Pour qui sonne le glas

Chef d'oeuvre incontournable d'Hemingway.

"Pour qui sonne le glas" est un roman sur fond de guerre civile Espagnole.

Au sein d'un maquis disparate, Robert Jordan, américain engagé volontairement auprès des républicains tente d'unifier le mouvement. Et dans le groupe, deux femmes. Une passion nait.

Les aventures qui se mettent alors en place suivent une trame, celle des doutes quant au sens de l'existence, du devoir, de la liberté. Certains passages sont même brutaux, violents, à commencer par un scène de massacre.

L'intensité dramatique est énorme, palpable, et le lecteur est savamment tenu en haleine. le seul bémol pour moi et l'aspect un peu laborieux du début, l'ambiance tarde à venir.

J'ai foncé tête baissée dans cette lecture, dans ce classique.
Dès les premières pages, j'ai donc réalisé que le sujet ne fait pas partie de mes favoris. J'ai essayé de m'imprégner de l'histoire, des personnages, qui sont tous plein de paradoxes. Mais non, je n'ai pas compris l'engouement, non je n'ai pas le sentiment que ce livre puisse changer ma vie.
Sans parler de l'histoire d'amour que j'ai trouvée niaise au possible...

Ce fut une lecture laborieuse pour les 300 premières pages au contraire des 100 dernières où l'action est enfin là. le début est une description longue des soldats de la révolution et de leur parcours anti-fasciste. Robert Jordan, un universitaire américain, s'engage dans cette lutte espagnole. Il rencontre le groupe de Pablo pour mettre en place le dynamitage d'un pont et tombe amoureux de Maria.
Une dénonciation de la guerre et de ses exactions, de la violence, de la peur, de la lâcheté, de la mort mais aussi du courage, de l'abnégation, du repentir et de l'amour.

Un jeune américain s'engage dans les Brigades Internationales et est envoyé en Espagne pour faire sauter un pont.

Bien que superbement écrit, bien que j'appréccie beaucoup cet auteur et bien que la description de la guerre civile d'Espagne soit excellente, je me suis arrêtée à la page 134.

Je lis pour me changer les idées, et les livres noirs ou violents ne me conviennent pas du tout.