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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ce roman se déroule plusieurs années après Harrison Harrison, bien que publié avant, et se trouve avoir un ton complètement différent. Harrison Harrison était un genre de roman lovecraftien pour ado, mais ici, on est sur quelque chose de plus sombre, puisque le roman réunit plusieurs personnages (dont Harrison) souffrant de syndrome de stress post-traumatiques, avec les histoires plus ou moins glauques que cela suppose. du coup attention, présence de psychophobie (y compris, voire surtout, intériorisée), et de mentions de mutilations, cannibalisme et autres choses bien peu ragoutantes. le roman est assez trash, donc vraiment, attention. Je m'attendais à quelque chose du même niveau que Harrison, donc soft, donc ça peut surprendre.

Les personnages devront non seulement surmonter leurs traumatismes (et certains se trouvent plus ou moins liés), mais également s'unir pour faire face à une nouvelle menace. J'ai beaucoup aimé, les histoires des uns et des autres sont à la fois fascinantes et horribles, et chacun gère son traumatisme d'une façon différente et crédible. le suspense est bien mené, on comprend petit à petit que leurs histoires sont liées ensemble et au surnaturel. La tension retombe un peu sur la fin, alors que l'intrigue devient plus classique, mais l'ensemble mérite le coup d'oeil, rien que pour le pitch de départ de ces survivants pour qui l'horreur ne s'est pas arrêtée après la disparition de leurs montres respectifs.
Lien : https://limaginaerumdesympho..
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Un bon roman plein de suspense qui m'a rendue accro !

On suit cinq personnes qui intègrent une thérapie de groupe : Harrison, Stan, Barbara, Martin, et Greta. Tous ont été sollicités par le Docteur Jan Sayer pour parler de leur traumatisme. Tous ont un point commun ; le surnaturel est la cause de l'événement qui a bouleversé leur vie.

L'écriture m'a beaucoup plu et j'ai aimé le fait qu'il n'y ait pas de personnage principal. On change tour à tour de personnage tout en gardant un détachement grâce au point de vue externe.

Je ne me suis pas attachée aux personnages, mais j'aimais suivre leur progression dans ce groupe de parole particulier. Néanmoins, j'ai préféré Barbara, personnage énigmatique marquée au plus profond d'elle.

La fin est pleine d'action et les révélations s'enchaînent rapidement. Ce roman est assez court mais en l'espace des 180 pages, il y a eu beaucoup d'informations. Chaque passage était important dans le livre.
J'étais ébahie lors du dernier chapitre, on apprend la véritable identité d'une personne restée jusque là en retrait... Et j'avoue que ça m'a fait froid dans le dos...
Le roman se termine sur une touche un peu malsaine et sombre, ce que j'ai bien aimé !

Un bon roman pour faire une pause entre de gros livres, et qui donne des frissons...

Bonne lecture !
Lou
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Une surprise!

J'ai choisis ce roman pour son tritre. J'avoue que je suis fasciné par les histoires traitants de syndrome post traumatique. Je ne m'attendais pas à un livre d'un tout autre genre et pourtant j'ai adoré!

La couverture est agréable. L'écriture fluide, le récit court et donc vierge de passage sans intérêt. L'histoire est conté par brides, amenant le lecteur à suivre chaque participant du groupe de parole.

J'aime être surprise, même si c'est déroutant, et ce roman est pile dans ce cas de figure. Durant les premiers chapitres j'ai découvert ces personnages, tenté de lire dans leur silence. Puis le roman prends une tournure différente et je me suis laissé happé par cette histoire rocambolesque. J'ai pris du plaisir à entrevoir une infime partie de ces personnages, et la derrière révélation est comme frisson dans le cou.

Les personnages de ce roman ont tous un point commun : ils ne m'ont pas laissé insensible. Stan m'a exaspérée, Martin M'a fait raler, Barbara m'a touché, Greta m'a fait peur et m'a fasciné, Harrison et son cynisme m'ont fait sourire. Et enfin Jan m'a bluffé. Seuls ces personnages n'ont pas une grande valeur, mais ensemble, ils forment un tout cohérents. Et leur récits est de ceux qui me donnent la chair de poule autant qu'ils me fascinent.

En Conclusion je recommande ce court récit à tous ceux qui n'ont pas peur d'avoir peur!

Bonne lecture à tous.
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La première chose que l'on peut dire sur "Nous allons tous très bien, merci", c'est qu'il possède un scénario vraiment original !
Quelle étrange idée de mettre en scène ces individus rescapés de l'horreur, physiquement et psychologiquement atteints, dans une même salle au cours d'une thérapie de groupe.
Le point commun entre eux ? Celui de croire que leur infortune est due à quelques entreprises fantastiques !
Dans un premier temps, nous faisons donc connaissance avec les différents protagonistes qui laissent entrevoir plus ou moins volontairement leur passé et leurs faiblesses.
Comment ne pas se prendre d'empathie pour Harrison pour Stan ou encore Barbara ? Ne pas avoir envie d'en savoir toujours plus, ce qui leur est arrivé ? Cette première partie de découverte est vraiment très intéressante.
Le livre va ensuite verser dans le fantastique, par touche légère, avant de complétement nous y précipiter dans une seconde partie, un petit moins réussie à mon goût.
Cette dernière est plus riche en action et ne concerne (à mon sens) pas le personnage le plus intéressant.
Le récit se termine ensuite assez vite par quelques révélations intéressantes, qui font regretter qu'il ne soit finalement pas plus long que ça.
L'interview qui clôture l'ouvrage rassure : l'auteur a quelques pistes de livres pour explorer de nouveau son univers dont la fin est restée volontairement ouverte !
Tant mieux, c'est un livre qui m'a beaucoup plu.
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Pour le reste, c'est un roman de genre, assumé et décomplexé, assez court, accrocheur, bien fichu, qui enchaîne les références à la culture populaire et joue avec nos peurs les plus profondes. Au passage, il vous fait prendre conscience que si vous n'avez pas un bon psy pour vous dénouer le cerveau après leur avoir survécu, autant laisser les envahisseurs anthropophages vous le boulotter.
L'article complet sur mon blog.
Lien : https://touchezmonblog.blogs..
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C'est un charmant livre que ce nouvel ouvrage du Bélial. On a pu en entendre du bien dans la célébrissime émission science-fictionnesque qu'est la Salle 101, Raoul n'ayant pas hésité à en dire du bien. Et il faut l'avouer, « Nous allons tous très bien, merci », si ce n'est pas un chef-d'oeuvre du genre, parvient aisément à faire passer un bon moment en abordant bien des choses originales et inspirantes, comme par exemple le stress post-traumatique des personnages de romans horrifiques (la suite jamais racontée, en quelque sorte), ou encore le Mal et son empire, la marginalité et bien sûr, en filigrane de tout cela, la solitude immuable de l'être humain étant sorti de force du confort de son quotidien.
Je ne vais pas revenir sur l'histoire, bien décrite en quatrième de couverture. On se demande bien vers où tout cela va nous mener, et c'est un vrai plaisir de e faire ballotter par Daryl Gregory et son écriture somme toute assez simple. On ne trouvera pas dans ce bouquin un style légendaire mais plutôt une aisance de situation remarquable. Si l'on prend comme exemple les récits des horreurs subies par les différents protagonistes, on réalise l'effort de l'auteur qui parvient à nous scotché au fauteuil, décrivant l'innommable aussi facilement qu'une comptine d'enfant, et ce sans pour autant nous écoeurer. Pas la peine de chercher le gore à outrance ou encore l'horreur la plus expressive, la richesse du bouquin ne tient pas à ça.
Petit bouquin, d'ailleurs, que l'on range du côté des novellas. Et cette taille, couplée à une découpe étrange du livre, donne un faux rythme qui se présente à la fois comme une qualité et un défaut. Je n'ai pas trouvé la narration particulièrement immersive, ce qui se révèle mineur face à la faible épaisseur du bouquin. Effectivement, c'est un peu tiré par les cheveux de parler ici d'une page-turner puisque sa lecture « rapide » est plus une conséquence des 180 pages de récit que d'une réelle adhésion indéfectible à l'écriture de l'auteur ou son intrigue.
Mais attention, le tout est très bon. Les personnages, s'ils sont dans un premier temps méchamment grossiers et caricaturaux, prennent le temps de se creuser au fil des pages, et Gregory parvient à en saisir l'essence admirablement. On sera fasciné par l'histoire de chacun, et très vite on se sentira comme membre du groupe, connaissant les habitudes et les tensions des uns et des autres. Hauts en couleur, il sera difficile de ne pas s'impliquer dans leurs tourments et leur quête de réponse.
Tout défile assez vite, et il est un peu frustrant de ne pas creuser plus certaines parties de l'intrigue, que l'on mourrait d'envie de découvrir. Tout ce mythe autour du Scrimshander, psychopathe, mélange d'un humain et d'un parasite extra-dimensionnel, se plaisant à charcuter ses victimes pour graver la face de leurs os, est par exemple un peu frustrant, le tout se révélant passionnant. En fait, avec du recul, je me dis que j'aurais adoré lire des nouvelles complètes sur le passé monstrueux de ces personnages, m'y plonger un peu plus. Ce n'est pas pour autant un reproche que je fais, puisque le fait de n'avoir qu'un point de vue a posteriori de ces horreurs laisse un flou et un mystère favorable à l'ensemble du livre, prenant clairement le parti d'un présent post-traumatique, brisé par les fantômes du passé s'incarnant ici en d'immondes cicatrices.
Il est regrettable, également, de basculer dans une histoire plus banale d'action fantastique vers la fin du livre. le propos était si fin qu'il est légèrement dommage de le gâcher au profit d'une « fin de l'histoire », qui sans être ratée, est un peu téléphonée. Les rebondissements à la fin du livre auront leur impact, sans pour autant transcender le lecteur qui perd un peu d'intérêt en quittant cette atmosphère si intelligente que Daryl Gregory avait parvenu à installer.
Dans les thèmes abordés, c'est quasiment un sans-faute. Daryl Gregory pratique autant le dit et le non-dit, fournissant quelques pistes de réflexion (genre le monomythe de Campbell) et nous laissant l'agréable effort de se faire notre propre point de vue sur cette histoire de lutte contre soi-même et la différence, une illustration quasiment magistrale de e que peuvent ressentir ces gens tirés miraculeusement de situations à l'horreur indicible. Une horreur qui se fondera bien vite dans cette figure noire qu'est le Mal, omniscient et liant chaque être pour une mise en abime vertigineuse. Un Mal qui pousse chacun à l'interrogation car incompréhensible et source d'une lutte éternelle peu salutaire.
En conclusion, le petit ouvrage de Daryl Gregory est d'une grande qualité, s'affinant au fil des pages pour un résultat étrange, terrifiant et drôle parfois, inspirant et glaçant. L'univers de l'auteur, perpétuellement orienté vers l'hommage, parvient sans mal à se démarquer du reste de la littérature actuelle pour, à l'instar d'un Gaiman, développer des thèmes qui lui sont chers, à sa manière ce sui est synonyme ici d'étrangeté, et de manière surprenante, d'une grande sincérité. Alors bien sûr, ce n'est peut-être pas le roman fantastique de l'année, mais c'est clairement une bonne surprise prenant à contrepied à peu près tout le monde dans ce domaine. Oeuvre réussie et courte, je ne saurais trop vous conseiller « Nous allons tous très bien, merci », qui mérite d'être lue pour le simple plaisir que l'on en retire.
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''Nous allons tous très bien, merci'' est une bien curieuse novella de Daryl Gregory, qui part sur une idée qui m'a de suite séduite : dans les films et séries, on s'intéresse au tueur/agresseur, mais dès que celui-ci est arrêté, le clap de fin retentit, sans s'inquiéter davantage de ce que vont devenir les victimes. Partant de là, le docteur Jan Sayer décide de mettre sur pied un groupe de paroles, afin que plusieurs de ces victimes puissent crever l'abcès, parler de ce qu'elles ont subi, avancer et retrouver leurs vies. Mais rapidement, on se rend compte que ces victimes ont encore un lien en commun, un lien obscur avec le surnaturel.

Cette novella m'a tout de suite happée de part son idée et son ambiance, et je l'ai littéralement dévorée ! Toute la première partie est excellente, les personnages sont variés et très bien présentés, leur psychologie est fouillée et intéressante. Au début, on ne comprend pas trop où veut en venir Jan, on avance dans le brouillard comme les personnages. Jusqu'à ce que l'un d'eux se fasse agresser et que les premières révélations tombent...

A ce moment-là, vers le milieu de l'histoire, les choses se précipitent alors, les explications s'enchaînent de manière un peu trop rapide et facile, l'action se fait plus prédominante et quelques facilités aident la novella a accélérer pour rapidement se boucler. Personnellement, cette accélération m'a un peu frustrée, j'aurais préféré que l'histoire prenne davantage son temps comme c'était le cas dans la première partie.

Mais malgré tout, ce bouquin est une très belle réussite, et j'ai été très surprise par que je n'avais pas du tout vu venir.
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Pour moi, de l'excellent fantastique. J'adore le concept. Parfois cela s'embrouille un peu, c'est du moins la sensation que j'ai eue, mais cette fiction a un goût d'y-revenez-y; d'ailleurs depuis cette lecture, je m'intéresse de plus près aux autres oeuvres de cet auteur que je ne connaissais pas, et que ma médiathèque avait mis à l'honneur... Oh la bonne idée...
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Les fans de thrillers, de films d'épouvante et d'humour noir vont être ravis puisque ce roman est truffé de références aux sous-genres et aux classiques de l'horreur, et c'est l'un des aspects les plus jouissifs de ce bouquin. Soyons clairs, Nous allons tous très bien, merci est quand même très très chelou, bien dark et ne plaira pas à tout le monde. Mais Daryl Gregory met en scène des personnages et des histoires géniales dans un format ultra court avec brio.
Lien : https://prettyrosemary.wordp..
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[Edit] 1ère partie de la critique ci-dessous rédigée alors que je n'étais au début du bouquin, suivie de mon avis final après lecture complète.

Je n'aurais jamais cru faire ça un jour. Partisane du fait qu'il est nécessaire de connaître l'intégralité d'une oeuvre pour pouvoir émettre une opinion complète et valable à son sujet, je termine toujours un livre commencé, qu'il me plaise, m'indiffère ou m'irrite au plus haut point.

 À l'heure où je rédige cette critique de « Nous allons tous très bien, merci », je suis à la page 29. le roman commençant page 15, j'ai donc lu 14 pages… Et je suis agacée. Très agacée, parce que depuis la 1ère page (la vraie 1ère page, je n'exagère pas), j'ai l'impression désagréable que l'auteur va, avec ce roman, prendre ses lecteurs pour des imbéciles.

Je m'explique. le synopsis est basique : 5 personnes participent à une thérapie de groupe avec une psychologue (ou psychanalyste, ça dépend des pages…), le point commun entre ces 5 personnes étant d'avoir survécu à un événement traumatisant. Après avoir lu la 1ère page, je pense malheureusement avoir bien compris où l'auteur voulait nous mener :

-       Les premiers mots du roman : « Au début, ON était six : trois hommes et deux femmes, plus le D. Sayer… ». On note le « ON », OK, le narrateur est donc membre du groupe.

-       Dans le 1er paragraphe : « Après tout, l'un de nos problèmes communs restait que nous pensions tous être uniques. Pas juste des survivants, mais d'uniques survivants. » Ce que vous ne voyez pas ici, c'est que le mot « unique » sur lequel insiste l'auteur est écrit en italique…

-       À partir du 2ème paragraphe, on se concentre sur l'un des personnages, Harrison. le narrateur passe alors à la 3ème personne du singulier mais en se plaçant dans la tête de ce fameux Harrison avec du phrases du type « Pas le meilleur nom qui soit, selon Harrison – à leur place, il aurait opté pour… ».

Je pense qu'il n'est pas nécessaire de faire un dessin. Une thérapie de groupe, l'insistance grossière sur le mot « unique », une narration qui dévoile que le narrateur, membre du groupe, connaît les moindres pensées d'un autre membre… Non seulement on n'en peut plus de ce thème de personnalités multiples vu, revu, rabâché et servi à toutes les sauces, mais alors en plus quand c'est fait avec une telle absence de finesse et de subtilité dans un livre publié en 2015, c'est vraiment nous prendre pour des cons.

Je vais évidemment poursuivre ma lecture en espérant, de tout coeur, me tromper. Ce n'est peut-être pas du tout ça et l'auteur cherche peut-être justement à induire le lecteur en erreur (auquel cas il faudra m'expliquer la cohérence de la narration quand même, puisqu'après quelques pages tous les personnages sont présentés en « il/elle », ce qui est incohérent avec le « On » initial si toutes ces personnes n'en sont pas une seule). Ou peut-être que ce groupe est effectivement les différentes personnalités d'une même personne, mais que cela sera annoncé rapidement dans le roman et que l'intérêt du récit sera ailleurs. Je continue donc, on n'est jamais à l'abri d'une bonne surprise.

[Edit] Après lecture complète :

Comme on me l'avait indiqué en commentaire, je me trompais complètement : aucune histoire de personnalités multiples ici (ouf !), il s'agit d'une histoire horrifique et non d'un thriller (oui j'achète des livres sans avoir la moindre idée de ce dont il s'agit, j'aime la découverte). J'ai trouvé le concept intéressant, mais malheureusement complètement inexploité. C'est un concept qui aurait mérité un travail approfondi de la psychologie des personnages, et l'auteur a plutôt misé sur l'action. Dommage. J'ai toujours un énorme problème avec la narration qui n'est pas justifiée : le passage d'un « nous » ou « on » au début de chaque chapitre à un narrateur omniscient est incohérente et induit le lecteur en erreur (pour ma part tout du moins). J'ai attendu une explication jusqu'au bout, mais non… En bonus à la fin du livre se trouve une interview de l'auteur dans laquelle la question lui est posée : « Pourquoi cette narration variable entre la 1ère personne et la 3ème personne omnisciente ? ». La réponse reste floue, à base de « c'est pour faire comme si le groupe était une personne », en gros c'est juste un effet de style sans fondement. Chacun se fera son avis mais l'argument n'est pas valable pour moi, la narration est un élément primordial de tout texte, elle se doit d'être cohérente avec le fond.

J'ai donc passé un meilleur moment de lecture que ce que j'escomptais au début du récit, je suis ravie d'être allée au bout du bouquin. Néanmoins la narration incohérente est, de mon point de vue, une grosse erreur, et l'intérêt du concept est gâché par le survol de la psychologie des personnages.

Un livre sympa, mais pas abouti. 

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