lecteur doit faire beaucoup de déductions : certainement que les articles de Rosa ne plaisent pas à tout le monde : "Moi, je lis vos articles dans "Combat" mademoiselle Rosa, et je trouve qu'ils rachètent bien des mauvaises actions françaises.", certainement que Victor a été pris pour un déserteur, et si le but était de faire voyager Edith et Jones en Algérie en plein pendant la guerre, l'intrigue censée y prendre place n'est qu'un noyau vide trop vite balayée par la décidément parfaite et irréprochable Edith Hardy.
Car Edith Hardy est pétrie de bons sentiments, elle prend sous son aile une petite fille maltraitée par ses parents adoptifs, elle fait de l'affaire du rubis une affaire personnelle et d'honneur : "J'en fais pour ma part une affaire de morale. Nul n'a le droit de profiter impunément du malheur de ceux qui ont été rayés de la liste des vivants.", et tout lui sourit toujours, dans ce tome-ci beaucoup trop facilement d'ailleurs.
Au bout de sept volumes, j'aimerai voir une Edith Hardy un peu moins parfaite, un peu plus humaine, qui laisse ses sentiments s'exprimer, car je suis bien incapable de dire si elle pense toujours à son mari décédé et dans ce cas Jones n'est qu'une passade ou si elle éprouve de réels sentiments pour l'américain.
Victor est peu présent et c'est dommage car ce personnage apportait une touche humoristique dans les autres tomes.
Là, il n'y a pas vraiment de situation qui prête à sourire et la présence de Jones en Algérie est une coïncidence de trop, car ce personnage a trop tendance à apparaître comme un cheveu sur la soupe dans les intrigues.
Le personnage du Beau Denis est mal utilisé, il aurait pu apporter une petite touche comique à l'histoire, mais c'est plutôt raté, comme si les auteurs s'était freinés pour jouer de la non ressemblance entre Edith Hardy et Beau Denis.
Même les graphismes m'ont quelque peu déçus, Edith Hardy fait moins femme élégante que dans les précédents tomes et Jones a les traits du visage trop durs en contraste avec des épaules de déménageur.
D'une façon générale j'ai trouvé les traits des visages et les expressions trop flous, la qualité des dessins s'est dégradée à mon sens par rapport aux premiers tomes de cette série.

"Les diamants fondent au soleil" ne me laissera pas un souvenir impérissable et je préfère garder en mémoire les premiers volumes de cette série qui sont d'une qualité supérieure, tant au niveau de l'intrigue que du graphisme.
Ce septième tome des enquêtes de l'agence Hardy fond comme neige au soleil sitôt la lecture achevée, un cru de piètre qualité qui n'était pas à la hauteur de mes attentes.
Espérons que le prochain sera meilleur.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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Ce tome est le prolongement du précédent "Boulevard des crimes". Rosa, la fiancée de Victor, est parti pour un reportage à Alger.....Victor part la retrouver...
Pendant ce temps, Edit Hardy part en recherche de bijoux disparus.
Un tome un ton au dessus des tomes précédents : plein de bons sentiments, une belle histoire croisée, et le dessin est particulièrement joli, avec une Edit Hardy qui traverse tout le tome....rehaussée d'une couleur rouge qui la distingue clairement comme le personnage central de ce tome....superbe !
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J'ai commencé cette série avec beaucoup d'enthousiasme et je la termine avec beaucoup de déception. J'ai trouvé l'intrigue de ce dernier tome assez fade et les dessins ont l'air bâclés, ils n'ont plus le charme, les détails et les jolies couleurs du début.
Dommage de finir sur ce sentiment, je me souviendrai avec plaisir de l'ambiance des années 50 si bien retranscrites des albums du début.
Lien : http://jenta3.blogs.dhnet.be..
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critiques presse (3)
Auracan
28 août 2012
Annie Goetzinger signe une nouvelle fois un joli album avec un découpage moins classique que son style que l'élégance ne suffit pas à qualifier.
Lire la critique sur le site : Auracan
Sceneario
20 août 2012
[…]C'est aussi passionnant à suivre, une sorte de polar assez désuet qui ravive la mémoire, nous ramène vers ces vieux films des années 50/60, avec une intrigue somme toute très agréable.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BoDoi
09 août 2012
[…] On s’y glisse comme dans une pantoufle, et l’on savoure d’avance la prochaine relecture que l’on en fera.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
J'en fais pour ma part une affaire de morale. Nul n'a le droit de profiter impunément du malheur de ceux qui ont été rayés de la liste des vivants.
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Il y a un fantôme, madame. Il avait dû m'entendre farfouiller et il est sorti de là comme un vieux diable de sa boîte en me tendant la pierre rouge, le rubis je veux dire.
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Moi, je lis vos articles dans "Combat" mademoiselle Rosa, et je trouve qu'ils rachètent bien des mauvaises actions françaises.
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Cette femme réussit tout ce qu'elle entreprend.
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Videos de Annie Goetzinger (9) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Annie Goetzinger
L'illustratrice Annie Goetzinger s'est vue consacrer de belles expositions en Région Centre; elle est ici interviewée lors du Festival Bulleberry de Bourges par Grif'Graphe et fait l'objet d'une grande Exposition au Festival BD Boum de Blois 2015 ; Dans ce document Vidéo sur cette grande graphiste, qui fait le lien entre la BD et le dessin de mode, est évoqué son album "La reine Fantôme" créé avec Rodolphe ; Elle y annonce aussi son travail -qui s'avèrera magistral- sur "Dior" . Dans ce document on trouvera également des Extraits de sa conférence à la médiathèque de Bourges, animée par Fabrice Raquil. Ce document vidéo réalisé en travaux de Week-end par des étudiants de l'Afpa Audio-visuel avec les moyens de Prospective Images et le concours de BulleBerry a été tourné par Zynep Solma et Fabien Grare ; il a été monté ultérieurement par Patrick Dillies. Cette vidéo de 16 mn est également diffusé par Mag-Centre -Orléans - en hommage à Annie Goetzinger, à l'occasion de la Belle Exposition que BD Boum lui consacre sur Blois. Annie Goetzinger : "Silhouettes", une vidéo à découvrir donc !
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