Deux femmes et un jardin

J'avais envie de légèreté et la couverture m'a attirée. Après tout, quoi de plus léger que des ballons !
La quatrième de couverture n'a rien de très innovant mais, le point de vue peut être différent ainsi que les personnages.

Première surprise en l'ouvrant, la police de caractère est très grosse. Si j'avais regardé plus attentivement, c'était noté sur la couverture « texte taille 20 » 😅. Au moins, je ne me suis pas fait mal aux yeux.
L'histoire est très lente, un peu comme son personnage de Mariette semble l'être. L'autrice ne donnant pas de détails sur ses personnages, on ne sait pas quel âge elle a.
Il ne faut pas s'attendre à une grande histoire.
Mariette met une trentaine de pages à organiser son voyage, l'achat de sa carte routière est très très long.
D'ailleurs, il n'y a pas de chapitres dans ce roman. Quelques séparations par des étoiles.
Quand arrive enfin le personnage de Louise, lorsque c'est elle qui narre, on ne le comprend qu'au bout d'un moment car aucune indication sur qui va nous raconter ce qui va suivre.
Pas vraiment d'échanges entre elles. Elles se comprennent plus qu'autre chose.
Et puis, l'essentiel de ce roman va au jardin.
Toutes les plantes de l'encyclopédie du jardin ne seraient-elles pas citées dans ce roman ?

Un roman assez plat en somme, mais qui se lit très vite, sans lunettes, sans loupe et presque sans lumière 😂.
Finalement, tout était dans le titre.

Voilà un très court roman qui se lit facilement. C'est mignon, sympa, mais c'est vu et revu : la vieille dame un peu misanthrope et à la vie pas facile qui construit une amitié un peu particulière avec une petite fille, on connaît (cf « L'élégance du hérisson »). C'est juste transposé dans l'Orne, que quasi-personne ne connaît, mais à part ça, rien de nouveau sous le soleil. La fin est très bonne, ce petit twist qui remet en lumière la raison pour laquelle l'héroïne reçoit cette maison en héritage. Rien de transcendant, mais une lecture simple et facile, adapté à la farniente du bord de piscine. Deuxième lecture : je maintiens mon avis.

C'est un roman très court et pourtant il m'a semblé étrangement long… je n'ai pas du tout apprécié ma lecture, c'est un rendez-vous manqué pour moi malheureusement. J'avais été séduite par le résumé, je suis donc déçue de ne pas avoir été emportée par cette histoire. C'était trop contemplatif à mon goût, trop plat. En revanche, j'ai bien aimé l'écriture de l'autrice, elle est fine, poétique et choisit les mots justes pour décrire les décors, les sentiments des personnages. Malgré cela, je n'ai pas réussi à éprouver de l'émotion et de l'intérêt pour cette histoire, pourtant j'aurais bien aimé… Ce roman n'était pas fait pour moi, mais je suis certaine qu'il plaira à de nombreux lecteurs…

Je suis passée franchement à côté de ce court roman. Je me suis ennuyée du début à la fin alors qu'on m'annonçait une pépite.
Mariette a été femme de ménage pendant toute sa vie à Paris et soudain hérite d'un membre lointain de sa famille une petite maison dans un hameau au fin fond de la Normandie.
Elle va y croiser Louise, gamine de 14 ans, intelligente mais qui s'ennuie.
Ses deux femmes vont être réunies par le jardin de Mariette dont elles vont partager l'entretien et l'amour.
Pas ou peu de dialogues, des penses non abouties, des sujets pas vraiment traités sur la vie de Mariette.
Non vraiment je suis passée à côté.

Deux femmes et un jardin est un roman très contemplatif et poétique.
C'est une histoire assez courte (148 pages), il se lit rapidement. Cependant, certains passages m'ont ennuyé.

Dans ce roman, on rencontre Mariette, une femme de ménage parisienne qui hérite d'une petite maison, loin de tout en Normandie, avec un jardin en friche et Louise, une adolescente de 14 ans, en vacances. Un lien va se créer entre elles deux, une amitié naissante...

Sur le papier, cette histoire aurait dû me charmer car j'aime les relations inter générationnelles. Mais je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Je n'ai pas saisi leurs sentiments bien trop peu décrits.

Le jardin est un troisième personnage, il est très présent. On le connait sous toutes ses "coutures". On s'y voit très bien d'ailleurs, on arrive même à sentir les odeurs de chaque fleur.
Je conseille ce récit à tous les amoureux de botanique.

La morale de cette histoire serait que nous pouvons toujours avoir une seconde chance, que la vie peut nous offrir quelque chose de beau en sortant un peu de notre zone de confiance.

Un roman sur l'amitié, doux et poétique mais qui ne restera pas gravé dans ma mémoire pour ma part.
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Alors qu'elle est à l'automne de sa vie, Mariette apprend qu'elle est l'heureuse héritière d'une vieille bâtisse dans un hameau au fin fond de la Normandie. Après avoir passé sa vie à faire des ménages à Paris et à se fondre dans une solitude choisie, elle décide sur un coup de tête de tout plaquer et de poser ses valises là-bas afin de découvrir ce cadeau. Bien qu'abandonnée et le jardin complètement en friche, Mariette voit immédiatement le potentiel du lieu pour sa retraite bien méritée. Mais alors qu'elle se lance dans des projets pour rendre le lieu encore plus parfait, elle fait la rencontre de Louise, une adolescente qui passe les vacances scolaires avec sa famille non loin de sa maison. Cette dernière s'ennuie et voit en Mariette une amie et confidente improbable avec laquelle passer de bons moments tout en rendant sa beauté au jardin sauvage le temps d'un été.



Je n'en dis volontairement pas plus, le roman faisait moins de 200 pages. Je peux juste vous dire que si vous aimez les romans d'ambiance, très calmes et apaisants, comme peuvent l'être certains romans japonais, vous allez aimer. Si ce n'est pas le cas passez votre tour mais je suis persuadée qu'il saura trouver son public. La plume de l'autrice est très belle, poétique et rend hommage à tous ces petits bonheurs du quotidien comme peuvent l'être la nature, le jardinage ou l'amitié entre deux personnes, ici intergénérationnelle. On a envie de partir en Normandie découvrir cette bâtisse et peut-être nous aussi mettre la main à la pâte (ou plutôt dans la terre) pour redonner vie à ce jardin sauvage qui a certes son charme mais dans lequel il est difficile de se mouvoir, étant envahi par les ronces. Mariette et ses secrets m'ont émue, Louise m'a rappelé des moments d'adolescence (qui ne s'est jamais ennuyé ado en vacances avec ses parents ? 😂) et leur complicité qui se tisse au fil des pages est sympathique à suivre.



Je m'attendais cependant à autre chose en lisant ce roman. le manque de rythme et de rebondissements ne m'ont pas dérangés plus que ça car j'aime les romans calmes de temps à autre et au moment où j'ai lu ce roman c'est ce dont j'avais besoin. Cependant je pensais qu'il y aurait plus de secrets et ce n'était pas forcément le cas. Bon j'avoue que je m'attendais aussi à une découverte d'un genre particulier dans le jardin mais je crois que je lis trop de polars haha ! A noter également qu'il n'y a pas de chapitres, mais le roman étant court ce n'est pas forcément dérangeant.

Un petit livre abandonné dans une boite à livre, j'étais curieuse de découvrir cette histoire contemplative et poétique. Malheureusement, la sauce ne prend pas. Cette histoire est celle d'une amitié atypique qui se développe entre une jeune fille et une femme âgée, liées par la solitude et qui se retrouvent pour entretenir un jardin. Ce type d'intrigue est fréquent dans la littérature japonaise et je m'attendais à un récit lent et suranné, qui parvient à rendre poétique le moindre geste du quotidien, tout en mettant en avant la beauté de la nature. Mais le livre perd en comparaison et n'arrive pas à la cheville de la littérature contemplative japonaise. L'auteur ne va pas assez loin à tout les niveau, on reste sur sa faim. Ce petit livre retournera dans un boite à lire et fera peut être le bonheur d'un autre lecteur.

Il a été un coup de coeur pour beaucoup de monde. La magie n'a pas opéré pour moi. L'attachement à des personnages dont on ne sait rien m'est impossible. Tout est survolé.
J'ai aussi eu beaucoup de mal avec le rythme. Il n'y a pas de chapitres, pas de coupures et pas vraiment de fil conducteur non plus.