Tout génie a son livre inspiré : Balzac a celui d'Ernst Robert Curtius, Dostoïevski, celui de Viatcheslav Ivanov. Pour nous, guider avec la clairvoyance d'un Dante dans la complexité labyrinthique d'un Dostoïevski, il fallait un esprit puissant de culture universelle, une voix lyrique.
Ce fut Viatcheslav Ivanov. N'était-il pas le maître incontesté du symbolisme russe, le poète subtil et profond de l'Age d'argent, l'humaniste d'une rare érudition, spécialiste ...
>Voir plus