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Une enquête d'Hippolyte Salvignac tome 5 sur 6
EAN : 9782812927607
Editions De Borée (03/03/2022)
4.14/5   21 notes
Résumé :
Quelle idée saugrenue de vouloir acheter un château en Périgord Dominant la vallée de la Vézère où se multiplient les trouvailles archéologiques.
Rocalbes avait pourtant tout pour plaire. Mais le séjour d'Hippolyte Salvignac aux Eyzies, capitale mondiale de la préhistoire, tourne vite au cauchemar en ce printemps.
1910. Les meurtres se succèdent, tandis qu'archéologues français et étrangers se livrent une guerre impitoyable pour le contrôle des sites. ... >Voir plus
Que lire après Une enquête d'Hippolyte Salvignac, tome 5 : La malédiction de RocalbesVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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J'ai découvert les aventures d'Hippolyte Salvignac avec le quatrième tome de la série « La conspiration hongroise ».
Philippe Grandcoing situe ses aventures au tout début du Xxème siècle,à la veille de la grande guerre 14/18.
Avec ce cinquième opus, nous sommes amenés à découvrir le village des Eyzies de Tayac où depuis quelques années, des vestiges de la préhistoire sont découverts par des chercheurs acharnés. Beaucoup, intéressés par l'Histoire, d'autres pour un but très lucratif.
Le père d'Hippolyte, le vieux notaire Aristide, toujours à l'affût d'une bonne affaire s'est mis en tête d'acquérir un domaine, le château de Rocalbes pour ses vieux jours et ceux de son fils. Cette demeure se trouve pile en plein milieu de cette zone très riche en silex et vestiges du temps très lointain de Cro-Magnon.
Hippolyte n'est pas très enthousiasme mais il veut faire plaisir à son père. Voici donc le petit clan Salvignac et sa chère Léopoldine, partis à la découverte du terrain et de ses dépendances.
Seulement voilà, des crimes sont commis au sein même des chantiers de fouilles. le mystère s'épaissit, et voici nos héros transformés en détectives. Hippolyte va faire appel à son ami l'inspecteur Jules Lerouet des Brigades du Tigre pour l'aider à démêler tout cet imbroglio.
Ce polar historique est surtout prétexte à nous faire découvrir les richesses du Périgord avec ses grottes, ses châteaux médiévaux, sa faune, sa flore et ses habitants.
Le roman mêle habilement les aventures de nos héros, à celles de personnages historiques ayant réellement existé : Célestin Hennion, le patron de la Sûreté de Paris, Denis Peyrony, un instituteur passionné de préhistoire à laquelle il consacrera sa vie, Otto Hauser, un trafiquant de découvertes préhistoriques : suisse allemand très mal vu par les gens du crus car étranger, et bien d'autres …
Un roman que j'ai pris grand plaisir à découvrir, merci aux Éditions De Borée. Je dois dire que je suis toujours impressionnée par la somme d'informations que l'auteur doit rassembler pour écrire un tel livre : les personnalités, les événements, les descriptions des villes traversées, les grottes préhistoriques, la topographie des lieux. C'est un tout, une histoire dans la grande Histoire.
On suit les aventures de nos héros avec entrain et intérêt.
Et le tandem Salvignac/Lerouet se complète à merveille avec bien sûr la jolie Léopoldine.
J'ai encore à découvrir le tome 2 et 3. J'ai lu dernièrement le tome 1 « Le Tigre et les pilleurs de Dieu » qui nous faisait découvrir la création des Brigades du Tigre par Clemenceau….

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Cette série est vraiment excellente car elle allie habilement une intrigue policière à un évènement marquant de la Belle Epoque , en ce qui concerne ce volume les découvertes des grottes préhistoriques dans la vallée de la Vézère en Dordogne. Les héros récurrents sont vraiment sympathiques et on se plait à les retrouver au fil de leurs aventures.
Hippolyte Salvignac, cet esthète amateur d'art et marchand d'antiquités, suit son père Notaire à la retraite, qui nourrir le projet de racheter un manoir en Dordogne pour qu'il s'y implante avec sa compagne, l'artiste anticonformiste Léopoldine. Arrivé sur place, il se demande bien si l'affaire qu'on lui propose est aussi bonne qu'annoncée car le manoir est pratiquement en ruines , les terres inexploitées et un locataire s'y trouve , ancien compagnon des folies parisiennes de Léopoldine.
En plus des meurtres inexpliqués endeuillent la région : des ouvriers des champs de fouilles préhistoriques trouvent subitement la mort. Bien sûr leur employeur, un Suisse entreprenant, surnommé "le Prussien" par les locaux, voudrait bien trouver le squelette ancien qui ferait sa fortune.
C'est peu dire qu'il n' est pas le bienvenu aux Eyzies car tout le monde le soupçonne du pire... La situation devient dangereuse pour Hippolyte qui essuie des tirs en sortant du manoir et un cadavre est jeté sous les roues de sa voiture...
Il n'en faut pas plus à notre héros pour faire venir de Paris son ami l'inspecteur Lerouet qui toujours aussi perspicace et entreprenant , ne tardera pas à résoudre le mystère... Mais avant cela les deux amis feront face à de nombreux dangers et leurs aventures sont toujours aussi attractives !
Il n'est nul besoin de lire dans l'ordre la série car l'auteur prend soin de replacer les personnages dans le contexte et je ne m'y suis absolument pas perdue alors que j'ai commencé par le tome 6!
L'auteur qui est historien excelle à présenter simplement les grands moments de la Belle Epoque et c'est un plaisir de découvrir le début de l'archéologie préhistorique en Dordogne.
En plus le lecteur se lèche les babines à la description des menus savourés par les personnages...
J'ai profité de la promo Kindle pour lire ce roman sur tablette mais je regrette néanmoins l'objet livre avec les superbes illustrations de couverture tirées pour la plupart de l'oeuvre de Jean Beraud qui a si bien su retracer la vie quotidienne de ses contemporains.
Une série à suivre et un plaisir de lecture à partager.
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La Malédiction de Rocalbes, cinquième tome de la série consacrée aux enquêtes d'Hippolyte Salvignac, a été publié par les éditions De Borée en janvier 2022. le style est soigné tout en étant fluide: "La serrure ne lui résista que quelques minutes. A tâtons, il se dirigea vers la cabane où l'on stockait les outils. Elle aussi était fermée à clef, mais, là non plus, la serrure ne lui donna guère de fil à retordre. Ayant refermé la porte derrière lui, il alluma la lanterne sourde qu'il avait prise avec lui. Il emporta une petite pioche, une binette et un sarcloir. Il glissa leur manche dans sa ceinture, de façon qu'ils gênent le moins possible ses mouvements." (Page 8)...Avec des passages plus saccadés selon les besoin du récit:" Ils s'étaient équipés pour sortir, de lourds godillots pour Hippolyte, de vieilles bottines éculées pour Léopoldine. le temps s'était gâté. Il recommençait à pleuvoir. de brèves mais violentes averses. Marie leur conseilla d'enfiler un vêtement de pluie. Il y en avait d'accrochés dans le couloir. Hippolyte déclina. Son paletot de voyage ferait l'affaire." (Page 70).
Construction: on rentre tout de suite dans l'action dramatique: "L'homme se retourna. Personne ne le suivait. Les toits pentus des maisons blotties au pied de la falaise se découpaient dans la pâle clarté du clair de lune. Heureusement, la masse sombre de l'église l'enveloppait de son ombre." (Page 7).
Puis, le récit se fait beaucoup plus lent, empruntant le chemin des écoliers: à Martel d'abord, chez le père d'Hippolyte, avant de se diriger vers le Périgord, à Rocalbes pour entrer dans le vif du sujet.
Fil rouge: les déjeuners, dîners et autres collations qui jalonnent les aventures d'Hippolyte et ses proches, en dignes Français gourmets qu'ils sont.

Aristide Salvignac, père d'Hippolyte, en notaire avisé, a tout prévu pour ses vieux jours et placer au mieux le produit de la vente de certains biens: son fils unique se rendrait acquéreur d'un château en Périgord, non loin de Sarlat, fief de sa famille maternelle, afin de l'habiter l'été et peut-être l'automne. Tandis que le vieil homme l'occuperait dès le printemps. Décision surprenante quand on sait combien il est attaché à son Quercy natal. Pourquoi ce choix de Rocalbes? Pourquoi s'éloigner à ce point de Martel, d'autant qu'à sa connaissance les campagnes périgourdines n'étaient pas particulièrement prospères?
C'est décidé: Hippolyte et Léopoldine acceptent de passer quelques jours à Rocalbes, en compagnie d'Eugène Beaupré, le locataire, afin de se rendre compte sur la demeure leur plaît, s'ils pourraient envisager d'y faire de longs séjours. Mais dès leur arrivée aux Eyries, Hippolyte et ses compagnons sont confrontés au meurtre d'un terrassier retrouvé le crâne fracassé à quelques mètres seulement des chantiers de fouilles. L'ambiance est électrique: conflit d'intérêts entre Hauser, propriétaire du chantier incriminé, surnommé "Le Prussien", et Peyrony, autre fouilleur qui compte bien sauvegarder les grottes en les faisant acheter par l'Etat, et mettre ainsi fin aux trafics d'objets préhistoriques.
Le séjour à Rocalbes s'avère mouvementé: effondrement d'une partie de la terrasse à la suite d'un violent orage, dévoilant des restes humains par vraiment préhistoriques, tandis que les morts suspectes d'ouvriers continuent, et qu'Ismaël, le chauffeur du cousin Anatole, est accusé de meurtre suite à un accident de la route aux circonstances plutôt bizarres, dont la victime est encore un employé de Hauser.
Il n'en faut pas plus pour qu'Hippolyte, dépassé par les événements, appelle à la rescousse son ami Jules Lerouet, inspecteur aux Brigades mobiles. Dès son arrivée, ce dernier flaire une affaire plutôt louche. Rocalbes dissimulerait-il un secret qui justifierait les agressions et les meurtres qui jalonnent la petite cité? Quelqu'un cherche-t-il à se venger ou à nuire à une autre personne? Jules et Hippolyte auront fort à faire pour venir au bout de la Malédiction qui pèse sur Rocalbes...

La Malédiction de Rocalbes atteste, une fois de plus, du talent polymorphe de Philippe Grandcoing, capable de se renouveler à chacun de ses romans: chaque enquête d'Hippolyte Salvignac illustre un contexte différent du précédent, abordant des thèmes aussi divers que variés: trafic d'objets religieux; conflits sociaux et émancipation des peuples; faits divers réels (le crime de l'impasse Ronsin et l'assassinat du beau-frère de Claude Monet); crise internationale autour des patriotes hongrois; polémique autour des découvertes archéologiques majeures en Dordogne. Nous entraînant à Paris, en province, mais aussi à l'étranger.
Les reconstitutions historiques plus vraies que nature, la documentation discrète mais solide, les personnages tout en contraste à la psychologie étudiée (je pense notamment au personnage de Léopoldine, certes apparue au cours du quatrième tome, femme artiste émancipée, qui illustre bien l'évolution sociale concernant la place et le rôle des femmes), la fine analyse des événements politiques sous-jacents des intrigues criminelles confèrent à cette série des qualités indéniables tant le propos de l'auteur est brillant tout en étant accessible. S'instruire en se divertissant. Voilà une missions remportée haut la main.

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Cette nouvelle enquête du duo de choc Hyppolyte Salvignac et Jules Lerouet nous transporte en 1910 au bord escarpé des rives de la Vézère, et plus précisément au village des Eyzies de Tayac, où depuis quelques années se succèdent les découvertes de vestiges des premiers temps de l'humanité.

Un bouleversement dans ce coin tranquille où viennent désormais séjourner anthropologues, pilleurs de grottes, collectionneurs de silex taillés (authentiques ou fabriqués ...), et aussi archéologues avides de butin.

Comme toujours, ce roman à suspens mêle des personnages historiques – Célestin Hennion, patron de la Sureté à Paris, Otto Hauser, trafiquant de découvertes préhistoriques, hôtelier et homme d'affaires, un citoyen suisse que tout le monde prend pour un prussien honni, Denis Peyrony, l'instituteur découvreur de plusieurs sépultures néandertaliennes à nos romanesques héros.

On retrouve avec plaisir dans cette cinquième aventure le subtil dilettante Hippolyte et l'ardente Léopoldine, sa compagne féministe qui se refuse au mariage officiel. Cependant, elle a tapé dans l'oeil d'Aristide, le père d'Hippolyte, jadis notaire à Martel (Lot). Celui-ci s'est soudain mis en tête d'acquérir un domaine en Périgord pour assurer à son fils un revenu plus stable que la location de sa boutique d'antiquités du passage du Grand-Cerf.

C'est un de ses anciens clercs établi à Sarlat, qui lui présente le château de Rocalbes, une demeure laissée dans un relatif abandon mais surplombant fièrement la falaise, mise en vente par le dernier fils d'une famille complètement ruinée. Aristide Salvignac flaire une bonne affaire, alors qu'une série de meurtres viennent bouleverser la vie simple de cette contrée trouée des premiers abris de nos ancêtres.

Il n'est pas indispensable d'avoir en mémoire les quatre précédents épisodes de la saga des Salvignac pour se plonger dans cette ambiance pleine de mystères. Les paysages : cette roche ocre, surplombée d'un chapelet de châteaux médiévaux sous lesquels on trouve immanquablement des grottes (Bonaguil, Cuzorn pour ceux que je connais), le vent du progrès scientifique soudain : journalistes, scientifiques, touristes qui viennent perturber la vie paisible et difficile des ruraux dans le pays de Jacquou le Croquant, le roman d'Eugène le Roy incarné à l'écran par le regretté Gaspard Ulliel, et parfois les enrichir lorsqu'ils louent un pré pour y effectuer des fouilles, mais aussi les manoeuvres louches d'affairistes sans scrupules allant jusqu'au meurtre. Il ne faudra pas moins que l'habileté et le courage de Jules Lerouet, efficacement secondé par Hippolyte pour déjouer la malédiction du château de Rocalbes.

Chaque fois que je referme une telle aventure – qui se déroule ici à quelques kilomètres de ma maison de Lot-et-Garonne – je culpabilise : j'imagine quel travail de documentation et d'écriture il a fallu à l'auteur pour agencer cette intrigue particulièrement complexe, alors que je l'ai dévorée en moins de deux jours.
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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J'ai eu un peu de mal avec ce roman...
C'est le premier tome de la série que je lis, et que j'ai reçu pour la Masse Critique mauvais genres, et ce n'est pas tant l'histoire que la plume de l'auteur qui m'a moins convaincue.

J'ai adoré l'ambiance début XXe siècle du roman ! Entre les voitures, les téléphones, les vêtements, les attitudes, je me suis vraiment sentie dans les années 1910 ! J'ai aussi beaucoup aimé les personnages. Et bien que je les découvrais, leurs relations et leurs caractères sont très compréhensibles et agréables à suivre, seuls ou entre eux.
Ce que j'ai moins apprécié par contre, c'est le temps avant le début de l'enquête à proprement parler. Ici, je pense que le fait de n'avoir pas lu les premiers tomes m'a été préjudiciable. En effet je trouvais le temps assez long, vu que je ne connaissais pas bien les personnages je n'étais pas touchée par leurs péripéties. Ainsi, commencer l'intrigue policière à la moitié du roman a été à peine pénible pour moi. Je n'ai pas détesté cette première partie, mais j'avais vraiment hâte que l'intrigue se lance. Second point, beaucoup de scènes d'interrogatoires et de dialogues sont coupées pour n'être racontées et résumées qu'ensuite. Pour moi ça a été assez "coupe-récit" et j'ai du mal avec ce genre de procédés. On ne vit plus la scène avec les personnages, on apprend donc moins à les connaître sur le fait, on manque des informations et ça m'embête un peu.

En soi, c'était un roman très sympathique. J'ai adoré les descriptions du Périgord et l'attachement de l'auteur à l'archéologie préhistorique, mais j'ai beaucoup moins apprécié la plume.
Aujourd'hui je ne pense pas lire d'autre tome de la série, mais qui sait, sur un coup de tête ;-)
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Toutes ces fouilles et ces découvertes archéologiques ont mis le pays en émoi. [...] Heureux celui qui a trouvé un riche filon. Il fera fortune. [...] Les musées fraçais n'ont pas d'argent et les collectionneurs étrangers ont souvent de gros moyens. [...] Ces trouvailles iront au plus offrant.
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Jules avait commencé par déverser son tombereau de mauvaise humeur.

— Le secret ! Il y en a marre du secret ! Je rentre dans une banque. Je pose une question. Qu’est-ce qu’on me répond ? Secret des affaires ! Je vais au tribunal. Je pose une autre question, et qu’est-ce qu’on me répond ? Secret de la procédure. Franchement, comment veux-tu mener une enquête dans ces conditions ? Et je suis sûr que, si j’ai le malheur de demander au maître d’hôtel ce qu’il y a dans cette sauce Périgueux qui accompagne ma viande, il me répondra : secret professionnel ! On parie ?
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Les deux amis s'étaient installés sur la terrasse de l'hôtel, le plus loin possible des oreilles indiscrètes de la clientèle et du personnel, sous une pergola encore vierge de tout feuillage. Jules fumait cigarette sur cigarette tout en griffonnant quelques notes sur un petit carnet à couverture noire. Hippolyte avait remarqué qu'il était neuf, ce qui lui parut de bon augure : l'inspecteur semblait accorder de l'importance à l'affaire.
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Tout viendrait en temps et en heure. Il suffisait d'attendre qu'un évènement, une information, une idée l'amène à se confier, à partager ses hypothèses ou à claironner quelque avancée sur l'enquête.
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— Ça fera du boulot en moins pour les gendarmes.

— Ils étaient là-bas ? demanda l’inspecteur.

— Ils ont dû arriver dans la nuit. Le temps de les prévenir, qu’ils viennent… Les gendarmes, c’est comme la pluie pour les récoltes : toujours là ou trop tôt ou trop tard.
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