84, Charing Cross Road

Ce livre est court et rapidement lu (il m'a laissé un peu dubitative)
J'ai bien aimé le début avec les échanges autour de la lecture entre cette américaine, scénariste, et Franck Doel le libraire.
Les lettres vont de 1949 à 1969.
Cependant, une fois passé l'effet de surprise, le ton m'a semblé rapidement redondant : La recherche de livres, leur prix, l'envoi de cadeaux pour Noel et les anniversaires : j'ai un peu de mal à comprendre l'engouement pour ce livre…
Une déception pour ma part, malgré quelques sourires (1953, les couronnes du dentiste de l'autrice sont mises en parallèle avec le couronnement de la reine)

84 Charing cross road.... ou le bouquin tout ça pour ça ! o.O

C'est en lisant un des avis sur Babélio que j'ai eu envie de lire... il était en train de mourir dans ma Pal... ( j'en ai plein des comme ça, de toutes sortes qui sont en train de mourir dans ma Pal)...
Un échange épistolaire entre un libraire anglais et une cliente américaine...
J'aime bien l'épistolaire d'habitude... on peut y trouver tellement dans l'épistolaire...
Manque de bol, pour celui-là ce n'a pas été le cas, je m'en trouve un peu mari...

Bon il faut dire qu'il en manque, il y a des gros trous dans la correspondance, des réponses à des lettres qui ne sont pas là, sans doute qu'elles n'ont pas été retrouvées. Parce que cette correspondance s'étale sur les années 1949/1969 quand même...
Peut-être en attendais-je plus, peut-être en attendais-je trop... allez savoir.
Les lettres et des deux côtés sont sans intérêt.. et pour rien...
La Hélène n'est ni drôle, ni attachante... j'ai eu même à un moment un « Mais pour qui elle se prend c'te co**** ( avec la fin en asse) ! »
Et de l'autre, bin c'est juste « votre avoir s'élève à tant et merci pour les oeufs/jambon/boite de langue/viande ! »
Et les livres dans tout ça ?.... heu... Les choix et les désirs de la Miss Hélène sont ce qu'ils sont et je n'ai rien à dire là-dessus, les livres à l'époque étaient pas chers ( époque bénie!)... et puis ? Bin rien...
Non tout cela ne me laissera pas un souvenir impérissable... ça arrive, c'est pas grave...

Ce livre épistolaire est très charmant, l'écriture est soignée, le style est tout à fait adapté. L'histoire est touchante elle aussi. Mais je m'attendais à davantage. Ce qui est par contre très fort c'est de savoir que cela a vraiment eu lieu et qu'il y a 50 ans, on s'échangeait des oeufs en poudre et du jambon à travers l'Atlantique.

Bon, à la lecture des critiques plutôt positives, je peux dire que je suis passée à côté de ce court livre qui relate la correspondance entre une américaine et une librairie anglaise, dans les années 1950-1960.
D'accord, il y a de l'humour dans le culot de cette femme exigeante qui rouspète quand ses commandes tardent trop ou quand on lui envoie une édition qui coupe les oeuvres demandées, il y a des liens qui se créent entre elle et le personnel de la petite librairie, il y a de la culture dans les oeuvres citées (dont beaucoup me sont inconnues).
Mais voilà, c'est tout: je ne me suis attachée à personne, j'ai trouvé la correspondance répétitive. Bref , je me suis ennuyée.
Vous n'avez plus qu'à essayer vous-même pour vous faire un avis...

Comment nombre de critiques peut s'emballer pour si peu, si plat? Point d'explication! Cet échange de correspondances n'est autre qu'un échange de commandes des années d'après-guerre. Rien de captivant. C'est d'un creux, malheureux... La version originale aurait au moins apporté l'intérêt linguistique.

Autant le dire tout de go, j'ai été très déçue par ce roman qui fait pourtant l'objet d'un véritable culte de part et d'autre de l'Atlantique. J'avais lu tellement d'éloges au sujet de ce livre qu'il avait même eu le privilège de figurer dans la catégorie "urgent" de ma LAL.

Ce roman épistolaire rassemble les lettres échangées de 1949 à 1969 entre l'auteure - scripte new-yorkaise amatrice de livres rares et anciens - et Frank Doel, un libraire londonien auprès duquel elle commande ces oeuvres tant désirées. Même si je ne m'intéresse pas particulièrement à ce type d'ouvrages, je pensais trouver là un bel hymne à l'amour des livres et des librairies.

Malheureusement j'ai été particulièrement agacée par le ton des lettres d'Helene Hanff, que j'ai trouvée impolie, capricieuse et méprisante. Apparemment, il s'agirait de son "merveilleux sens de l'humour". Soit... Les membres du personnel de la librairie londonienne ne sont guère beaucoup plus attachants, leurs lettres n'ayant la plupart du temps pour seule consistance que des remerciements pour les colis de nourriture que l'auteur leur envoie par avion.

Certes, l'évocation de l'Angleterre après guerre est intéressante et deux ou trois passages sur nos habitudes de lecteurs ont fait écho à l'amoureuse des livres que je suis. Néanmoins, je suis restée de marbre face à cette correspondance qui ne contient selon moi aucun partage littéraire et dont l'engouement me laisse perplexe.

Les avis sur ce livre sont plutôt unanimes. Pour ma part, je n'ai pas trouvé ce livre si extraordinaire que ça.
Je dirais même que j'ai davantage apprécié tout ce qui tournait autour de l'histoire que le contenu du livre en lui-même.
L'idée d'une correspondance réelle entre des employés d'une librairie et une scénariste est séduisante, les liens qui se tissent entre les différents protagonistes, leur intérêt commun pour les livres, tout cela force à l'admiration mais...
J'ai trouvé le personnage d'Helene Hanff assez agaçant à jouer les grandes dames alors qu'elle n'en a pas les moyens.
Sous prétexte qu'elle envoie des colis de vivres et quelques dollars pour des livres, elle se permet de traiter Frank Doel comme un valet tout en faisant passer ses remarques pour de l'humour.
J'ai bien sûr ri à sa réflexion sur la bible protestante ou encore au parallèle dressé entre la pose de ces couronnes dentaires et le couronnement de la reine Elizabeth d'Angleterre mais j'ai beaucoup moins aimé ses manières insolentes, sa façon d'étaler sa connaissance de certains livres ou de jeter ceux qu'elle n'appréciait pas.
Plusieurs fois je me suis même dit "mais pour qui se prend-t-elle?"
Les employés de la librairie sont certes attachants mais j'ai trouvé leurs lettres assez maigres.
J'avais l'impression de lire la même chose dans chaque lettre "merci pour les oeufs en poudre", "merci pour les bocaux de langue".
Ils ne rebondissent jamais sur les réflexions de la scénariste à propos de ses lectures et choisissent plutôt de lui raconter leurs vies.
Un dialogue de sourds. L'une s'étale sur ses lectures et les autres sur leur vie. Aucun échange littéraire finalement.
Lien : http://contesdefaits.blogspo..

D'ordinaire j'aime beaucoup les romans épistolaires, et j'avais entendu et lu tellement de bien de ce livre que je l'ai commencé avec beaucoup d'enthousiasme. Autant le dire tout de suite, j'ai été très déçue et je me suis demandée tout le long pourquoi ce petit ouvrage faisait l'objet d'un véritable culte des deux côtés de l'Atlantique. L'amoureuse des livres et des librairies que je suis espérait trouver là un bel hommage à toute la place que prend la lecture dans notre existence. C'est plat et ennuyeux et j'aurais probablement abandonné si ce petit roman n'avait pas été si court. Les personnages ne sont pas attachants, Helene Hanff est très agaçante, désagréable, impolie, lunatique, le personnel de la librairie est à ses pieds, la quasi-totalité de ses échanges n'a pour objet que des remerciements pour les colis de vivres envoyés par l'auteur. J'attendais sûrement trop de 84, Charing Cross Road, dont l'emballement me laisse dubitative.

J'avais vu de très bonnes critiques sur ce livre et en allant a la bibliothèque, je suis tombée dessus par hasard. Alors à peine rentrée, je le commence et la.... déception!!!!
Déjà un roman épistolaire est toujours un très grand défi a relevé mais la je trouve le livre assez creux et beaucoup trop de référence à divers auteurs ceux qui gâche la vrai relation qui se crée entre les correspondants.

Très décue, ce roman rappelle "Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates" mais en moins captivant, moins drôle et moins interessant ...