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4,09

sur 797 notes
Que d'encre! que d'encre!
Pauline Dubuisson déchaîne toujours autant les passions et ce n'est sans doute pas fini !
Elle intrigue,ou elle séduit ou elle exaspère.
Une chose est certaine, elle ne laisse pas indifférent et le livre de Jaenada non plus.

Au début, ce" pavé"m'a un peu découragée et j'ai dû faire un petit effort pour poursuivre. Mais,petit à petit,je me suis trouvée happée, envoûtée.
Le rythme du livre semble choisi pour amener le lecteur à mieux communier avec l'auteur dans sa quête de vérité sinon de compréhension .Cela donne parfois une lecture angoissante, épuisante alors, survient la parenthèse:l'auteur nous invite dans sa vie,son quotidien,et là,le lecteur apprécie ou pas ( ça agace aussi parfois lorsque notre réflexion est interrompue).

Si Philippe Jaenada est séduit par Pauline,cette femme d'une intelligence supérieure à la moyenne,si forte et pourtant si fragile, il n'excuse pas son acte mais n'est jamais non plus dans le jugement; il cherche à comprendre et analyse sa vie dans les moindres détails.

Il en ressort une oeuvre majeure tant par la densité d'introspection que par la qualité de la présentation.
Quel travail !
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Une superbe enquête sur le travail de la police, de la justice et de la presse, sur l'opinion publique, et sur les inévitables approximations qui font que la vérité ne peut qu'être qu'approchée, à supposer pour le moins que cette recherche soit sincère et sérieuse. C'est l'affaire Pauline Dubuisson qui fait l'objet de ce roman, mais les références à d'autres affaires connues donnent au livre un écho plus universel. La passion avec laquelle l'auteur, se fait l'avocat de "l'héroïne" qui a tué son amant, essaie de la comprendre sans préjugé, et démonte les approximations volontaires ou non du procès, est communicative. le livre est gros mais captivant et se lit avec plaisir. J'ai un peu regretté au début l'abus de parenthèses mais m'y suis habitué. Malgré le tragique du sujet, l'auteur sait aussi relativiser et garder un humour qui contribue au plaisir de cette lecture.
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Roulement de tambour.
La saison de lecture 2020 est ouverte.
Une fois n'est pas coutume, je commence par un dessert.
Eh oui, que voulez-vous, je suis gourmand.
Et là j'ai choisi de me faire mal.
J'ai pris un truc que beaucoup trouvent lourd à digérer.
Pas moi. Normal, vous me direz, vu que je commence par ça.
C'est donc La petite femelle d'un auteur que j'adore, Philippe Jaenada qui ouvre le bal.
On est beaucoup à aimer, ils sont nombreux à grimacer.
Il faut dire que Monsieur Jaenada, il y met les ingrédients.
D'abord, il choisit un personnage.
Ici, Pauline Dubuisson. Jeune femme condamnée en novembre 1953 pour l'assassinat de son amant, enfin de celui dont elle voulait faire sien.
Apparemment, il n'était plus tout à fait d'accord ce qui contraria fortement la belle demoiselle (en 1953 ce mot était encore d'usage).
Que s'est-il passé dans ce petit appartement parisien ?
C'est ce que va tenter de décortiquer l'inspecteur Philippe. Car c'est une véritable enquête qu'a menée l'auteur afin de nous livrer ces quelque 700 pages.
On pourrait lui attribuer plein de rôle. Auteur, biographe, enquêteur, avocat, journaliste...
Il a fouillé, lui (contrairement à certains protagonistes cités dans son roman) il a cherché dans le passé des uns et des autres.
Il s'est posé mille questions.
On voit bien l'empathie pour Pauline, mais peux-t'on le lui reprocher ?
Coupable ?
Oui.
Mais méritait-elle un tel procès,  un tel acharnement ?
Bien sûr, depuis sa plus tendre adolescence elle a commis des erreurs, bien sûr elle a péché (Euh, là, j'avoue que le mot est gentil). À 14 ans flirter (ou plus ?) avec l'occupant allemand, forcément c'est mal vu, d'ailleurs, on lui fera payer dès la fin de la guerre.
Et puis ces hommes qu'elle aime, ou qu'elle croit aimer, qu'elle quitte et qu'elle regrette aussitôt ou avec lesquels elle rêve avant de se rétracter.
Elle est compliquée Pauline.
Mais bon, je vais pas vous réécrire le livre, ce n'est pas le but ici.
Non, je vais vous dire que Jaenada fait du Philippe Jaenada.
Il détaille, jusqu'à agacer son lecteur parfois. (Mais faut le comprendre, c'est du travail sérieux, il rigole pas...)
Il brode, et là j'ai retrouvé tout son talent, sa patte. Franchement qui pourrait se permettre, au milieu d'un sujet aussi dramatique, de vous parler saucisses, ou encore slip kangourou et même vous narrer une de ses cuites mémorable, Hein, qui, à part lui ?
Et puis, comme il ne devait pas trouver son livre assez long, (mais bon, quand on parle dessert, il n'y en a jamais assez), il joue au journaliste du célèbre magazine "Détective" (là, je vais le titiller, il est évident à la lecture de ce bouquin qu'il ne porte pas ce journal dans son coeur) en nous retraçant le parcours de criminel(le)s dont le parcours croise le chemin de Pauline Dubuisson ou d'autres personnages de la petite femelle.
Bon, moi, je me suis régalé, mais je vous préviens, ce gâteau est plutôt du genre moka.
Un peu lourd à digérer pour certains et j'avoue qu'il vaut mieux être léger pour s'y attaquer.
Mais peut-on reprocher à un écrivain d'écrire ? À un romancier de...romancer ?
La plume de Philippe Jaenada est une plume de passionné et quand on est passionné on est excessif.
(C'est parfois ce que je me dis en écrivant mes chroniques, d'ailleurs, mais je suis comme lui, je m'autorise tout...)


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J'arrête au bout de 55 pages. Je sais déjà que je ne tiendrai pas jusqu'à la page 703.
L'auteur fait la biographie de Pauline Dubuisson qui la rendra célèbre, en autre, par le film ‘La vérité' avec Bardot.
Je n'aime pas le style : il fait des comparaisons avec sa femme, lui-même, une couche sur ses beaux-parents. Des parenthèses. Des détails qui me semblent inutiles. Je lâche sur la reconstitution de la guerre. Des répétitions. Déjà mentionné deux fois :
- L'écrivain se voit en talons aiguilles,
- Elle fera médecine
- Fan de Claude François.

J'ai lu ‘Je vous écris dans le noir' de Jean-Luc Seigle sur la même personne. J'ai peur d'une surdose. J'ai voulu tenter parce qu'il fait parti de la sélection Livre Inter, alors que le mot femelle dans le titre me déplaisait. Première approche avec cet auteur.
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Tout le monde ou presque est désormais au courant mais c'est parfois bon de rappeller les évidences: Philippe Jaenada a enchanté la rentrée littéraire en 2015 avec « La petite femelle ». le romancier, alors peu connu du grand public avant ce coup de maitre est pourtant depuis de longues années l'auteur d'une série de romans particulièrement enlevés et enthousiastes.

Par ailleurs lors de ses interventions médiatiques, notamment chez Ruquier, où il vient fréquemment défendre ses livres, il nous montre tout l'humour et la distance de son personnalité qu'il laissait entrevoir.

Dans ses livres, il adore se raconter à l'aide de doubles littéraires dans des déambulations sociologiques, philosophiques et très souvent éthyliques,
C'est sous la plume d'un autre roman Jean-Luc Seigle avec son roman je vous écris dans le noir récemment récompensé par les lectrices du journal elle,que j'ai fait connaissance avec cette Pauline Dubuisson qui a vraiment connu une destinée incroyable, échappant par deux fois à la peine de mort pour deux chefs d'accusations différentes, à quelques années d'intervalle.

Philippe Jaenada avec son roman la petite femelle qui a comme je vous le disais en préambule fait l'unanimité chez tous les lecteurs et les critiques reprend le même point de départ du livre en tenant à partir comme Jean Luc Seigle de ce le portrait sans nuance, accablant de la jeune femme dessiné au moment du fait divers la concernant (le meurtre de son ancien petit ami en 1950).

Sauf que contrairement à Seigle qui imaginait pas mal d'éléments fictionnels autour de cette incroyable destinée, Jaenada ne s'attache qu'à l'authenticité des faits qu'il reprend un à un, relisant tous les témoignages, tous les rapports, toutes les archives, tous les documents la concernant.

La petite femelle se lit ainsi comme une formidable enquête policière tant l'auteur réussit avec brio à distille dans son récit un suspense des scènes précédant le meurtre aux derniers moments de la vie de Pauline Dubuisson en passant par le procès, qui m'a tenu en haleine.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Bon, ne pas être trop longue sur ce pavé, ça va être dur...
Un beau et gros pavé dans la mare de la société machiste, phallocrate, où la norme de toute chose est le mâle mature entre 40 et péremption, où la femme n'appartient pas à l'humanité mais doit en être le pilier : le pilier des mâles, qui, eux, constituent le genre humain...Donc la femme, comme le montre avec pas mâle de talent Philippe Jaenada, elle est faite pour être offerte aux hommes, pour leur bien-être, leur intérieur, leur soutien physique et moral ...Objet et non sujet, elle ne peut se penser seule, indépendante, autonome.
Donc évidemment, Pauline Dubuisson, "La petite femelle" (quel beau titre !!), dont le destin croise sans cesse sans vraiment le croiser celui de "l'animal Bardot", d'une manière de coïncidence qui aurait fait triper André Breton, c'est du petit lait pour les grands garants de l'ordre social, mâles juges, mâles policiers, mâles psychiatres, mâles journalistes, et même femâles (femelles à l'extérieur, mâles à l'intérieur, sur le modèle du bounty noir à l'extérieur et blanc à l'intérieur...copyright sur le mot huhuhu) ...Car Pauline Dubuisson c'est, "mon coeur est à la France, et mon cul est international..." euh, non , même pas, c'est "mon coeur est d'abord à papa, et après je sais pas, et je fais ce que je veux avec mon cul" ... Et je veux pas me marier tout de suite avec Félix, et je veux continuer mes études, et je suis très attachée à un vieux docteur allemand qui fut mon amant pendant la guerre, et à un officier allemand etc etc ... Donc quand elle tue Félix (joyeux Noël, Félix !) évidemment c'est la curée, le lynchage public, la mise à terre, l'écrasement, la destruction d'une héroïne tragique...Et ensuite, même sortie de prison, on n'en sort pas, hein, quand on est à ce point l'incarnation du désordre public, à ce point le bouc émissaire idéal d'une société qui tangue sur ses bases d'un passé proche et gravement pourri ...Alors adieu Pauline, t'auras pas de deuxième chance.
Tout cela est admirablement montré par Philippe Jaenada.
Mais j'ai quand même un reproche à formuler, je ne m'en cache pas, même si ce n'est pas très politiquement correct.
La même chose m'a gênée dans ce livre qui m'a gênée dans "Une si jolie petite fille", de Gitta Sereny. C'est l'oubli des morts au profit de la vie. C'est pas bien d'être mort. Les absents ont toujours tort. Dans son parti pris pour réhabiliter Pauline, Philippe me semble très partial. Si on cherche à rétablir l'infinie complexité de ce personnage pour expliquer son acte, ce n'est pas une raison pour ignorer l'infinie complexité des personnages qui l'entourent. J'ai trouvé que Félix en prenait plein à la gueule pour pas un rond (joyeux Noël, Félix ! Fallait pas mourir ! Pourquoi t'étais là, t'as foutu la merde dans la vie à Pauline ! ) Et je ne parle même pas de Monique ! (Purée, Monique ! Arrête d'être débile, comme ça ! Tu fous la merde dans la vie à Pauline ! Si t'avais bien voulu coucher avec Félix, il aurait pas recouché avec Pauline, et tout le monde serait encore là, bien grabataire à la maison de retraite ! T'es trop nouille, Monique, t'es pas dans le coup !) Pauvre Félix ! Philippe en dresse le portrait d'un fils à papa-maman complètement neu-neu, complètement victime de son époque ...Je ne suis pas d'accord. Pauline, elle est pas cool, elle est même, comment dire, un peu zinzin ...Alors elle, ok, on analyse bien pourquoi : son père très trouble qui la met dans les bras des hommes à treize ans, la guerre, l'épuration (quelle honte !!!) ...Mais c'est une erreur de logique de considérer que puisque Pauline a des circonstances atténuantes immenses, alors Félix est un idiot. Ca ressemble aux syllogismes que dénonce Philippe dans le procès : "Vous n'avez pas vu de vaches à Paris ? Donc Pauline n'a pas découché". Là, je suis désolée, Philippe, Philou, non, je marche pas. Félix, il est ok ...Il tombe fou amoureux de Pauline, elle le traite comme un chien, il se résout à la quitter, il rencontre une fille plus sympa, plus conforme à ses attentes et voilà, ça devrait être la fin de l'histoire. Mais Pauline, quand il la quitte, elle se met à l'aimer comme une folle alors qu'elle l'a gravement humilié ...Et puis surtout, cette histoire de revolver, de suicide, elle annonce à sa logeuse et amie, tranquille, qu'elle va faire un malheur à Paris, bon, too much, Pauline, hein, Philou ...Et puis elle le suit dans Paris, elle veut se suicider devant lui pour gâcher sa vie ...ou alors, comme elle dit au procès "c'est alors que j'ai décidé de nous entraîner tous les deux dans la mort" ...Pan pan ...et pan , joyeux Noël, Félix !
Voilà, c'est ça qui m'a dérangée. Pauline est fascinante, insaisissable, tragique, et donc ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente. Mais coupable, hein, Philou, ne l'oublie pas, coupable d'avoir ravagé Félix, son beau visage, son beau corps de 27 ans, son bel avenir, et sans motif réel, Philou, parce que sinon, vu qu'on s'est tous un jour fait larguer pour un-e (forcément) connard-sse, on serait tous en tôle.
Joyeux Noël, Félix.
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Malaise et ennui pour cette biographie qui fustige pourtant avec mérite les négligences et manipulations du procès de Pauline Dubuisson, petite collabo surdouée qui a tué 'par accident' de trois balles son chagrin d'amour.

Le côté 'redresseur de torts' de Jaenada cadre mal avec l'étalage de ses états d'âme et une écriture volontairement grasse, un côté people et racoleur, la même subjectivité qu'il reproche aux autres quand par exemple il sous-entend que Pauline a peut-être trompé Félix pour son bien, pour le faire réagir, d'ailleurs sa petite soeur Valérie a fait pareil et c'est un être des plus bienveillant, inoffensif et généreux qu'il connaisse!

On apprend aussi que Jaenada s'est fait violer par une Anglaise et les irrésistibles souvenirs de sa dernière cuite.
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Rythmé, intense, drôle tout en traitant d'un sujet grave (faits réels d'un procès de femme jugée pour meurtre).
Un livre surprenant et passionnant!

J'aime le cote justicier de l'auteur, qui se sert de l'écriture pour dire vraiment qui était Pauline Dubuisson, cette femme que tout le monde a condamné sans chercher à comprendre.

L'auteur a fait de longues recherches et un travail d'enquête minutieux, il a voulu creuser derrière les apparences, et donner une chance à Pauline d'être autre chose qu'une "collabo qui a tué son amant par perversion profonde".

On a si vite fait de juger les gens. Parfois je pense à ce que l'on pourrait retenir contre moi, à ce que j'ai fait hier, qui viendrait prouver de façon évidente que je suis coupable aujourd'hui...

Par ailleurs l'écriture est libre, drôle et un peu folle. Un peu déroutant, et rafraîchissant en même temps.
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Fille rebelle.

Philippe Jaenada retrace le parcours de Pauline Dubuisson condamnée pour le meurtre de son amant en novembre 1953.

Troisième Jaenada, troisième lecture agréable ! Lire un Jaenada devient un rituel sympathique pour moi. Dans ce livre il se consacre à l'affaire Pauline Dubuisson. S'agissait-il d'un monstre vénal et jaloux ? Ou tout simplement d'une jeune fille trop libre pour l'époque ?

Comme a son habitude, Philippe Jaenada décortique la vie de Pauline Dubuisson, ainsi que celle de ses proches. Issue de la bourgeoisie de province, elle a été élevée par son père pour être un "surhomme" selon les principes nietzschéens. Par la suite pour aider son père, elle se liera avec des officiers allemands durant l'Occupation. Tout ces éléments contribueront à donner de Pauline l'image d'une femme froide et hautaine.

Jaenada va tout faire pour démontrer le contraire. Il s'agissait en réalité d'une jeune femme élevée sans amour et sans tendresse, qui a tout fait pour plaire à son père. de plus, son tempérament et son comportement, en partie liés à son éducation, font qu'elle est "trop" libre pour une femme de son époque.

J'ai ressenti une sincère empathie et admiration pour Pauline de la part de l'auteur. Au fond ne s'agit-il tout simplement pas d'une victime de la société misogyne des années 40-50 ? Pour Jaenada la réponse est tout simplement oui. Toutefois, il ne cherche pas à cacher les parts d'ombres de Pauline.

Elle a tenté de se suicider à plusieurs reprises, avant de réussir le 22 septembre 1963. de plus, Jaenada ne cherche pas à excuser, ni à chercher des circonstances atténuantes pour le meurtre de son ancien amant.

Bref, ce livre a été très intéressant à lire, même s'il avait d'inévitables longueurs. Il s'agit d'un hommage vibrant à Pauline Dubuisson.
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Alors, tout d'abord, sans les challenges, jamais je n'aurais découvert la plume de Philippe Jaenada...Et franchement j'aurai loupé quelque chose !
Jamais je n'aurai pensé que quelqu'un puisse écrire comme ça !
Il nous raconte, mais avec des histoires dans l'histoire, ce qui renforce son propos.
Et en fermant ce livre, je me suis dit que j'étais vachement chanceuse d'être née à mon époque et pas avant...Le combat des femmes n'est pas encore gagné, mais quel chemin parcouru ! Et pourtant c'était il y a moins de cent ans, et notre société n'est toujours pas débarrassée des réflexes patriarcaux.
J'ai souffert avec cette femme tout au long de son histoire, parce que quand même, un destin comme ça...Et j'ai honnis toute cette meute, qui finalement est toujours la même, mais prend d'autres supports de nos jours.
Alors, oui, elle a tué son amant, mais la société s'est déchaînée contre elle, plus que de coutume, et ce livre explique tellement bien pourquoi.
Triste histoire, mais quel romancier !
Je lirais très certainement d'autres bouquins de lui...
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