Dorriforth avait reçu au collége de Saint-Omer une éducation aussi sévère que l’est elle-même la règle de cette maison ; il y prit les ordres, et devint prêtre catholique romain. Mais rejetant loin de lui tout ce qui n’était que superstition, et discernant avec justesse les vrais devoirs que lui imposait son état, il se fit des principes qu’auraient avoués les premiers défenseurs du christianisme. Toutes les vertus qu’il était appelé à prêcher aux autres, il s’effo... >Voir plus