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3,85

sur 716 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Sila un ado sympa et amoureux, perd brutalement sa petite amie Astrid qui décède dans un accident de voiture. le choc de la nouvelle et la douleur a gérer sont terribles pour Sila. Mais dans cette société futuriste et policée, existe un machine à inhiber la douleur c'est la CEDE : cellule d'éradication de Douleur Émotionnelle......qui rend les gens calmes et tout doux ! Sila va alors se questionner sur l’existentialisme et découvrir également qu'Asdrid menait une double vie...

Drôle d'idée que cette machine à "bonheur" ...qui n'a pas rêvé quelques fois dans sa vie de pouvoir se passer de ses douloureux moments de deuil, de tracas diverses .......c'est magique ! surtout dans notre société qui matraque "le bonheur" partout comme ligne de conduite !....une vie fait que du meilleure et non pas du pire, hélas beaucoup prétendent mais peu d'élus ! la vie que par le prisme du bien-être et l'optimisme ...

Bref Tous rendus sous dopamine et sérotonine au pays des bisounours ! L'idée est originale , l'histoire est bien construite, le roman se lit facilement.
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Voilà un livre avec un sujet très intéressant, un genre de livres de science-fiction pour ados. Dans cette histoire, tout le monde est connecté, tout le temps, au Réseau et lorsque vous avez le malheur de vous être absenté sans crier gare, vos amis vous harcèleront de messages pour savoir où vous êtes et si tout va bien. Et tu as plutôt intérêt à aller bien, jeune mineur, si tu n'as pas envie d'être oblitéré de tes douleurs (c'est-à-dire que la douleur physique et/ou psychologique est retirée). Tout va bien dans le meilleur des mondes, en somme. Tout va bien ? Non, pas si certain. Car le libre-arbitre a été retiré : il est bien vu de s'être fait oblitéré, et les mineurs qui souffrent n'ont même pas le droit de choisir de le faire ou non.

J'ai trouvé que le thème abordé était très intéressant : que se passerait-il si on nous retirait notre souffrance ? Serions-nous plus heureux ? Est-ce que cet acte serait juste, et justifié ? Chacun à son propre avis là-dessus, et dans cette histoire, rare sont les personnes qui pensent que l'oblitération n'est pas un bienfait. Et quand on y pense, la souffrance est une partie intégrante de la vie. Sans elle, nous ne pouvons savoir ce qu'est le bonheur. C'est un livre "jeunesse" qui fait pourtant réfléchir sur plusieurs choses : la crise économique, le chômage, les difficultés à trouver un emploi, le totalitarisme, les choses cachées par les médias, et ce monde hyper-connecté qui ne peut vivre sans un téléphone portable et Internet. Nous voyons ici tout l'impact négatif que ça pourrait avoir.

Le sujet était pertinent mais, sincèrement, le livre manque de longueurs selon moi : la seconde partie du livre me plaisait bien moins que la première, je la trouvais moins réaliste et, surtout, un peu trop bâclée. C'est un peu dommage, parce que l'idée était vraiment plutôt bonne, mais les évènements dans la seconde partie du livre s'enchaînent tellement vite, qu'on a pas le temps de comprendre vraiment ce qui se passe. C'est un thème pas si simple à aborder, et le faire en 250 pages c'est peut-être un peu trop court. Mis à part ça, j'ai bien apprécié ma lecture, je trouve que ça change vraiment de ce qu'on voit d'ordinaire.
Lien : http://leslecturesdanais.blo..
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#bleue de Florence Hinckel parle d'un garçon peu sociable,il ne s'intéresse pas au réseaux sociaux.Sa petit amie a un accident et à partir de là,leur vie est chamboulée.
Je n'ai pas apprécié ce roman,je le trouve trop peu réaliste à mon goût.Je n'ai pas aimer le livre?j'ai mis beaucoup de temps à comprendre de quoi le narrateur parlait et encire j'ai compris qu'un quart du récit.Les dialogues sont mal organisés et prêtent a confusion.Je ne conseille pas ce livre à ceux qui n'ont pas l'habitude de lire!
Théa
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Je trouve que le sujet est très intéressant mais pas assez bien exploité. Tout ce trop vite. On a l'impression que l'auteur voulais absolument écrire 200 pages et pas plus. Je n'ai pas trop apprécié cette lecture.
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J'ai pas réussi à le terminer...
trop de blabla pour en arriver au faits
Sinon le sujet du livre est intéressant.
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J'aime bien découvrir des petites publications ou des livres d'auteurs que je ne connais pas. Lorsque j'ai lu le résumé de "#bleue", j'ai eu tout de suite envie de le lire. Ca me semblait tellement intriguant et quelque part bien flippant que je n'ai pas attendu avant de me procurer le bouquin. En plus, la couverture est plutôt jolie à mon goût. Mais je ne l'ai pas lu tout de suite et c'est peut-être ça qui a fait retomber le soufflé.

Depuis la création de la Cellule d'Éradication de la Douleur Émotionnelle, la souffrance psychologique n'a plus cours. Il suffit de se faire oblitérer, et on ressort comme neuf ; seul un point bleu à l'intérieur du poignet garde la trace de cette douleur effacée. L'intervention est obligatoire pour les mineurs. Les adultes, eux, ont le choix. le jour où sa petite amie Astrid se fait renverser par une voiture, le jeune Silas est aussitôt emmené par les agents en combinaison jaune. le lendemain, lorsque ses parents viennent le chercher, le garçon se sent bien. Tout n'est-il pas pour le mieux dans le meilleur des mondes ?

Je ne vais pas tourner autour du pot, je suis bien déçue par ce court roman (250 pages environ). Peut-être que j'en attendais trop mais je me suis ennuyée pendant une bonne partie de ma lecture. Nous n'avons aucune idée de ce qui a pu se passer sur notre belle Terre pour que la Cellule d'Eradication de la Douleur Emotionnelle soit crée. Et franchement, ça manque beaucoup. Je ne réclame pas une grosse explication mais au moins quelques pistes pour m'y retrouver un peu. La seule chose que l'auteure consent à nous révéler : les habitants de la Laponie ont fait de la résistance et ne se retrouvent pas impacté par la CEDE. Pourquoi ? Comment ? ... Ben on sait pas.

Niveau personnages, ça n'est pas beaucoup plus folichon à mon goût. Silas est un jeune homme un peu coincé mais il est plutôt du genre mignon. Je dirai même qu'il a un côté naïf qui le rend assez attachant. Moi, je l'ai bien aimé. En plus, ses parents sont contre le principe de l'oblitération et, du coup, cette famille est un cran au-dessus du reste des personnages du livre. Que dire de Astrid ? ... Elle m'a laissé un peu indifférente, je n'ai ressenti aucune compassion à son égard. Je l'ai trouvé un peu nouille à vrai dire. Et puis, j'ai trouvé que l'auteure n'avait pas assez travaillé ses personnages, elles nous les sort comme ça, hop.

Alors je sais bien que c'est un livre de science-fiction classé dans la catégorie jeunesse (je dirai qu'il s'adresse aux 13-16 ans) mais ça n'empêche pas de proposer des histoires bien travaillées et bien structurées aux jeunes lecteurs.

Globalement, je suis donc bien déçue. Pourtant, cette histoire me semblait avoir un potentiel de dingue. L'oblitération était un concept que je trouvais hyper intéressant mais il est très mal exploité à mon sens. Ca reste une lecture divertissante mais qui est loin d'être indispensable, disons que ça fait passer le temps et qu'il ne faut pas faire preuve de grande exigence.

Une lecture qui sera bien vite oubliée ...
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Un bon roman, malgré un style d'écriture plutôt limite et des personnages qui sonnent faux.
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