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Fred Cham (Autre)
EAN : 9782019466138
240 pages
hachette heroes (14/06/2023)
4.67/5   123 notes
Résumé :
Pourquoi y a-t-il autant de portraits de Cléopâtre à poil ? Pourquoi les psychopathes des séries TV sont-ils si séduisants ? Comment expliquer le manque d’empathie de certains policiers ? Pourquoi entend-on soudain parler partout de "dépendance affective” ? Et, est-ce que les femmes se font passer pour plus bêtes qu’elles ne sont ?

... Autant de questions qui empêchent Erell Hannah de dormir la nuit ! Bien décidée à obtenir des réponses, l’autrice far... >Voir plus
Que lire après Ils abusent grave : Du féminisme et des sciences humaines en BDVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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Voici une BD typiquement féministe qui va nous expliquer toutes les dérives et les perceptions cachées de la société masculine face aux femmes. Les lecteurs un peu macho sont priés de passer leur chemin; ils ne trouveront guère leur compte à moins de leur imposer de force une telle lecture sans doute sous la torture. Par contre, les femmes vont régler leur compte et cela ne fera pas dans la dentelle !

On commence le chapitre par le fait qu'on nous présente sur Netflix des psychopathes dont on peut tomber facilement amoureux car nous avons leur point de vue subjectif. On pense notamment à des séries comme « You » que j'ai d'ailleurs également vu. Je trouve que la réflexion de l'auteure n'est pas dénuée de fondement. Il y a comme quelque chose de vraiment malsain.

C'est vrai que je ne comprends pas ces femmes qui tombent amoureuse de prisonnier tel que le tueur pédocriminel Nordahl Lelandais au point de lui faire un petit bébé. Au moins, j'ai eu une explication assez sensée dans cette BD purement pédagogique mais avec suffisamment d'humour. Il est vrai que le sujet est quand même grave.

Evidemment, on va réfléchir un peu plus sur la condition féminine qui laisse parfois à désirer dans nos démocraties occidentales. Je ne parlerai même pas du reste du monde notamment musulman où les règles religieuses font que c'est plutôt assez strict en matière de liberté. Certes, il y a toujours pires mais il faut regarder le mieux.

Je tiens à préciser qu'en tant qu'homme, j'ai toujours été sensible à la cause féministe mais sans tomber dans les excès qui par nature oppose les sexes et sans être une péninsule d'indifférence. Je suis pour l'amour et la paix dans le monde dans une vision certes idéaliste. Les femmes doivent être mieux traités, c'est ce que je pense sans être ce que l'auteur appelle un chevalier blanc.

Mais bon, la première partie nous démontre que scientifiquement, les femmes ont plus d'empathie que les hommes. Pardon mais moi qui était harcelé au travail par une femme chef inhumaine arriviste et sans pitié, je n'en suis pas vraiment tout à fait convaincu. C'était ma réflexion tout à fait perso.

Cependant, je sais bien qu'en règle générale et statistiquement, la violence émane des hommes et non des femmes même si cela peut arriver dans des cas exceptionnels. Comme dit l'auteure, le trait typique d'un homme violent, c'est de taper sur sa femme puis de se plaindre d'avoir mal à la main. Aucune empathie pour la victime et des pleurs qui ne le concerne que lui dans une dimension purement égocentrique.

J'ai bien aimé également le passage sur la victimisation. On peut être une victime mais être forte. Ce n'est absolument pas un trait de caractère. Or, c'est souvent perçu comme cela ce qui avantage d'autant plus les agresseurs. On se rend compte que le procès en diffamation est une manoeuvre bien pratique qui est massivement utilisé par nos célébrités indélicates. Il y aurait bien une réforme à prévoir en matière de Justice...

La réflexion sur la cancel culture est également assez intéressante dans a mesure où le public acclame et vénère de vrais monstres alors que les victimes sont oubliées. Moi aussi, j'ai jeté l'album CD de Noir Désir après le meurtre de Marie Trintignant car je ne souhaite pas soutenir l'agresseur.

J'exècre ce discours qui nous dit de distinguer l'artiste de son art comme Emmanuel Macron l'a fait avec Gérard Depardieu lors d'une interview présidentielle. Encore faut-il en être émotionnellement capable. Et puis, il y a assez de place pour d'autres talents qui ne perpétuent pas la culture du viol.

En résumé, c'est instructif et c'est divertissant tout en cassant les préjugés de manière percutante. J'ai beaucoup aimé cette BD intelligente et drôle à la fois. Ils abusent grave, quand même !
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Club N°54 : BD sélectionnée
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Vraiment très utile, des faits et de la matière à réfléchir sur la condition féminine.

Morgane R.
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Excellent livre sur la mise en lumière de plusieurs travers de la société sur la place des femmes illustré par des statistiques et de réels constats scientifiques...

Édifiant pour qu'un problème soit socialement posé pour être saisi par le législateur...

Vincent
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Lien : https://mediatheque.lannion...
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Cette bande dessinée met en lumière un caractère à la fois ludique, percutant et intelligent dans son traitement des thèmes féministes et des sciences humaines. Son contenu dense et complet, ainsi que son humour accompagnent habilement des sujets souvent graves et indignant.
J'ai apprécié particulièrement la manière dont l'autrice et l'illustrateur abordent des questions cruciales telles que le sexisme, la victimisation des femmes, le système judiciaire, les représentations culturelles et historiques des femmes, ainsi que d'autres concepts liés à l'inégalité de genre. de plus, même en étant déjà sensibilisée au féminisme, j'ai appris de nouvelles choses grâce à cette bande dessinée.
Cette BD s'étend à un large public, des lecteurs peu familiers avec les écrits féministes aux lecteurs plus expérimentés. Je salue particulièrement son potentiel à susciter des discussions et à sensibiliser les lecteurs, en particulier les jeunes filles, sur les enjeux liés à l'égalité des sexes et à l'émancipation des femmes.
En conclusion, je remercie l'autrice et l'illustrateur pour avoir créé une oeuvre aussi significative et j'espère voir d'autres projets similaires à l'avenir.
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Une excellente BD, sans surprise, je suis leur travail depuis quelques temps via leur compte Instagram et c'est un régal à chaque fois, de pertinence et d'intelligence. Comme pour beaucoup de lecture qui retiennent les thématiques des inégalités entre les hommes et les femmes (et qui rabattent le caquet des arguments bidons mais malheureusement constamment réutilisés) je voudrais l'offrir à beaucoup d'hommes autour de moi tout en sachant qu'ils ne le liront jamais de toute façon. Je suis toujours très contente de découvrir ce genre de pépite et en même temps triste de savoir que ceux qui ont le plus besoin de le lire ne parcourront jamais une page, à nous d'en répandre les idées et les informations...
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Errel Hannah, diplômée de sociologie et de psychologie enquête sur le féminisme à travers les âges et les arts. Elle parle d'empathie, d'éducation, de relations amoureuses, de dépendance affective… Fred Cham, son complice est dessinateur versé dans les difficultés des interactions sociales.
Et leur album est excellent. Il permet de parler de féminisme et de sexisme de manière sérieuse et étayée par des études scientifiques, sociologiques et par des témoignages de spécialistes. Il est également drôle, par les réflexions d'Errel Hannah et/ou par les dessins de Fred Cham, parce que les messages passent souvent mieux avec de l'humour, de la dérision.
5 grands chapitres :
- Violences masculines et empathie féminine
- Femmes, police et justice
- Féminisme et (pop) culture
- L'intelligence de femmes : l'idée des deux auteurs est de déconstruire des raisonnements très ancrés, des agissements : les femmes ne sont ni plus ni moins ni différemment intelligentes que les hommes, c'est souvent l'éducation, la société dans laquelle nous évoluons qui fait la différence.
- Célibat, amour et amitié.
L'album oblige à se décaler, à regarder des faits, les relations femmes/hommes différemment. Un pas de côté nécessaire pour mieux comprendre, comment, même parfois, sans le vouloir, on peut être, en tant qu'homme un peu sexiste, et comment d'autres s'affirmant féministes sont réellement sexistes purs et durs.
Le chapitre sur la culture est évidemment en phase avec le mouvement actuel dans le cinéma et les arts en général : comment Matzneff -et d'autres- ont-ils pu en toute impunité commettre et revendiquer de tels actes ? C'est totalement incompréhensible.
Encore un ouvrage sur les féministes vont dire les grincheux. Oui, sans doute, mais il y en a tant qui ne parlent que d'hommes que la balance penche toujours de leur côté. Et celui-ci, je l'ai trouvé différent, très pédagogue et documenté en même temps que plaisant et drôle. Ce genre d'album à mettre entre toutes les mains, et devant tous les yeux car nous avons tous à y apprendre quelque chose, à changer un comportement, et à comprendre l'autre, à faire preuve d'empathie.
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Citations et extraits (27) Voir plus Ajouter une citation
Faire croire aux gens qu'ils sont responsables des difficultés qui leur arrivent, c'est quand même vachement pratique pour éviter la révolte contre les personnes qui les causent.
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Jean-Michel, violeur :

- « Être accusé de viol par 12 femmes est vraiment une terrible épreuve POUR MOI. »
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Femme police et justice : les attaques en diffamation :

Face au procès #metoo les procédures Baillons sont le nom qu'on donne en Droit aux procédures ou menaces de procédure dont le but réel n'est pas de faire condamner une opposante ou détractrice mais de la pousser à l'autocensure ou la faire taire en l'épuisant financièrement moralement et nerveusement.

Elle varie selon les époques et les pays mais le principe reste toujours le même :

- "en gros mon but en attaquant ou en menaçant d'attaquer cette femme en justice n'est pas de gagner mais de lui faire peur pour qu'elle se taise ! (bon après si je peux lui piquer des sous après l'avoir violé je vais pas m'en priver) "

Petit détour historique en France jusqu'en 2010 la procédure baillon préférée des hommes accusés de viol c'était la dénonciation calomnieuse. C'était très pratique pour eux à partir du moment où il n'avait pas été condamné pour le viol qu'ils avaient commis ils pouvaient se retourner contre leur victime. Même quand ils étaient clairement coupables mais relaxés par manque de preuves. Auquel cas celle-ci risquait 5 ans de prison et 45 000 € d'amende
- "ah bah ça rend pas du tout terrifiant le fait de porter plainte pour viol ça dit donc ! je vais plutôt me taire pour toujours"

Heureusement face à ce flagrant foutage de gueule des féministes ont mené un travail acharné pour changer le code pénal elles ont réussi
article 226.10 sur la dénonciation calomnieuse : la dénonciation à la police d'un fait qui est de nature à entraîner des sanctions judiciaires et que l'on sait inexact et puni de 5 ans d'emprisonnement et de 45000 € d'amende. La fausseté du fait dénoncé résulte nécessairement de la décision d'acquittement de relaxe ou de non-lieu déclarant que
AVANT : (la réalité du fait n'est pas établie)
APRES : le fait n'a pas été commis

ça a l'air de rien cette toute petite phrase mais ça a tout changé.
-"Depuis 2010 mes accusatrices ne risquent plus la prison si elle n'ont pas assez de preuves. Maintenant je peux les attaquer en dénonciation calomnieuse que si MOI j'ai des PREUVES que le viol n'a pas eu lieu ! aaaah qu'est-ce que je vais pouvoir utiliser maintenant comme procédure baillon pour empêcher mes victimes de parler ?"
- Avez-vous pensé à l'attaque en diffamation ?"
- "non je ne connais pas dites en plus...."

Alors à la base la diffamation c'est une vieille loi qui a été faite pour la presse pour éviter qu'un journaliste puisse dire n'importe quoi. Mais la loi est formulée avec des mots très vagues qui datent du 19e siècle. La diffamation est une allégation ou l'imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur et à la considération d'une personne.

- "du coup vous pensez que le fait qu'elle dénonce vos viols atteint votre CONSIDERATION ?
-" ben vu le machisme de la société, pas tellement, peut-être un peu ?
-"bah franchement ça se tente"

Bref depuis 2010 l'accusation à diffamation et le go-to des hommes accusés de violence .

-"on m'accuse d'un fait qui porte atteinte à mon honneur et à ma considération. Du coup j'estime que mon honneur vaut 50 millions de dollars svp merci ! tu réfléchiras deux fois avant de dénoncer un viol !! (mais je suis quand même un peu inquiet comment je peux prouver qu'elle a diffamé , surtout quand elle n'a pas menti ?)
- "ah mais là c'est le génie !! en fait pour qu'une femme soit condamné en diffamation il n'y a pas besoin de prouver qu'elle a menti mais seulement qu'elle a nuit à la réputation de l'homme et qu'elle a parlé avec ANIMOSITÉ ! Et oui ! et oui ! la loi contre la diffamation précise qu'il faut que les déclarations au sujet d'une personne ait été faites de bonne foi et sans animosité personnelle !

mais c'est parce qu'à la base les lois sur la diffamation étaient faites pour la presse on voulait éviter qu'un journaliste dénonce quelqu'un juste parce qu'il ne l'aime pas. Mais évidemment dans le cadre d'affaires de violence sexuelle ce concept devient délirant

- "avez-vous dénoncé votre violeur sans animosité ?"
- " mais oui tout à fait j'étais totalement calme , je dirais même sereine !"
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L'exemple d'Alice D

En 2021, l'artiste Alice D a publiquement déclaré avoir subi des actes incestueux de la part de son père. Et surprise (non) celui-ci a eu recours à une attaque en diffamation. La justice ces jours-ci : "tu m'as violé" VS " mais toi c'est pire tu l'as dit à tout le monde"

Et accrochez-vous Alice D. a perdu ce procès en diffamation car ses juges ont estimé que : "nous avons décelé lors du procès une animosité à l'égard de son père"
autrement dit ses propos ont laissé entendre qu'elle en veut à son père qu'elle accuse de viol
Moralité
"si par devant la loi tu dénonce ton violeur
prends bien soin ma mignonne d'avaler ta rancoeur"

Bref au tribunal on se retrouve comme dans le reste de la société avec cette injonction à être douce et passive aimable aimantes
-" il m'a violé"
- " si vous le disiez en souriant ce serait plus agréable"



Mais attendez 2 secondes .....
Alice D. est passé en procès pour diffamation alors que le procès pour viol contre son père n'a pas encore eu lieu !??
Alors là on arrive à un autre ENORME problème de la diffamation : je vous préviens c'est complètement dingo !

il arrive très souvent qu'on juge les femmes pour ce qu'elles ont dit avant même de vérifier par un procès si leur agresseur ont commis les faits !
Tout simplement car la plupart des plaintes contre les violences masculines ne donne pas lieu à un procès
et que même quand il y a un procès le droit de la diffamation est plus rapide que le procès pour viol
et que la justice considère que ce sont deux affaire séparé elle traite les agressions d'une part et les réputations de l'autre

(...)
mais qu'est-ce qu'on peut faire ?
si les politiques désirent réellement libérer la parole des femmes il est hyper important qu'il lutte contre les procédures-baillons

A l'ère de #metoo ils ne peuvent pas décemment continuer de nous dire de parler et nous punir quand on le fait. !
il faut modifier les lois sur la diffamation ou du moins leur application.

Franchement c'est absurde de continuer à traiter les procès pour viol et leur procès en diffamation comme deux domaines indépendants l'un de l'autre. Arrêtons les procès en diffamation qui ont lieu

1) avant les procès sur les violences dénoncées (soyons logique)
2) quand les violences dénoncées sont classées sans suite sans même être jugées lors d'un procès (d'où on juge la victime et pas le violeur)

et stop à la mention d'animosité dans les procès un peu de bon sens il est normal et sain d'être en colère contre son violeur
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CELIBAT, AMOUR ET AMITIE

Avez vous déjà entendu parler de la fuck zone ?
Vous connaissez déjà surement le friendzone : ce concept désignant une situation où 2 personnes entretiennent une relation, que l'un souhaite amoureuse et l'autre amicale.

Le terme est généralement employé par des hommes, souvent sexistes qui considèrent dégradant que des femmes veuillent "seulement" être amies avec eux.

Mais est ce vraiment dégradant d'être ami d'une femme ? Si on y réfléchit, l'idée de la friendzone repose sur 3 préjusgés :

1) Les relations amoureuses auraient beaucoup plus de valeur que les relations amicales (pourrions nous être plus qu'ami ? gradation hiérarchique)

2) Les relations amicales entre hommes et femmes ne seraient jamais vraiment possible

3) Les hommes ne pourraient ou ne voudraient donner de l'écoute et de la gentillesse à une femme qu'en échange de récompense sexuelle.

En réponse à ces préjugés machos, des femmes ont expliqué leur ressenti en inventant le mot fuckzone.
De quoi s'agit-il ?
Et bien récemment encore ça m'est arrivé :
j'ai rencontré un mec que je trouvais super chouette j'avais envie de le connaitre davantage. Pour sa part, il m'a très rapidement demandé d'être sa petite amie.
De mon coté j'aimais bien sa personnalité mais on venait de se rencontrer ! je ne savais pas encore si on était compatibes pour une relation amoureuse. Dans ma tête il y avait plein de possibilités ( amoureux, bon pote, pote, collègue, ami)
Je le lui ai dit et il m'a clairement énoncé que si je ne voulais pas avoir une relation sexuelle ou amoureuse, il ne voyait pas l'intérêt de me côtoyer.
L'idée même d'avoir une relation autre qu'amoureuse avait l'air de lui paraitre complètement exotique.

WTF ? Me faire une énorme place dans sa vie oui; mais apprendre à me connaitre non ???Pour cet homme, comme pour de nombreux autres que j'ai rencontrés, c'était être mon petit ami ou rien.

Du coup, comment ça marche, en fait ? Si t'as pas accès à mon cul, tu t'intéresses plus à ce qui sort de ma bouche ?
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