Je referme ce roman, époustouflée. Encore une fois, l'autrice démontre un talent hors norme. C'est un petit bijou, extrêmement bien documenté, riche en rebondissements, dont les 1190 pages passent en une fraction de seconde (plus précisément environ une bonne semaine 😉).
Je pourrais vous donner 1000 raisons de lire ce livre, mais j'ai décidé de ne vous en donner que 8!
1/ Qui n'aime pas le chocolat ? C'est tout d'abord l'histoire d'un chocolatier dont la recette, bien que délicieuse, est maudite et semble apporter le malheur …
2/ l'histoire débute en Géorgie en 1917 et se termine en Allemagne en 2006. C'est un roman très dépaysant, qui vous fait voyager au siècle dernier, dans un pays peu évoqué dans la littérature et peu touristique.
3/ Pour rencontrer Anastasia, Christine, Kostia, Kitty, Elena, Daria, Niza et Brilka, la famille Iachi qui vous émouvra, surprendra, énervera, choquera, émerveillera. Cette famille vous fera voir toute la palette des émotions …
4/ le pavé vous fait peur ? Laissez vous guider, lâchez prise et suivez les aventures de la famille Iachi au fil du siècle dernier.
5/ Vous croiserez des personnages connus … le Généralissime ! Alors, vous l'avez reconnu? Quant au Petit Grand Homme, pour découvrir son identité, j'ai du faire quelques recherches 🥸 (merci Google!)
6/ La huitième vie, c'est aussi une histoire de femmes, de lignée de femmes fortes, qui se battent pour leurs proches et leur liberté !
7/ Nino Haratiscwhili, malgré un nom imprononçable et difficile à écrire, a un talent de conteuse exceptionnel. Ce roman est un très grand roman du XXI siècle. Les traductrices, Barbara Fontaine et Monique Rival, ont fait un travail remarquable. Tout est d'une fluidité incroyable.
8/ Parce que « pour chaque malediction il y a une formule magique qui la rend inoffensive »… et que vous la découvrirez en lisant ce roman !
Alors, qui se lance ?
Je pourrais vous donner 1000 raisons de lire ce livre, mais j'ai décidé de ne vous en donner que 8!
1/ Qui n'aime pas le chocolat ? C'est tout d'abord l'histoire d'un chocolatier dont la recette, bien que délicieuse, est maudite et semble apporter le malheur …
2/ l'histoire débute en Géorgie en 1917 et se termine en Allemagne en 2006. C'est un roman très dépaysant, qui vous fait voyager au siècle dernier, dans un pays peu évoqué dans la littérature et peu touristique.
3/ Pour rencontrer Anastasia, Christine, Kostia, Kitty, Elena, Daria, Niza et Brilka, la famille Iachi qui vous émouvra, surprendra, énervera, choquera, émerveillera. Cette famille vous fera voir toute la palette des émotions …
4/ le pavé vous fait peur ? Laissez vous guider, lâchez prise et suivez les aventures de la famille Iachi au fil du siècle dernier.
5/ Vous croiserez des personnages connus … le Généralissime ! Alors, vous l'avez reconnu? Quant au Petit Grand Homme, pour découvrir son identité, j'ai du faire quelques recherches 🥸 (merci Google!)
6/ La huitième vie, c'est aussi une histoire de femmes, de lignée de femmes fortes, qui se battent pour leurs proches et leur liberté !
7/ Nino Haratiscwhili, malgré un nom imprononçable et difficile à écrire, a un talent de conteuse exceptionnel. Ce roman est un très grand roman du XXI siècle. Les traductrices, Barbara Fontaine et Monique Rival, ont fait un travail remarquable. Tout est d'une fluidité incroyable.
8/ Parce que « pour chaque malediction il y a une formule magique qui la rend inoffensive »… et que vous la découvrirez en lisant ce roman !
Alors, qui se lance ?
"Les longs livres, quand ils sont lus, sont généralement surestimés, parce que le lecteur veut convaincre les autres et lui-même qu'il n'a pas perdu son temps." Je tombe sur cette remarque alors que j'achève mon plus long pavé de l'année de 955 p.
Forte de cette mise en garde un peu spécieuse je vais tâcher de ne pas tomber dans le travers évoqué.
Retracer l'histoire d'une famille sur un siècle nécessite du temps et du souffle. le projet est d'ampleur car il s'agit de rendre compte des vicissitudes de la Géorgie. L'origine de l'histoire est située pendant les dernières années de la Russie tsariste et les premiers soubresauts de la Révolution soviétique et couvre le tournant du XXIe siècle et de sa première décennie.
Dès le livre I - et passé le prologue actuel - le récit suit l'ordre chronologique et se lit un peu comme un feuilleton. Les qualités littéraires de cette saga ne sont pas celles de l'Échelle de Jacob de Ludmila Oulitskaïa mais on ne compte pas, en revanche, de véritables longueurs.
Comme dans la littérature russe le roman est marqué par la présence omniprésente du drame, drame lié aux événements politiques mais aussi aux personnages forts tous marqués par un destin tragique. L'originalité, pour nous, tient plutôt en l'espace, la Géorgie, l'héroïne du livre, qui, une fois libérée du carcan soviétique, va se retrouver plus exposée encore, ajoutant aux tourments de la transition des conflits avec l'Abkhazie et l'Ossétie. La famille Iachi jusqu'ici favorisée, va prendre de front cet effondrement moral et économique.
L'auteur donne la parole et met en valeur les personnages féminins, piliers plus ou moins stables de la famille. Ces femmes souvent fantasques ne sont pas déterminées par leurs choix politiques ou idéologiques mais plus par leur quotidien.
Certains thèmes traversent le récit romanesque, la danse comme catharsis à un milieu étouffant, l'alcool qui permet d'oublier, les mariages ratés récurrents et puis d'autres thèmes à la limite du fantastique, un mystérieux Chocolat chaud doté de pouvoirs maléfiques transmis en cachette aux femmes par un arrière-arrière-grand-père inspiré, des anges en bois sculptés obstinément, des fantômes de morts tragiquement disparus qui réapparaissent .
Le roman se termine par un huitième chapitre, véritable ouverture sur Brilka, jeune fille vivant à Tbilissi en 2007 qui est une page vide .
Forte de cette mise en garde un peu spécieuse je vais tâcher de ne pas tomber dans le travers évoqué.
Retracer l'histoire d'une famille sur un siècle nécessite du temps et du souffle. le projet est d'ampleur car il s'agit de rendre compte des vicissitudes de la Géorgie. L'origine de l'histoire est située pendant les dernières années de la Russie tsariste et les premiers soubresauts de la Révolution soviétique et couvre le tournant du XXIe siècle et de sa première décennie.
Dès le livre I - et passé le prologue actuel - le récit suit l'ordre chronologique et se lit un peu comme un feuilleton. Les qualités littéraires de cette saga ne sont pas celles de l'Échelle de Jacob de Ludmila Oulitskaïa mais on ne compte pas, en revanche, de véritables longueurs.
Comme dans la littérature russe le roman est marqué par la présence omniprésente du drame, drame lié aux événements politiques mais aussi aux personnages forts tous marqués par un destin tragique. L'originalité, pour nous, tient plutôt en l'espace, la Géorgie, l'héroïne du livre, qui, une fois libérée du carcan soviétique, va se retrouver plus exposée encore, ajoutant aux tourments de la transition des conflits avec l'Abkhazie et l'Ossétie. La famille Iachi jusqu'ici favorisée, va prendre de front cet effondrement moral et économique.
L'auteur donne la parole et met en valeur les personnages féminins, piliers plus ou moins stables de la famille. Ces femmes souvent fantasques ne sont pas déterminées par leurs choix politiques ou idéologiques mais plus par leur quotidien.
Certains thèmes traversent le récit romanesque, la danse comme catharsis à un milieu étouffant, l'alcool qui permet d'oublier, les mariages ratés récurrents et puis d'autres thèmes à la limite du fantastique, un mystérieux Chocolat chaud doté de pouvoirs maléfiques transmis en cachette aux femmes par un arrière-arrière-grand-père inspiré, des anges en bois sculptés obstinément, des fantômes de morts tragiquement disparus qui réapparaissent .
Le roman se termine par un huitième chapitre, véritable ouverture sur Brilka, jeune fille vivant à Tbilissi en 2007 qui est une page vide .
La huitième vie - Nino Haratischwili
Ce livre est une saga familiale géorgienne de près de mille pages.
L'auteure est née en Géorgie puis s'est installée en Allemagne.
Si ce roman semble une fiction ont sent un vécu et une proximité envers une réalité traversée.
Indépendamment de l'histoire où la fille d'un chocolatier rêve d'une carrière de danseuse étoile à Paris, l'Histoire de la Géorgie qui est restée sous l'emprise de l'URSS pendant 70 ans, rend l'ouvrage intéressant. C'est la tante de Brilka qui s'empresse de conter les péripéties dans ce livre. de Londres à Berlin, de Vienne à Tbillissi, de Saint-Pétersbourg à Moscou, le destin romanesque et parfois tragique des membres de cette famille va s'épanouir tout au long du XXe siècle.
Il est rare qu'il n'y ait pas un moment où l'histoire ne s'essouffle. Ce livre est un parcours d'une famille sous les traits d'actualité qui touche à la Russie. Un coup de coeur pour l'histoire et l'écriture
Ce livre est une saga familiale géorgienne de près de mille pages.
L'auteure est née en Géorgie puis s'est installée en Allemagne.
Si ce roman semble une fiction ont sent un vécu et une proximité envers une réalité traversée.
Indépendamment de l'histoire où la fille d'un chocolatier rêve d'une carrière de danseuse étoile à Paris, l'Histoire de la Géorgie qui est restée sous l'emprise de l'URSS pendant 70 ans, rend l'ouvrage intéressant. C'est la tante de Brilka qui s'empresse de conter les péripéties dans ce livre. de Londres à Berlin, de Vienne à Tbillissi, de Saint-Pétersbourg à Moscou, le destin romanesque et parfois tragique des membres de cette famille va s'épanouir tout au long du XXe siècle.
Il est rare qu'il n'y ait pas un moment où l'histoire ne s'essouffle. Ce livre est un parcours d'une famille sous les traits d'actualité qui touche à la Russie. Un coup de coeur pour l'histoire et l'écriture
Une vraie et belle saga familiale doublée d'une malédiction chocolatée.
L'h Se déroule en Géorgie de 1917 à 2006. Avec l'histoire de cette famille, on suit aussi l'histoire de ce pays qui va devenir une région de l'URSS. Plus de 50 ans qui voit la fin du tsar ,la prise de pouvoir par Lénine,la montée du Stalinisme, le rideau de fer..... des vies bousculées, détruites ou métamorphosées par l'Histoire riche et violente d'un pays en mutation.
Une lecture riche ,passionnante et instructive.
L'h Se déroule en Géorgie de 1917 à 2006. Avec l'histoire de cette famille, on suit aussi l'histoire de ce pays qui va devenir une région de l'URSS. Plus de 50 ans qui voit la fin du tsar ,la prise de pouvoir par Lénine,la montée du Stalinisme, le rideau de fer..... des vies bousculées, détruites ou métamorphosées par l'Histoire riche et violente d'un pays en mutation.
Une lecture riche ,passionnante et instructive.
Une saga familiale qui ne manque pas d'intérêt, mais qui est éprouvante à lire du fait de sa longueur ! Il faut en effet s'accrocher pour ne pas lâcher ce pavé qui nous fait traverser le vingtième siècle en compagnie d'un Géorgien chocolatier et de sa descendance. La narratrice Niza construit une archéologie familiale qui s'étale sur cinq générations pour sa nièce Brilka, dernière héritière de l'histoire. Une transmission historique qui s'effectue par les femmes, sous l'égide d'un homme, Kostia qui donne le « la » à chaque événement. Les huit protagonistes évoluent de Lénine à l'effondrement de l'URSS et l'autonomie retrouvée de la Géorgie. Roman agréable à lire par séquences, de l'ennuyeux succède à de l'agréable… Cela explique une trop grande longueur confinant souvent à une langueur monotone.
Grande fresque qui fait traverser le XXe siècle à travers le destin des femmes d'une famille originaire de Géorgie. Pour nous diriger dans les méandres de la grande Histoire, l'auteur a réussi à insérer les mises en contextes historiques dans son récit du parcours de ces femmes, et ce sans alourdir son texte, . C'est remarquablement construit et malgré la taille, c'est un roman qui se lit agréablement grâce au réel talent de conteuse de l'auteur qui signe là un texte très vivant et documenté.
Ouvrage reçu dans le cadre de la Masse Critique.
Ouvrage reçu dans le cadre de la Masse Critique.
Nous sommes en 1917 en Géorgie où vit la famille Iachi, célèbre pour sa recette de chocolat chaud adorée de tous et inventée par le patriarche, chocolatier de renom. Sa fille Stasia ne rêve pas de prendre le relais mais plutôt de devenir danseuse étoile à Paris. Mais ce qu'elle ignore c'est que la révolution bolchévique est en marche et s'apprête à ébranler son pays ainsi que son avenir. C'est des décennies plus tard, en 2006, que nous découvrons son arrière-petite-fille Brilka qui vient de fuguer. Pourquoi ? Comment ? C'est ce que sa tante tente de découvrir en partant à sa recherche. En chemin elle entreprend d'écrire l'histoire familiale sur six générations afin que Brilka comprenne et puisse peut-être échapper à la malédiction chocolatée qui les a tous touchés.
Le résumé m'attirait énormément et pourtant ce roman a été une énorme déception pour moi ... Les secrets de cette famille autant que la malédiction chocolatée sont relégués au millionième plan, laissant toute la place à d'innombrables explications géopolitiques sur la construction du pays qui sont certes très intéressantes mais pas sur 1200 pages. Oui oui vous avez bien lu ... 1200 pages écrites en pattes de mouche, sans chapitres ni aération. Il n'y a que les 7 livres qui composent le roman qui marquent des coupures. Il est donc impossible de ne pas s'arrêter en plein milieu et cela m'a beaucoup gênée aussi 😔 Je me suis sentie noyée, pour ne pas dire submergée, de dates, de chiffres, de personnages de l'Histoire, si bien que je suis passée totalement à côté de ma lecture. Je me suis accrochée mais j'avoue en toute honnêteté avoir lu les 300 dernières pages en diagonale tant j'avais la migraine et je voyais que de toute façon il n'allait rien se passer d'intéressant à mon sens. La fin m'a d'ailleurs encore plus déçue car ce n'en est pas vraiment une, ce qui m'a amené à me dire : ok tout ça pour ça ? J'ai horreur de ce sentiment ! Une déception donc et j'en suis désolée car le fait de mettre en avant des femmes et leurs destins respectifs était une bonne idée et j'ai aimé les rares dialogues mais ils étaient trop peu nombreux. Je remercie tout de même la maison d'édition pour la découverte car j'ai appris plein de choses sur la Géorgie malgré tout !
Le résumé m'attirait énormément et pourtant ce roman a été une énorme déception pour moi ... Les secrets de cette famille autant que la malédiction chocolatée sont relégués au millionième plan, laissant toute la place à d'innombrables explications géopolitiques sur la construction du pays qui sont certes très intéressantes mais pas sur 1200 pages. Oui oui vous avez bien lu ... 1200 pages écrites en pattes de mouche, sans chapitres ni aération. Il n'y a que les 7 livres qui composent le roman qui marquent des coupures. Il est donc impossible de ne pas s'arrêter en plein milieu et cela m'a beaucoup gênée aussi 😔 Je me suis sentie noyée, pour ne pas dire submergée, de dates, de chiffres, de personnages de l'Histoire, si bien que je suis passée totalement à côté de ma lecture. Je me suis accrochée mais j'avoue en toute honnêteté avoir lu les 300 dernières pages en diagonale tant j'avais la migraine et je voyais que de toute façon il n'allait rien se passer d'intéressant à mon sens. La fin m'a d'ailleurs encore plus déçue car ce n'en est pas vraiment une, ce qui m'a amené à me dire : ok tout ça pour ça ? J'ai horreur de ce sentiment ! Une déception donc et j'en suis désolée car le fait de mettre en avant des femmes et leurs destins respectifs était une bonne idée et j'ai aimé les rares dialogues mais ils étaient trop peu nombreux. Je remercie tout de même la maison d'édition pour la découverte car j'ai appris plein de choses sur la Géorgie malgré tout !
Ce roman fait son poids.
Eh oui, plus de 900 pages quand même !
Cela pourrait en effrayer plus d'un mais il suffit de trouver le bon moment pour l'entamer et entrer dans cette grande saga familiale.
Tous les ingrédients sont réunis pour en faire une fresque addictive et solidement construite.
Nous suivons huit vies, huit femmes, huit âmes à travers tout le XXème siècle, au départ de la Georgie (pays d'origine de l'auteure).
Et l'histoire se mêle à l'Histoire, celle des heures sombres.
Drames, passions, violences parsèment les huit vies que l'auteure nous raconte avec talent, dans un livre à la fois documenté et profondément humain.
Alors malgré ces 900 et quelques pages, peu de risque que vous vous ennuyiez à sa lecture !
Eh oui, plus de 900 pages quand même !
Cela pourrait en effrayer plus d'un mais il suffit de trouver le bon moment pour l'entamer et entrer dans cette grande saga familiale.
Tous les ingrédients sont réunis pour en faire une fresque addictive et solidement construite.
Nous suivons huit vies, huit femmes, huit âmes à travers tout le XXème siècle, au départ de la Georgie (pays d'origine de l'auteure).
Et l'histoire se mêle à l'Histoire, celle des heures sombres.
Drames, passions, violences parsèment les huit vies que l'auteure nous raconte avec talent, dans un livre à la fois documenté et profondément humain.
Alors malgré ces 900 et quelques pages, peu de risque que vous vous ennuyiez à sa lecture !
Fresque historique grandiose !
Je reste sans voix face à cette épopée si bien ficelée.
La narration nous entraîne à travers les époques et les évènements qui bouleversent la Géorgie et surtout les vies des personnages.
Le fil rouge du roman est impressionnant car l'autrice nous ramène toujours là où elle veut.
Il y a évidemment des personnages auxquels je me suis attachée tout au long des 1180 pages. J ai traversé leur vie. Des vies ordinaires avec des incidents malheureux ou étincelants.
Difficile de résumer un tel livre !
Si certaines époques, protagonistes m ont plus intéressés que d autres, je ne me suis ennuyée à aucun moment. J ai été portée par ces petites histoires qui font la grande.
Une brique digeste à ne pas manquer !
Je reste sans voix face à cette épopée si bien ficelée.
La narration nous entraîne à travers les époques et les évènements qui bouleversent la Géorgie et surtout les vies des personnages.
Le fil rouge du roman est impressionnant car l'autrice nous ramène toujours là où elle veut.
Il y a évidemment des personnages auxquels je me suis attachée tout au long des 1180 pages. J ai traversé leur vie. Des vies ordinaires avec des incidents malheureux ou étincelants.
Difficile de résumer un tel livre !
Si certaines époques, protagonistes m ont plus intéressés que d autres, je ne me suis ennuyée à aucun moment. J ai été portée par ces petites histoires qui font la grande.
Une brique digeste à ne pas manquer !
4eme de couverture :
« Géorgie 1917. Fille d'un chocolatier de génie, Stasia rêve de devenir danseuse étoile à paris.Son pére aurait voulu qu'elle épouse un brillant officier, Simon Iachi. Alors que Stasia est sur le point de renoncer à ses aspirations, la révolution bolchévique se propage…
Allemagne , 2006. Brilka, l'arrière-cousin petite fille de Stasia, a fugué. Partant à sa recherche, sa tante entreprend d'écrire l'incroyable histoire de leur famille. En révélant les destins tragiques des Iachi, elle libérera peut être la jeune Brilka de la malédiction qui semble peser sur eux depuis plus d'un siècle… »
💝 Prometteur n'est-ce pas?
Et bien n'y allons pas par 4 chemins : ce fut un flop et même un abandon. 🤷♀️
Ce fut une lecture laborieuse de par le style particulier du livre. Il n'a a pas de chapitres mais des « livres » : 8 au total de de longueur totalement inégale. (Et parce que les 1200 pages sont écrites tout petit !) 🔍
Ensuite j'ai trouvé le style lourd, voire pompeux par moment, des descriptions à n'en plus finir, quasi pas de dialogues.
Et surtout la « promesse » de la 4eme de couverture pas du tout tenue! Pour moi ce livre est plus un manuel d'histoire de construction de l'ex URSS que l'histoire d'une famille de chocolatier. 🍫
Ce n'est pas inintéressant mais ce n'était pas ce à quoi je m'attendais et, surtout, ce n'est pas du tout ce que j'ai envie de lire en ce moment!
« Géorgie 1917. Fille d'un chocolatier de génie, Stasia rêve de devenir danseuse étoile à paris.Son pére aurait voulu qu'elle épouse un brillant officier, Simon Iachi. Alors que Stasia est sur le point de renoncer à ses aspirations, la révolution bolchévique se propage…
Allemagne , 2006. Brilka, l'arrière-cousin petite fille de Stasia, a fugué. Partant à sa recherche, sa tante entreprend d'écrire l'incroyable histoire de leur famille. En révélant les destins tragiques des Iachi, elle libérera peut être la jeune Brilka de la malédiction qui semble peser sur eux depuis plus d'un siècle… »
💝 Prometteur n'est-ce pas?
Et bien n'y allons pas par 4 chemins : ce fut un flop et même un abandon. 🤷♀️
Ce fut une lecture laborieuse de par le style particulier du livre. Il n'a a pas de chapitres mais des « livres » : 8 au total de de longueur totalement inégale. (Et parce que les 1200 pages sont écrites tout petit !) 🔍
Ensuite j'ai trouvé le style lourd, voire pompeux par moment, des descriptions à n'en plus finir, quasi pas de dialogues.
Et surtout la « promesse » de la 4eme de couverture pas du tout tenue! Pour moi ce livre est plus un manuel d'histoire de construction de l'ex URSS que l'histoire d'une famille de chocolatier. 🍫
Ce n'est pas inintéressant mais ce n'était pas ce à quoi je m'attendais et, surtout, ce n'est pas du tout ce que j'ai envie de lire en ce moment!
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