J'ai délaissé les enquêtes de Ruben Quinquet pendant un an. Je m'y replonge pour un challenge et malheureusement ça ne se bonifie pas avec le temps. le premier chapitre à peine commencé je levais déjà les yeux au ciel, et ça ne s'est pas arrangé. On retrouve les mêmes noms de personnages ridicules, les pharmaciens s'appellent A.Spirine et G.Fuca, monsieur Barbe Hacane, Bandepas, etc. les femmes sont toujours soit demeurées soit prostituées. Qui trouve drôle qu'un inspecteur pince les tétons d'un témoin pour la faire parler? Comme le reste du bouquin, ce n'est ni drôle ni provoc, c'est juste d'une bêtise affligeante.
Bref, il me reste encore deux tomes et ce sera la délivrance. Allez, courage, plus que deux... Je vais faire l'impasse je crois.
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