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3,92

sur 1188 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Depuis le temps que j'en ai entendu parler, je l'ai enfin entre les mains, du moins un des 4 tomes des « U4 ».
Ma foi, je ne peux pas dire que j'ai été emballée !

Le pitch, pourtant, m'intéressait au plus haut point : il s'agit d'un virus (U4) ayant provoqué une pandémie (tiens donc…) et seuls les adolescents résistent. C'est la pagaille partout, mais 4 « Experts » d'un jeu vidéo en ligne tentent de sauver ce monde en perdition en « réécrivant le passé ». Les 4 tomes racontent la même histoire, mais vue par 4 personnes différentes : Koridwen, Stephane, Yannis, Jules. 2 filles, 2 garçons.

J'adore les voyages dans le Temps, j'aime les histoires de virus, uniquement fictionnelles, rassurez-vous. J'étais donc pleine d'allant, prête à me lancer dans cette bataille contre le temps pour sauver la race humaine. Et puis le quadruple point de vue d'un même évènement me tentait irrésistiblement.

Mais voilà… J'ai attendu les toutes dernières pages pour aimer, càd juste au moment où l'une des Expertes, Koridwen, pénètre dans le couloir du temps. Toutes les pages qui précèdent, et ce depuis le début, relatent le voyage de Koridwen depuis sa Bretagne natale, en tracteur s'il vous plait, et avec son cousin qu'elle a sauvé de son institution psychiatrique à ses côtés ; leur arrivée et leur installation dans un Paris apocalyptique, livré à des militaires et à des meneurs autoritaires, ainsi qu'à des bandes de chiens errants effrayants ; leurs démêlés avec tous ces habitants survivants ; et enfin LA rencontre avec les 3 autres Experts qui prendront la parole dans les autres tomes.

Et franchement, ces histoires de bagarres, de survie, de cachettes dans les fourrés, de poursuites dans le métro, de fuites par les égoûts, de tirs dans les rues, ça me fatigue. Ca ne m'intéresse pas du tout, d'autant plus que c'est desservi par de courtes phrases agaçantes.
Pas de psychologie, non plus. Tout va très vite (ouf ! ) mais pour arriver à quoi ? A une fin bâclée, alors que seule celle-ci m'intriguait.

J'avais acheté, en même temps que ce tome, « Stephane ». Je le lirai, c'est certain, mais si c'est du même acabit que ce tome-ci, j'enverrai le fameux virus aux oubliettes. Peut-être que les ados, eux, y trouvent leur compte ? Je le proposerai en tout cas à mes élèves pour voir ce qu'ils en pensent.
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: U4 est en soi un concept : une tétralogie, pouvant se lire dans n'importe quel ordre, publiée par 2 maisons d'édition, chaque roman étant écrit par un auteur différent. Découverte chez George, j'ai choisi de me lancer dans la lecture de Koridwen parce que ce tome était écrit par Yves Grevet, dont j'ai beaucoup entendu parler (j'espère d'ailleurs un jour pouvoir découvrir Méto).

Deux semaines, voilà le temps mis par le virus U4 pour éradiquer 90% de la population. Seuls des adolescents, entre 15 et 18 ans, semblent avoir été épargnés. Parmi eux, quatre adolescents, adeptes du jeu vidéo Warriors of Time (WOT), vont se retrouver à Paris le 24 décembre, suivant les consignes du maître du jeu, pour remonter le temps et sauver l'humanité.


Personnellement, j'ai un problème avec ces romans où les adolescents vivent sans adultes, voire les remplacent. La crédibilité est, de base, fortement atténuée si aucun adulte n'entre en interaction, à aucun moment. La raison de la survie de jeunes de 18 ans est donnée sur la fin. Mais rien n'indique que la vie pour eux se compliqueraient forcément si aucun adulte ne leur faisait par de son expérience de la vie. La jeunesse est là pour faire ses propres expériences et se brûler, l'âge mûr est là pour prévenir cette même jeunesse et lui permettre d'accéder plus rapidement à la sagesse, d'autant plus nécessaire en milieu hostile. L'équilibre rompu, je vois mal comment les survivants pourraient espérer s'en sortir.

Autre problème dans ce roman : les descriptions. Quasi inexistantes, cela enlève tout corps à l'histoire. Koridwen n'a plus aucune spécificité et en devient banale. Les sentiments et sensations sont à peine évoqués. Comme si dire "je suis triste" suffisait à rendre compte du sentiment de tristesse qui peut envahir un personnage. le tout manque alors terriblement de profondeur.

Ajoutons à cela le caractère terriblement caricatural des personnages. Un adolescent, par essence, ça doute. de tout, beaucoup, et en permanence. Ici, Koridwen accepte bien trop vite son héritage de guérisseuse, transmis par sa grand-mère bretonne. le parallèle entre chaque personnage et son avatar dans le jeu vidéo WOT n'est guère creusé. Et Kori se transforme bien trop rapidement en sauveuse du monde, à peine quelques jours après avoir quitté ses vaches. A nouveau, avec ce manque de crédibilité du personnage, cela gêne l'attachement que le lecteur peut avoir pour elle.

Un projet ambitieux donc que cette série U4 mais une lecture qui fait flop et ne me donne pas envie de découvrir les autres romans.
Lien : http://nourrituresentoutgenr..
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Ce roman est le dernier de la série que j'ai lu.
Il me permet de refermer la page de la saga U4, expérience littéraire des plus intéressantes.
J'ai laissé du temps entre la lecture de ce tome et celle du tome précédent, afin de renouveler mon regard.

Malgré cela, je n'ai pas réussi à m'intéresser vraiment à Koridwen, qui une fois le roman terminé, garde toute sa part de mystère.
L'auteur est pourtant un de mes auteurs préférés. Pourtant, ici il n'a pas réussi à m'attacher aux pas de son héroïne bretonne.
L'intrigue principale étant déjà connue, l'essentiel, pour ma part, était de découvrir la protagoniste principale, son implication dans l'intrigue et le regard qu'elle porte sur les différents événements.

En fait, je ne l'ai pas trouvée très sympathique, plutôt froide et manipulatrice, trop centrée sur sa pseudo-quête aux racines celtiques. Je dois avouer que les allusions à la culture bretonne et les références magico-druidiques ne m'ont pas convaincue.
Et lorsque enfin elle rencontre les trois autres protagonistes, j'ai été déçue de leurs interactions. Grevet ne s'attarde pas vraiment sur leurs dialogues, comme si cela n'avait aucune importance pour son personnage.

Le chemin suivi par les trois autres protagonistes de la saga n'est pas celui de Koridwen : les autres romans étaient des romans initiatiques où trois adolescents confrontés à une situation dont ils ne sont pas responsables, qu'ils ne maîtrisent pas ou presque pas, essaient de faire avec, de trouver leur voie et de vivre; métaphore en quelque sorte de l'entrée dans l'âge adulte. A la fin de chacun des trois autres romans, chacun a trouvé sa stabilité, a mûri, trouvé tant bien que mal sa place dans un monde qu'il ne peut changer mais seulement améliorer. Chacun s'est rendu compte qu'il n'est plus dans un jeu en ligne, une réalité virtuelle. Koridwen, elle, poursuit le jeu dans la réalité, ainsi que les rêves héroïques de l'enfance, le sentiment d'être une élue. De ce fait, en outre, elle fait finalement le choix de rester la petite-fille de Mamm-gozh et non de devenir une adulte.

A la lecture du tome de Grevet, j'ai eu le sentiment que Koridwen cherche à revenir à tout prix en arrière, s'agrippe à tout prix à son enfance, à ses racines (l'héritage de sa grand-mère qui la guide mais conditionne aussi tout son cheminement).
Elle fait, certes, des rencontres mais donne l'impression que rien ne lui laisse une impression durable. Et d'ailleurs la fin du roman confirme cette idée.
Autant les trois autres tomes offraient une progression linéaire de l'intrique, autant dans ce roman-ci, c'est l'image du cercle qui vient à l'esprit.

Finalement, j'ai bien fait de lire ce roman en dernier car c'est celui qui ressort du lot. Cependant, c'est peut-être celui que j'aime le moins car la nouveauté de l'intrigue avait totalement disparu et la partition jouée par le personnage ne m'a pas vraiment captivée.
De plus, c'est celui qui à l'aspect dystopique rajoute une dimension fantastique que j'ai trouvée inutile. Néanmoins, c'est ce qui le rend le plus intrigant des quatre volumes.

A partir de 14-15 ans
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Koridwen vit dans le nord du Finistère, pas loin de Morlaix. Tout son hameau a été décimé par un virus : U4 (Utrecht, comme la ville des Pays-Bas et 4 pour 4e génération). Ce virus a déjà décimé 90% de la population mondiale. Il semble épargner les adolescents. Sur un jeu vidéo en ligne auquel s'adonnait Koridwen avant que le serveur du jeu ne se déconnecte, un certain Khronos avait posté un étrange message, laissant présager qu'il connait le moyen de remonter le temps pour changer le cours des choses. Il faut pour cela se rendre sous la plus vieille horloge de Paris, le 24 décembre. le jour de ses quinze ans, Koridwen, parce qu'elle se sent menacée dans son hameau fantôme où font irruption des bandes de jeunes pas franchement bien intentionnés, décide de tracer la route vers Paris, en tracteur (seul moyen de locomotion possible). Sa seule compagnie : son cousin Max, handicapé mental.

Au dernier Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil, j'ai été impressionnée par la foule qui se massait autour des quatre auteurs de cette série française. Je trouvais les couvertures des livres sympas et une copine blogueuse a fini de me tenter...
Quatre livres que l'on peut lire dans l'ordre que l'on veut sans être perturbé. J'ai choisi Koridwen parce que ça se passe dans le Finistère et que le Finistère, du moins le sud, ce n'est pas tout à fait rien pour moi. Alors une dystopie "bretonne", je voulais voir ce que ça donnait. Et je n'avais jamais lu Yves Grevet, que je sais instituteur.
Koridwen avait une grand-mère qu'on disait un peu sorcière, elle avait pouvoir de guérison à partir de recettes "magiques", contenues dans un livre qu'elle lègue à Koridwen : il avait été dit que le jour de ses quinze ans, Koridwen aurait l'autorisation de d'ouvrir une mystérieuse enveloppe, celle qui lui révélera l'existence de ce livre de remèdes. Une sorte de talisman qui protègera la jeune fille dans le long périple semé d'embûches qui l'attend pour tenter de changer le cours des choses... Et aussi une comptine bretonne, Ar Rannoù, qui livrera au fur et à mesure des indices à la jeune héroïne. (Ar Rannoù est "le premier texte du Barzaz Breiz, un ouvrage où sont réunis les chants traditionnels bretons" et qui date de 1848. C'est un "dialogue entre un druide et son élève" et "il a été transmis oralement dans un dialecte de Cornouaille".)

Tout cet aspect, avec le folklore breton, j'ai accroché. Mais hélas, il n'est qu'une toile de fond de l'histoire. Pour le reste, c'est-à-dire la dystopie à proprement parler, je n'ai pas du tout adhéré. J'ai trouvé ça trop désespérant : comment un monde dont les seuls survivants sont des adolescents (et quelques adultes transformés en miliciens chargés de les regrouper dans des camps pour les priver de leur liberté) peut-il être aussi noir ? Une histoire blindée d'armes et d'ado malfaisants, alors qu'ils sont des survivants, trop peu de solidarité entre eux. Des personnages agressifs et sombres, un monde où règne la loi du plus fort. Paris noire, avec ses souterrains ferrés squattés par des bandes, sa "Dalle" du 13e guère mieux lotie. Dans ma tête tout se passait de nuit. Tout ça a fini par m'ennuyer au point que j'ai eu du mal à terminer le roman.
J'ai aussi eu du mal à adhérer au style d'Yves Grevet :
"Je marche devant. Les rues sont redevenues complètement vides et calmes. Nous rejoignons le square en quelques minutes. Je les fais descendre dans les égouts. Aucun d'eux ne semble surpris ni n'exprime de réserves. L'ont-il déjà fait ? Nous progressons dans une quasi-obscurité sous le regard indifférent de quelques rats placides. Mon répulsif ouvre le chemin. J'utilise pour la première fois notre tunnel qui débouche dans le cimetière."
Trop plat à mon goût, ça manque de piment dans le descriptif (mais ce n'est que mon avis). Et de suspense aussi (pas de coup de théâtre fracassant).

J'ai terminé ce roman ado il y a plus d'un mois et à vrai dire, je n'en garde pas de souvenirs impérissables. La dystopie, ce n'est finalement peut-être pas mon truc. Ou alors, il me faut davantage d'espoir dans la noirceur. Et un peu d'humour (noir) aussi.
Lien : http://milleetunelecturesdem..
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J'ai toujours du mal avec les ouvrages extrêmement mis en avant parce que j'attends toujours quelque chose d'exceptionnelle en retour. Je trouvais originale l'idée que chaque livre se lise indépendamment et en même temps nous donne une vision différente de l'histoire. Koridwen preuve de beaucoup de sang-froid pour gérer la situation...
Lien : http://sariahlit.blogspot.fr..
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J'ai lu mon premier U4 en octobre 2015 et il s'agissait de Jules que j'avais particulièrement apprécié. J'ai laissé passé du temps avant de replonger dans cette aventure et d'avoir une vision féminine. J'ai donc choisi Koridwen dont les avis étaient plutôt dithyrambiques, mais malheureusement pour moi, je ne suis pas de cet avis.

Tout d'abord, je n'ai pas du tout accroché au style de Yves Grevet, que j'ai trouvé froid et impersonnel. J'avais l'impression de lire un périodique. Pas ou très peu de descriptions, des actions sans intensité, mon électrocardiogramme est resté plus que plat. J'ai mis du temps à terminer ce roman, je voulais cependant connaitre ce qui était arrivé à ce personnage qui me semblait haut en couleur lors ma précédente lecture et via le regard de Jules.

Je n'ai pas accroché avec ce personnage qui m'est apparu vide de toutes émotions : elle m'a laissé comme impression d'un personnage froid, insensible, égoïste et complétement à côté de la plaque. Même ses rencontres et ses aventures sans lendemain sont inintéressantes.

Quand à la fin, j'ai été plutôt déçue de la tournure qu'elle a pris, je ne m'attendais pas à ça pourtant c'est surement ce que j'aurai voulu lire avec Jules, ce qui est assez déroutant je vous en conviens. Mais est-ce que j'ai mis trop de temps entre les romans, c'est possible. Est-ce que j'ai l'envie de découvrir les aventures des autres personnages, je ne le pense pas, mais qui c'est, on ne sait jamais.


Lien : http://exulire.blogspot.fr/2..
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Quoiqu'il arrive, j'avais décidé d'aller jusqu'au bout un peu comme Koridwen. Elle dans son aventure chaotique, moi dans ma lecture.
Donc, un peu comme pour Stephane, j'ai trouvé la lecture moins niaise. Étonnamment, je trouve les romans mettant en scène les garçons un peu nunuches.
D'ailleurs, j'ai relevé une phrase de Koridwen qui explicite bien mon sentiment : "Et ne fais pas pleurer les garçons, ils ne l'ont pas mérité"
Ce qui me donne le sentiment final que les auteurs ont fait des personnages masculins faibles pour donner plus de force aux personnages féminins. C'est dommage, car inutile à mon sens.
Je trouve le personnage de Koridwen intéressant, la fin aussi est intéressante pour le coup c'est un des seuls volumes qui m'a tenu jusqu'au bout.
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Dans un futur proche, un virus anéantit l'humanité à l'exception des jeunes de 15 à 18 ans. Koridwen fait partie des miraculés. Elle commence par survivre dans la ferme où elle a toujours vécu, en Bretagne, s'occupant des bêtes et organisant son quotidien sans objectif précis. Puis, elle va récupérer son cousin Max - un adolescent handicapé - et décide de partir avec lui pour Paris. Pourquoi? A cause de rêves prémonitoires, d'une grand-mère un peu sorcière qui lui a livré ses potions et secrets avant de mourir... et du dernier message d'un jeu vidéo auquel Kori était accro: si vous voulez sauver le monde, rendez-vous le 24 décembre sous la plus vieille horloge de Paris...
L'originalité d'U4 est d'être écrite à quatre mains, en mettant en exergue un personnage par livre alors que les trois autres en seront des personnages secondaires, et d'arriver à construire avec ces contraintes fortes une intrigue qui se tient. Pas facile... J'étais très impatiente de lire ce que cela pouvait donner, et j'ai commencé par ce volume.
J'ai apprécié le début du livre, mais j'avoue ne pas avoir été transportée par la suite. La transformation d'une Kori désemparée et attachée à sa ferme en une héroïne urbaine digne de Lara Croft est trop rapide à mon goût, même si on la sait adepte de WOT, un jeu vidéo du même style. On apprend des choses intéressantes sur la culture celtique, les péripéties sont nombreuses, mais trop de morts sans âme pour moi; on reste un peu à la surface, on a envie de gratter pour en savoir plus sur comment la vie se passe vraiment dans ce Paris post-apocalyptique. Il me manque les images, les odeurs, les sensations. Et la fin m'a totalement prise au dépourvu: je m'attendais à mieux.
Toutefois, je lirai les autres volumes pour avoir un avis général sur ce projet innovant.

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Merci à Babelio pour cette réception que j'avais hâte de lire.

Après avoir lu Yannis, il y a quelques temps qui m'avait très moyennement plu, j'avais tout de même envie de découvrir l'histoire de Koridwen, qui je l'avoue m'intriguais plus au vu des premiers chapitres que j'avais lu.

Je me suis donc replongée dans l'histoire d'U4. le virus qui a tué quasiment tout le monde, et principalement les adultes. Quatre jeunes, jouant à un jeu en ligne, on reçu un message avant de n'avoir plus de connexion, leur expliquant qu'ils pouvaient retourner dans le temps pour sauver tout le monde.

Ici, c'est donc Koridwen que nous suivons. Cette jeune fille qui a perdu toute sa famille et qui ne survit qu'en compagnie de ses animaux. Dans les premières pages, je me suis plutôt bien habituée à son personnage, son caractère tout ça. J'arrivais déjà plus à apprécier le personnage que pour Yannis. En revanche, passées les 80 premières pages, j'ai trouvé ça très long. En fait, pendant plus de 100 pages Kori avance, accompagné de son cousin, qui ne m'a pas paru super attachant pour le coup. Il ne se passe pas grand chose pour tout vous dire. Elle fait quelques rencontres mais ça ne donne pas assez de rythme à l'histoire.

Plus on avançait et plus je perdais ma motivation à continuer. J'ai malgré tout tenu bon et été jusqu'au bout, mais au final, j'avoue rester sur ma faim.

Les rencontres avec les autres personnages ne se font que tardivement, et sont très brèves. Et je n'arrivais plus à accrocher à l'histoire. On suit Kori, qui fuit certaines personnes, qui interagit avec les mêmes personnages, sans vraiment avancer.

Concernant la conclusion de ce tome-ci, au final, moi qui attendais vraiment cette fin, que nous n'avons pas dans le tome de Yannis, et bien je me suis dit qu'elle arrivait trop soudainement. On a vraiment l'impression que ça venait de nul part, d'un coup.

Je suis donc assez déçue de ma lecture. Trop jeunesse à mon goût et pas assez de développement sur certains aspects. Je lui accorde la moyenne, de justesse car il y avait quand même de bons éléments, mais pas suffisamment pour que ce soit une lecture que je conseille. Dommage..

J'aime toujours autant leur couverture !
Lien : http://my-bo0ks.over-blog.co..
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Comparer a Yannis que j'ai lu en premier, je m'attendais serte à un style différent et a un autre point de vue, mais je suis déçu par ce personnage que, du point de vue de Yannis semblait plus intéressant. Evidemment je ne peux pas blâmer l'auteur d'avoir créer un personnage a fort caractère( et cette initiative me plaît d'habitude) mais je ne supportais plus Koridwen à la fin. C'est dommage car c'est un personnage très important dans l'histoire!
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