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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Ça faisait longtemps que je n'avais pas lu du Robin Hobb, au moins… deux mois ! Merci donc à Naramaya et sa lecture commune et à sa lecture commune qui me permet de me replonger régulièrement dans les aventures de Fitz.


Comme je le disais dans mes chroniques précédentes, je suis désormais rendue dans les tomes que je n'ai du lire qu'une seule fois (contrairement aux premiers !) et que, donc, je ne me souviens plus trop de l'histoire… Qu'est-ce que c'est agréable de redécouvrir une histoire comme si c'était la première fois !

Ce huitième tome m'a beaucoup plu : j'ai beaucoup aimé cette idée d'une secte autour de la magie du vif et le complot qui en découle pour prendre le trône. Bon, ce n'est pas du GOT, c'est beaucoup moins sanglant, mais ça n'en est pas moins élaboré et très convaincant !

J'ai également aimé toutes les questions qui restent en suspend autour de Fitz et de sa paternité. C'est vrai qu'à le cotoyer, on oublie assez cet aspect de sa personnalité : personnellement, j'ai un peu de mal à me faire à l'idée qu'il a dorénavant 40 ans… Pour moi, je crois qu'il restera à jamais le gamin un peu maladroit qu'il était à 17 ans !

Et puis, il faut aussi dire que ce tome est riche en émotion. Personnellement, je crois que je n'ai toujours pas réellement réalisé ce qu'il se passe dans celui-ci et que ce n'est que maintenant que j'en prend conscience (au moins quatre jours après ma lecture !). Bref, c'est vraiment triste et je suis curieuse de découvrir comment va s'en sortir Fitz dans le tome suivant…


Comme d'habitude, j'ai vraiment apprécié mon aventure dans l'univers de Robin Hobb. Cette dame est vraiment talentueuse ! J'adore la façon dont elle nous entraine dans des aventures folles, à travers des mondes bien construits, tout en douceur (sans pour autant manquer de poigne). Et j'aime encore plus me rendre compte par moment pendant ma lecture, grâce à des petits détails bien placés, que c'est une femme qui nous raconte une histoire que l'on pourrait penser écrite par un homme.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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Fitz est de retour. Après seize années d'exil volontaire, le voici revenu à Castelcerf sous le masque de Tom Blaireau, serviteur du fantasque Sire Doré, la nouvelle identité adopté par le Fou. Malgré la prospérité retrouvée, la capitale du royaume des Six Duchés ressemble plus que jamais à un panier de crabes. Toute la ville est sur les nerfs dans l'attente des fiançailles entre le prince Devoir Loinvoyant et la narcheska Eliana, en espérant que cette alliance matrimoniale consolidera la paix entre le royaume et les états outreliens. Mais les deux jeunes promis ne s'apprécient guère et le narcheska lance à son soupirant un défi devant toute la cour : lui rapporter la tête de Glasfeu, dragon tutélaire emprisonné dans les glaces de l'île d'Aslevjal. S'il mène à bien cette mission et seulement à cette condition, elle acceptera de l'épouser. La chose est plus facile à dire qu'à faire, car non seulement tuer un dragon n'a rien d'une partie plaisir, mais le monstre est également révéré par la majorité des habitants des îles outreliennes. Contraint et forcé, voici Fitz obligé d'accompagner son jeune souverain dans sa folle quête – quête qui, loin de sauvegarder la paix, pourrait bien faire exploser tout espoir d'alliance entre les deux anciens belligérants.

J'en suis à mon quatrième intégral des aventures de Fitzounnet et ce tome-là s'est avéré jouissif presque de bout en bout ! L'intrigue prend un tour beaucoup plus épique que durant le tome précédent (où Fitz ne faisait parfois pas grand-chose, à part se planquer dans son coin, la tête entre les jambes) et se montre riche en moments de bravoure et en retournements trépidants. Certes, la quête prend un peu de temps à démarrer, mais ce moment de latence est nécessaire pour faire comprendre au lecteur tous les tenants et aboutissants de la situation et je ne cracherai donc pas dessus. C'est aussi l'occasion pour le lecteur de faire connaissance avec de nouvelles cultures et c'est avec un vif plaisir que j'ai découvert les îles outreliennes et leur surprenante société matriarcale – détail plutôt choquant pour la noblesse des Six Duchés habituée à traiter ses filles comme de jolies potiches sans volonté propre.

Niveau personnages, certains remontent enfin à la surface après une longue absence, notamment l'ombrageux Burich que j'adore et qui m'avait beaucoup manqué pendant le tome précédent. D'autres protagonistes, à peine esquissés dans le troisième intégral, prennent toute leur ampleur et s'avèrent aussi intéressants et attachants que les anciens. Autre point fort : la saga s'enrichit enfin d'un personnage de méchant fort et effrayant (parce que, d'accord, Royal était vraiment une raclure, mais niveau classe, il ne valait pas un pet de lapin), ce qui lui manquait cruellement. Histoire de cracher un peu dans la soupe, je pourrais regretter un happy ending légèrement forcé mais soyons honnêtes : le pauvre Fitz en a tellement bavé pendant les quelques quatre mille pages de la saga, qu'il a bien mérité un peu de repos et de bonheur.

Un très bon moment de lecture, donc, qui me fait attendre avec beaucoup d'impatience la sortie du début du troisième cycle en intégral. Ah, juste un petit bémol quand même : certes, les intégraux J'ai lu sont vraiment de très beaux bouquins, très classes, très pimpants, mais leurs couvertures n'ont vraiment rien à voir avec le contenu du roman ! Franchement, c'est si difficile de donner au moins un gros résumé de l'oeuvre à l'illustrateur avant qu'il ne fasse son travail ?
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La fin d'une épopée et quelle épopée.

Je parle ici des deux derniers tomes en disant que les combats, le stress, l'adrenaline, les émotions en dents de scies s'enchaînent et ne se ressemblent pas.
Comment ne pas se prendre d'affection pour tous les personnage notamment Lourd, toujours notre fou...

La quête du prince s'avérera plus fourbe qu'on ne l'aurait cru.
J'ai adoré, je me suis retrouvé tenu en haleine du début à la fin.
C'est la fin pour la saga de l'assassin royal mais heureusement l'univers du royaume des anciens est loin d'être terminé !

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L épilogue d une saga qui clôture de très nombreuses heures de lecture des 4500 pages des aventures de Fitz.
30 ans de ce personnage au destin chahuté, ou l autre compte plus que soi. Merci mme HOBB de m avoir permis d accompagner ce voyage inattendu chez les loinvoyant. Les adolescents mêmes de 55ans prendront du plaisir dans cette lecture riche en valeurs
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Ce livre m'a tenu en haleine jusqu'à la fin ! Les personnages sont très biens développés et on s'y attache, l'histoire se déroule logiquement et on comprend tout facilement. Il y a beaucoup de suspense et de l'humour. Ces livres ont beaux être très gros je les ai lus plutôt rapidement tellement je voulais savoir la suite.
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Que dire à part que cette série est la meilleure épopée fantasy que j'ai lue dans ma vie ?
L'univers est complexe, les personnages merveilleusement développés, l'intrigue superbe.
La relation entre Fitz et le fou est l'une des meilleures relations de tous les temps. Certains personnages resteront, j'en suis persuadée, très longtemps avec moi : Fitz, le fou, Burrich, Patience, Umbre, Kettricken, Oeil de Nuit... Ils me manquent tous déjà.

Il me reste encore beaucoup à lire mais on sent bien qu'une époque se termine et je ressors de ma lecture vidée, comme à chaque fois que je lis un bijou de littérature.
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si le septième tome permet de faire une transition (indispensable) avec le premier cycle, le suivant est l'occasion de mettre en place un nouvel échiquier. Peu à peu, anciens et nouveaux personnages prennent leur place. Bien sur, il y a le Fou. A l'image de Fitz j'éprouve une tendresse particulière pour ce personnage. Sa douceur, sa sensibilité. Son aura baignée de mystère. Et puis, nous retrouvons avec plaisir Umbre, Kettricken, Astérie ou encore Burich et Molly dont le souvenir imprègne chacune des pages de ces premiers tomes. Puis, nous faisons la rencontre de ceux qui ont grandit lors de ces quinze années : Heur, le fils adoptif de Tom Blaireau, mais aussi Devoir, le prince de Castelcerf autour duquel gravitent de nombreux courtisans.
Ma chronique complète : https://singesdelespace.wordpress.com/2016/05/24/lassassin-royal-tome-7-et-8-de-robin-hobb/
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