Est-ce que j'ai aimé ? Non, pas vraiment ? Est-ce que j'ai détesté ? Non plus. Je crois que j'ai simplement souffert d'un cruel manque d'intérêt pour cette lecture.
Autant j'aime les fictions de Houellebecq car elle suscite chez moi des émotions (révolte, colère, rire, attrait...) autant je ne connaissais absolument pas l'oeuvre de Schopenhauer.
Ce court essai était donc pour moi l'opportunité de découvrir celle-ci de manière succincte. J'ai ainsi découvert une partie de sa vision du monde, des Hommes, de l'amour, du pouvoir et du bonheur. C'est d'ailleurs cette dernière partie, pourtant peu représentative de l'oeuvre du philosophe à en croire Houellebecq qui m'a le plus captivée. Schopenhauer est en effet plutôt un pessimiste et voit en toute chose son côté sombre mais sa vision du bonheur m'a elle semblé plutôt juste.
Bon mais tout cela reste très philosophique ce qui je le crains n'a jamais trop été ma tasse de thé...
Les passages expliqués par Houellebecq ne m'ont malgré tout pas permis de réellement comprendre l'oeuvre du penseur. Autant lire directement ses écrits plutôt que cette tentative de rapprochement entre les deux auteurs.
Merci aux éditions L'Herne et à Babelio pour cette lecture.
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