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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Même si cette série souffre de quelques défauts (scènes de sexe trop nombreuses, répétitions (de scènes et de mots, de tournures de phrases, etc, dont je pense que c'est plus lié à l'auteure qu'à la traduction...), la trame en est complexe et bien tissée, et vraiment cohérente, très intéressante.

En plus, les personnages sont plutôt attachants (au-delà de leur obsession sexuelle, mdr !), plein de contradictions, et donc j'ai plutôt bien accroché à cette famille peu ordinaire.

J'ai fini assez rapidement (forcément quand on saute le quart du bouquin ça va plus vite, mdr ! Enfin j'exagère mais je dois pas être loin) ce tome 2, et si la trame en est la même que pour le tome 1, les événements (provoqués par Pestilence qui est un personnage délicieux, au sens torturé du terme) apportent suffisamment de rebondissements et de suspens pour maintenir mon intérêt.

J'ai sauté sur le tome 3 aussitôt celui-ci fini. J'aurais bien mis 3,5 car j'ai préféré ce tome que le premier, mais pas de demi sur Babelio, comme toujours.
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Comme prévu, j'ai continué l'aventure Cavaliers de l'Apocalypse avec le second tome, Famine, qui cette fois met en avant la seule femme de la fratrie : Limos. J'ai sensiblement eu les mêmes impressions que lors de ma lecture du premier tome, avec quelques points que j'ai préférés et d'autres qui m'ont plus dérangée. Comme quoi, je suis jamais contente hein ! Mais globalement, ce tome a été meilleur que le premier. Bon point, qui m'encourage à attendre la suite.


Je vous rappelle en quelques mots l'intrigue des Cavaliers de l'Apocalypse : Ares, Limos, Thanatos et Reseph sont les Cavaliers de l'Apocalypse, version peace and love. Mais si leurs sceaux venaient à se briser, ils deviendraient respectivement Guerre, Famine, Mort et Pestilence et embrasseraient leur coté maléfique avant de déchaîner l'Apocalypse sur Terre. Inutile de préciser qu'ils essayent de préserver leurs sceaux à tout prix.


Dans le premier tome, le sceau de Reseph s'est brisé et ce dernier, devenu Pestilence, a tenté par tous les moyens de briser à son tour le sceau de Arès. J'en profite pour vous prévenir que si deux sceaux sont brisés, les deux autres se briseront à leur suite. Or, le sceau d'Arès s'étant incarné en Cara, humaine devenue immortelle dans Guerre, il est devenu plus dur voire impossible à briser. Pestilence concentrera donc ses efforts sur ceux de Limos et de Thanatos.


J'avais peur de voir se répéter le schéma vu dans Guerre et Plaisir Déchaîné (Premier tome de la saga « mère » Démonica, que j'ai lu entre temps... mais j'aurais peut-être dû m'abstenir, il était bien en dessous de la seconde saga de l'auteur). Schéma pouvant se résumer à un couple par tome, une alchimie totale, rapidement installée et instantanément réciproque qui se traduisait par des scènes de sexe peu divertissantes pour le lecteur.


J'ai donc eu l'agréable surprise de voir que, même si Arès était laissé en retrait et Limos clairement mise en avant, nous avons eu droit à beaucoup de scènes du point de vue de Thanatos et même quelques unes du points de vue de Pestilence.


Aussi, les deux Cavaliers mis en avant dans ce tome, Limos et Thanatos, partagent une particularité qui a permis à ce tome d'être moins indigeste que le premier : leur virginité. En effet, le sceau de Thanatos étant la perte de son pucelage, il se préserve afin de ne pas devenir Mort et provoquer l'Apocalypse. le pauvre en souffre, d'autant que Pestilence lui envoie constamment des démones tentatrices ! Limos, quant à elle, ne peut avoir de relation avec un homme car, étant promise à Satan, si un autre homme venait à la toucher il serait traîné en enfer pour y subir d'atroces tortures visant à lui faire hurler le nom de Limos, ce qui permettrait à Satan de la prendre pour femme. Ainsi, ce tome a mis en scènes beaucoup moins de scènes érotiques que le premier et j'ai eu l'impression que l'action était bien plus présente et que l'on avançait plus vite. Mais, n'oublions pas que nous sommes tout de même dans une romance paranormale écrite par madame Larissa Ione et que le sexe est tout de même très présent.


J'ai donc été assez contente de la découpe proposée dans ce tome, lequel ne ciblait donc pas seulement Limos mais mettait aussi en avant Thanatos. On comprend d'ailleurs pour quoi vers la fin du roman, le rôle de Thanatos prenant une ampleur qui ne pouvait de toute évidence pas être contenue en un seul tome... mais je vous laisse le découvrir.


Passons à ce qui m'a déplu, maintenant. Je me languissais ce tome pour y voir un personnage féminin fort en la personne de Limos, qui communiquait avec ses poings et à grand renfort d'os brisés dans le premier tome. Malheureusement, à peine s'est-elle entichée d'Arik qu'elle se transforme en petite chose fragile qui rêve d'être une humaine protégée par un homme viril. Grosse déception, surtout quand on se rappelle leur rencontre dans le tome précédent (côtes brisées, tout ça)
J'aurais aimé voir en Limos une combattante, non esclave de ses sentiments, presque une Artémis de l'Apocalypse. J'ai eu un peu trop d'espoir, l'héroïne est certes vierge mais cela la turlupine grandement, surtout quand Arik est dans les parages. Heureusement, elle nous offre aussi quelques scènes qui valent le coup et se révèle parfois être aussi redoutable au combat qu'avec ses mots.


Une fois encore l'histoire d'amour est facile et rapide, prévisible au possible et malheureusement très niaise. J'espérais de Limos une fougue et une indépendance totale, mais elle semble les abandonner dès qu'Arik est dans le coin, prête à accepter de jouer le rôle de la fille fragile qu'il doit protéger, rôle qui colle à la peau d'Arik et lui convient totalement. Sauf que... Limos a quelques 5000 ans contre la petite trentaine d'Arik, et ça m'a bien embêté.


En ce qui concerne l'intrigue de ce tome, Famine reprend là où Guerre nous avait laissé : tout le monde est un peu apaisé après la première victoire contre Pestilence et l'union de Cara et d'Arès. Limos, sensible au charme de Arik, le provoque gentiment dès les premières pages et le jeune homme, joueur, l'embrasse. Presque aussitôt, il est aspiré en enfer avec pour seule consolation les derniers mots de Limos : « quoi qu'ils te fassent, ne dis pas mon nom ! » Et Arik s'y accrochera le temps que durera sa captivité, subissant d'atroces tortures. On découvre un personnage courageux et protecteur... et drôle aussi ! Je l'ai apprécié jusqu'à ce qu'il devienne guimauve sans prévenir, mais passons. Pendant ce temps, Limos, se sentant terriblement coupable, tente de le retrouver et use autant de ses charmes que de sa ruse pour y parvenir, nous offrant quelques scènes appréciables.


On découvre que la Cavalière a de nombreux secrets, tous plus terribles les uns que les autres et qu'elle est prête à tout pour les garder. Plus que tout, elle a peur de perdre l'amour de ses frères. Ce tome sert donc aussi à en apprendre plus sur le passé des Cavaliers, et c'est ce que j'ai préféré de l'intrigue de Famine.


D'un autre coté, Pestilence a mis en oeuvre un piège terrible afin de briser le sceau de Thanatos, et de fil en aiguille, une aegie (du club des tueurs de démons) vient habiter chez lui. Je ne sais pas si Regan est un personnage de Démonica, mais je sais qu'elle m'a été immédiatement antipathique et l'est restée jusqu'au bout... C'est bien dommage parce que son rôle dans l'histoire est des plus intéressants et elle met à mal la volonté de Thanatos à préserver son sceau, ce qui crée un petit suspens intéressant. J'attends avec impatience de voir comment (et si) Larissa Ione va rattraper ce qu'elle a créé dans ce tome, car j'avoue que je ne m'y attendais pas.


Un tome globalement meilleur que le premier, bien qu'il reste quelques détails qui m'ont dérangée. Je retiens cependant une fois encore la richesse du monde créé par Larissa Ione. Au moins, le mythe des Cavaliers est respecté et originalement adapté pour servir son intrigue. Si la romance et l'érotisme étaient mis de coté, on obtiendrait une saga que j'apprécierais sûrement énormément. Malheureusement, les cotés mièvres côtoyant du sexe caricatural m'empêchent d'apprécier cette saga à 100% et c'est bien dommage ! Une bonne histoire tout de même, dont je lirai la suite.
Lien : http://allison-line.blogspot..
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Si le premier m'a bien plu, le deuxième est quant à lui bien décevant. Je ne suis pas partisane des romances paranormales, ni des textes érotiques, donc je savais très bien qu'avec le Spin Off de Demonica (que je n'ai pas lu) de Larissa Ione, je suis à ma limite de ce que j'apprécie. Il me faut de la consistance à me mettre sous la dent. La romance ne fait pas le poids chez moi.

La grande force de cette histoire (=saga) est bien sur l'univers que l'auteure a créé, avec tous ces personnages et son monde mystique. Dans un premier temps, tous ces noms nous mettent à mal, qui sont-ils, est-ce qu'on est censé les connaître d'avant ou depuis le premier tome… mettons ça de côté, ça n'a pas d'importance car les pages qui se tournent s'accélèrent avec l'action qui est quasi constante. Bon point. C'est ce qui fait qu'en quelques heures la lecture est bouclée.

Par contre, j'attendais beaucoup de Limos. Elle est la seule fille parmi les quatre Cavaliers de l'Apocalypse et elle se révèle bien fade et presque aussi agaçante que ces humaines. Elle devient une pauvre petite chose geignarde… et qui s'entiche d'un simple humain au trait de caractère presque d'un Être Surnaturel, dur d'y croire. Ce deuxième tome exploite bien mal les sentiments et tout tourne autour du mensonge, de ses conséquences ou de la préservation de sa vertu. En effet, chaque partenaire potentiel n'a eu que peu d'expérience ou alors vraiment ce n'est pas leur truc - mieux, ils ne l'ont jamais fait mais ont des orgasmes aussitôt. *roule des yeux* Là, on a touché au truc qui me dépasse et m'exaspère profondément dans la littérature de midinette… m'enfin bon, laissons donc de côté la romance.

Quant est-il de l'histoire, Pestilence continue de semer le chaos, il se remet assez rapidement de la défaite face à Ares et est bien décidé à tout faire basculer, il se joue de Limos et de Thanatos. Heureusement que ce dernier était de la partie car il a relevé le niveau, son personnage avait assez de mystère et de noirceur pour en faire quelque chose de plus intéressant. Larissa Ione parvient bien à chaque fois à me tenter avec le prochain, donc même si ce tome me laisse un petit goût amer, je lirais les 2 prochains tomes (en zappant les scènes de cul qui servent à rien du tout).
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En bref: Un second tome bien sympathique, mais pas à la hauteur du volume précédent. Il pêche selon moi au niveau du développement des personnages principaux. Si je leur trouvais un très bon potentiel auparavant, mon enthousiasme est retombé. Leurs personnalités comme leur relation a ici manqué de piquant. Heureusement, des points de vue secondaires bien alléchants viennent varier les plaisirs. L'intrigue se développe de plus au-delà de la simple romance et s'insère dans une histoire aux multiples dimensions. J'ai une fois de plus adoré approfondir le fil rouge de la saga consacré aux Cavaliers et à une Apocalypse toujours plus menaçante. La mythologie développée par Larissa Ione me laisse là encore comblée. Elle a su faire preuve d'originalité dans le traitement d'un mythe pourtant maintes fois traité et l'a rattaché avec brio à l'univers et aux personnages de sa série Demonica.
Lien : http://livrementvotre.blogsp..
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Encore une fois, ce tome se concentre principalement sur la relation Arik / Limos mais nous cotoyons beaucoup les autres personnages ce qui permet de ne pas s'ennuyer. Il y a une bonne intrigue qui nous tient en haleine. Nous suivons également la mise en place du plan de Pestilence pour briser le sceau de Thanatos (par ailleurs il y a une scène qui m'a gênée par rapport au consentement car la scène reste assez floue mais pas de panique, elle est bien expliqué dans le tome 3). J'ai bien aimé Arik qui est un personnage gentil, courageux et protecteur. Limos est une cavalière et une guerrière forte mais reste fragile derrière cette façade. J'ai passé un bon moment mais ce n'est pas mon tome préféré.
Note : 6.5/10
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un second franchement moins bon que le précédent mais l'histoire n'est pas mauvaise non plus. Je n'ai pas trop apprécié les personnages mais heureusement ce tome annonce le suivant et franchement j'ai hâte de lire l'histoire de Thanatos.
Lien : http://smallthings.fr/2015/0..
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