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3,45

sur 459 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
La chaleur...Elle vous oppresse et vous rend criminel par paralysie de l'esprit, du coeur, des membres...Léo n'aimait pas Oscar, ado trop sûr de lui, il le laisse s'étrangler à la balançoire du camping...Léo est un étranger dans ce camping, il ne se comprend pas, ne s'éprouve pas, n'aime pas les autres, voilà pour Camus.
Le camping, le tourisme de masse, la consommation des corps, la jouissance obligatoire, le dégoût de soi et des autres, les beaux et les pas gâtés par la nature, le marché de la séduction, la plage, la baignade, un chien sympa...Voilà pour la part houellebecquienne très appuyée du roman.
Léo est un garçon trop sérieux pour ses dix-sept ans, c'est pour Rimbaud.
Et d'autres qui me frappent moins sans doute...
Beaucoup de références lourdes à porter pour le jeune auteur.
Le camping, c'est l'horreur pour notre héros. Tous ces gens sont affreux, vulgaires, graisseux de crème solaire, ils font des quizz, prennent l'apéro, font de l'aquagym et roulent dans les vagues, se font des soirées à la musique atroce sur la piste de danse pendant que les jeunes font des feux sur la plage en buvant de la bière...Léo passe à côté, il ne veut pas se mêler. Il passe tellement à côté qu'il laisse Oscar, un jeune de son âge, mourir, puis va l'enterrer dans les dunes, tranquille. "On n'entre point dans les raisons de cette tuerie", comme dirait madame De Sévigné. C'est le grand défaut de l'histoire. Qu'il le regarde mourir fasciné en projetant sa propre mort sur Oscar, d'accord...A creuser. Mais qu'il le traîne (lui le tout menu un grand plus musclé) dans la dune et l'enterre ? Pourquoi diable ??? Ensuite, il attend en se languissant. Rencontre languissamment une fille...A chaud, enlève son tee-shirt pour la première fois...Saute dans la piscine !! Dans l'océan !! Que d'actions ! Arrêtez !
Ce n'est pas que ce soit sans qualités. Je pense que l'auteur fait exprès de ne rien dire. Léo est tellement mal dans sa peau que tout le dépasse. Mais il faudrait creuser dans la dune, si j'ose dire, dans ce rêve éveillé tellement flou que l'on se demande parfois si ce qui arrive est réel ou fantasmé par le héros.
En tout cas, je remercie Flammarion et Babelio pour ce roman bien de saison lu en pleine canicule.
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Un jeune à la dérive
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Lu dans le cadre des #68premièresfois (rentrée littéraire 2019)
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Voici un roman assez singulier. Un très jeune auteur qui a écrit là son 1er roman centré sur l'adolescence. Une génération qu'il a lui-même quittée il y a peu.
Surprenant aussi par l'écriture sèche, posée là presque comme du vécu.
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Notre jeune anti-héros, Léonard 17 ans est le témoin de cette génération consommatrice de la jouissance. Désabusée, à la recherche de défis toujours plus hauts. Il y a cette tristesse qui accompagne Léonard tout le long du récit. Elle lui colle à la peau, comme cette chaleur moite dans cet été suffocant.
L'adolescence, cette période charnière où tout peut basculer très vite, où le morbide s'installe à côté de la sensualité sans concessions. Entre terreur et excitation aussi comme on le ressent ici avec Léonard qui tombe amoureux.
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Le camping est le lieu de jeunesse débridée par excellence. Il est aussi le catalyseur de drame comme on le voit ici. Un suicide, cet acte dérangeant.
Léonard est le témoin direct de cette tragédie. Il va s'interdire toute émotion et enterrer le corps dans la dune. Durant 24h, il va suivre une trajectoire guidée par ses sentiments amoureux et essayer d'oublier ce qu'il y a au fond du trou. Il est caché, il n'existe plus. (on parle du corps)
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Une tension palpable jusqu'au dénouement fatal m'a fait lire ce roman d'une traite. le final m'a fait douter de ce que j'avais pu lire et interpréter auparavant.
Rêve ou réalité? Il y a vraiment une ambiance étrange qui déstabilise la lectrice. J'ai fortement pensé à Meursault dans l'Etranger. Je ne saurais dire si j'ai apprécié ou non.
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Comme Léonard, j'erre entre les dunes sous une chaleur écrasante....
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« Oscar est mort parce que je l'ai regardé mourir, sans bouger. Il est mort étranglé par les cordes d'une balançoire. »
A partir de là, Léonard, 17 ans, va porter seul un lourd sentiment de culpabilité, dont le poids s'ajoute à celui de l'ennui abyssal qu'il traîne depuis deux semaines à travers un camping des Landes.
En cette fin août caniculaire, Léonard n'en peut plus de cet endroit où il étouffe, en décalage avec ses congénères qui profitent plein pot de leur adolescence en feu, c'est-à-dire du cocktail sea sex and sun, plus l'alcool et les fiestas jusqu'aux petites heures. Ca n'intéresse pas Léonard, qui préfère encore errer sans but à travers le camping, y compris la nuit, y compris celle où Oscar meurt sur la balançoire. Pris de panique par la situation, Léonard décide de traîner le corps jusqu'à la plage, et de l'enterrer dans la dune. Puis il se rend compte de la connerie monumentale qu'il vient de faire, mais se tait dans toutes les langues et passe les derniers jours de vacances à craindre qu'on retrouve le cadavre.

Je n'ai jamais passé de vacances dans un camping, et ce n'est pas ce roman qui va m'en donner l'envie, tant l'ambiance décrite n'est que superficialité, vulgarité, consommation. Mais passons. le plus gênant dans cette histoire, c'est qu'elle ne me semble pas des plus crédibles. Mourir étranglé par les cordes d'une balançoire alors que quelques secondes plus tard (trop tard), le simple fait que la tête d'Oscar bascule en avant suffit à démêler les cordes ? Traîner un corps à travers un camping et l'enterrer à mains nues alors que d'autres font la fête un peu plus loin ? D'accord, il fait nuit et ils sont tous torchés, mais quand même. Laisser passer un délai aussi long avant que la mère d'Oscar s'inquiète de sa disparition et encore plus avant qu'elle prévienne les gendarmes ?
Et puis, pourquoi prendre pour acquis qu'Oscar se soit suicidé, alors qu'il était complètement bourré, et que ça aurait pu être un stupide accident ?
Léonard est l'archétype de l'adolescent mal dans sa peau, qui se méprise lui-même autant que les autres, qui crève de solitude mais est incapable de s'intégrer dans un groupe.
Cela aurait pu être bouleversant et provoquer l'empathie, mais le comportement de Léonard dépasse l'entendement. L'écriture restitue plutôt bien la sensation d'oppression, de chauffe à blanc et de malaise, mais c'est à peu près tout.
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Léonard, jeune homme de 17 ans, mal dans sa peau, comme nombre d'adolescents est en vacances en camping dans les Landes. Tout y est, les animations, les soirées, la mascotte qui se promène dans les allées, les rituels... rien qui ne me fasse rêver. Bref, ce Léonard qui traîne son mal être, va être témoin du suicide d'Oscar. Cet événement tragique ne va pas l'aider à aller mieux d'autant plus qu'il ne fait rien pour empêcher ce drame. Ainsi, en plus des états d'âme dûs en partie à l'adolescence vient alors se greffer la culpabilité et les questionnements sur le fait de raconter ou pas ce qu'il a vu et ce qui s'est passé par la suite.
Tout comme la météo qui est de plus en plus chaude, les questions se bousculent dans la tête de ce jeune Léonard, elles semblent de plus en plus pressantes jusqu'au moment où l'orage éclate...
Il y a quelque chose dans ce premier roman qui le distingue mais aussi quelque chose qui manque, d'où ma note mitigée.
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Pour ce premier roman, Victor Jestin a pioché un peu partout, peut-être involontairement quelquefois : Bonjour Tristesse, L'étranger, Respire, Virgin suicides et d'autres sans doute, et cela donne quelque chose d'inabouti malgré une fin inéluctable, celle que l'on n'attend toutefois presque plus, tant le poids du quotidien paraît étouffer l'indicible.

L'idée de base, malgré l'incohérence matérielle de la mort d'Oscar, m'a paru très bonne, c'est le devenir tragique, en quelques heures, qui ne colle pas, pour ce jeune paumé, qui, au lieu d'intervenir, observe la mort, comme dans un jeu vidéo, tente ensuite d'oublier avec d'éprouvantes tensions sexuelles qui ne le conduisent que vers encore plus de désespoir, ce que ne peuvent comprendre ses parents qui ne songent qu'à le voir ramener... une fille! Alors qu'il ne traîne que de l'incompréhension de lui-même, sa propre incompréhension.

De ce point de vue, j'accorde la troisième étoile à ce texte malgré son manque de style, son manque d'humanité, mais c'était certainement le but de l'auteur, exprimer le désarroi d'une certaine adolescence, cent ans après qu'une autre partît, fleur au fusil, vers un suicide imposé, dans la boue des tranchées de la Somme.
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Tel un sablier qui inexorablement laisse filer le temps, Victor Jestin distille la tension dans son récit dramatique des vacances de Léonard, dans ce camping animé des Landes, où la jeunesse s'abreuve de boissons et de musique, le soir venu.

Oscar est mort sous les yeux de Léonard, agacé par le bruit des campeurs qui l'empêchaient de dormir. Pourquoi est-il resté figé au lieu de porter secours à Oscar ? Pourquoi la disparition d'Oscar semble-t-elle n'émouvoir personne ?

La chaleur écrase le camping, les hormones s'agitent chez les jeunes garçons, cependant il ne se passe pas grand-chose dans cet ennui quotidien entre animations, piscine, bains de mer, fêtes sur la plage pour les jeunes gens qui se trouvent perdus là. Léonard agit ou réagit sans réfléchir, à l'instinct, pourtant la culpabilité le ronge sans qu'il sache quoi faire pour en sortir.

Le talent de Victor Jestin est de vous maintenir en haleine avec une seule angoisse : que va faire Léonard ? Sera-t-il démasqué avant la fin des vacances ou s'en ira-t-il sans se retourner en laissant ses parents dans l'ignorance de son inaction face à la mort d'Oscar ?

Le roman est court, le suspense extrêmement présent. Une histoire qui m'a laissé à la fois un goût d'inachevé et la sensation que la boucle était bouclée... Paradoxal ! c'est en cela que ce roman m'a bousculé. Un auteur qu'il sera intéressant de suivre avec ce premier roman prometteur.

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"La chaleur", se veut un choc brutal, suscitant une réflexion, par son histoire étrange et inhabituelle ; pour moi, ce n'est qu'un ersatz, de "L'étranger", d'Albert Camus, rédigé par un jeune écrivain, qui n'a pas encore trouver sa voie. La thématique, pourtant est intéressante : "Comment peut-on être au monde, exister, vivre, en étant l'exact inverse de ce que la société attend d'un être humain ?". C'est une question qui me semble importante, actuelle, essentielle : "Comment vivre sa liberté ? Comment vivre en étant libre, vraiment libre, libéré des codes sociaux ?" le problème, est que, poser les bonnes questions, ne suffit pas. Encore faut-il traiter ces questions avec subtilité et intelligence, dans une forme esthétiquement intéressante. Albert Camus, Jean-Paul Sartre, et bien d'autres, ont posé la même question, que Victor Jestin. Seulement, quand Camus écrit "L'étranger", il prend soin d'examiner la thématique sous tous ses angles, subtilement. Et, quand Sartre, écrit "Les mouches", il le fait dans une forme qu'on peut qualifier d'excellente, et même, davantage. Victor Jestin, ne fait rien de tout ça. Il traite ce sujet, ce questionnement, de manière lourde, et finalement assez indigeste, en y mêlant une autre thématique, qui va bien mal avec elle, et qui, a le défaut, d'être traité de manière lourde et stéréotypée.
En outre, Jestin a un style, qui me déplaît profondément : banal, il se cherche sans jamais se trouver, si bien que, pour moi, le plaisir de lire Jestin, n'a pas été très grand.
Malgré tous les défauts énoncés ci-dessus, cet écrivain semble prometteur ; et si, un jour, il parvient à faire quelque chose d'original, qui lui est propre, je suis persuadé, que ce sera une vraie réussite.
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Tout premier livre de Victor Jestin qui a 25 ans et déjà nommé en sélection de prix littéraires prestigieux et auréolé du prix de la vocation 2019. Tant mieux pour lui qui ressemble (sur la photo) à l'adolescent timide et introverti du roman prénommé Léonard, bien qu'il ait l'air moins triste et moins désoeuvré.
Il ne se passe rien ou pas grand-chose dans le camping où le jeune homme termine ses vacances en famille. Il a juste enterré Oscar un garçon de son âge qu'il l'a vu mourir étranglé par les cordes d'une balançoire. Non assistance à personne en danger ? Léonard ne se pose pas la question. Il semble juste souffrir d'un mal-être adolescent. On sent qu'il ne sait pas quoi faire de son corps, par contre il a su enterrer celui qu'il a trouvé sans vie, jaloux du baiser qu'Oscar a donner à Luce la jeune fille qui l'attire.
Je dois dire qu'il y a une certaine ambiance, celle de "La chaleur" de fin août dans un camping des Landes, comme le titre l'indique. Ceci dit, passé la première phrase percutante, il y a beaucoup de maladresse d'écriture au début du roman avec des métaphores qui ne fonctionnent pas (c'est tout à fait excusable pour un premier roman). Mais surtout, on n'y croit pas à cet enterrement improvisé.
Et puis, il réussit a donner le ton quand Léonard partage des moments avec les jeunes du camping et surtout avec Luce et j'ai trouvé la deuxième partie du roman plus réussie que la première.
Au final, je n'ai pas été bouleversée et on est bien loin des romans psychologiques de Camus ou de Sagan comme j'ai pu le lire dans la presse mais Victor Jestin décrit plutôt bien les troubles intérieurs d'un jeune garçon d'aujourd'hui. Auteur à suivre...

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La chaleur. Y'avait-il lecture plus propice par ces températures plus caniculaires ?

La chaleur c'est les emmerdes du camping et de l'adolescence, mais sans y foutre les pieds.

Sympa, non ?
Sur le papier ouais.

Sans spoiler grand-chose puisque c'est l'incipit de ce court roman et que c'en est l'évènement marquant on suit un adolescent témoin du suicide d'un de ses compères.

Notre héros, inadapté, témoin de la scène décide de faire disparaitre le corps en l'enfouissant dans le sable.

Je spoil à partir d'ici :

J'ai eu du mal à saisir l'instinct puissant de fossoyeur que peut avoir un jeunot de 17 pavons devant un de ses contemporains qui décide de mettre un terme à sa courte vie, ça arrive là, comme ça, sans plus d'explications, c'est perturbant.

L'ambiance est à la fête de camping imposée à grands coups de tubes, tellement ressassés par la radio que la seule lecture des titres te donne également l'envie subite de te faire toi aussi des fils de la balançoire un noeud de cravate pour ne pas avoir à supporter ces refrains détestables.
La loose du camping avec tes darrons bienveillants okay, les gentils organisateurs qui essayent d'ambiancer un peu ces vacances que tu subis car tu n'as pas le choix ma foi pourquoi pas...
La libido est de rigueur et bien évidemment les garçons se transforment en licorne à la vue de leurs contemporains en petite tenue, et la finalité de ces vacances est d'abandonner le pucelage dans ce maudit sauna parfumé au plastique qu'est la tente de camping pendant ces congés estivaux.

Les confessions de foirage de la première fois du copain à usage unique rencontré il y a peu sont absolument invraisemblable, quel ado renierait l'intégralité de son égo pour étaler l'affligeante vérité, au risque de se coller la réprobation publique et la cruauté sans limite des congénères goguenards ?
Manque aussi de crédibilité tout le tintouin autour de la découverte du corps, le peu d'esclandre qui s'en suit et l'absence d'enquête sérieuse ? Ok se débarrasser d'un être aussi ingrat qu'un adolescent mal dans sa peau dégueulant de sébum peut être satisfaisant, mais de là à taire l'affaire ??! On parle de mort d'un ado par suffocation, un peu de réalisme s'il vous plaît.

J'ai manqué d'entrain pour cette tragédie un peu facile ou le décor comme les échanges manquent de conviction et ou la sincérité sonne creux, l'essence des personnages est éventée.

Et puis cette fin, qui arrive tellement téléphonée qu'on frise le hors-forfait.
Je lâche quelques petites étoiles qui se justifient une intrigue qui donne envie d'aller au bout du bouquin, mais l'ouvrage semble sauvé de l'ennui par sa compacité.
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L'idée de départ est bonne voir très bonne. Un ado de 17 piges qui reste passif devant la mort d'un autre ado. Sur le papier c'est prometteur, d'autant plus que la première page est bien écrite, soignée.
L'idée de faire dérouler l'action dans un camping sous une chaleur caniculaire est bonne aussi, d'autant plus que l'auteur parvient à bien transposer cette ambiance particulière du camping et il nous fait une critique pertinente de notre société de loisirs.
Mais assez rapidement hélas, j'ai trouvé que le style de l'auteur était pas plus convaincant que ça avec notamment une utilisation importante du "que" du "qui" du "c'est", beaucoup de "comme" aussi dont certains assez hasardeux.
La qualité des phases est plutôt inégale, certaines sont très bien ciselées, d'autres sont terriblement mal foutues, inutilement alambiquées.
Le personnage principal est lui assez bien réussit, assez insaisissable, totalement ambigu, voir même un peu retors sur les bords (plusieurs fois j'ai ressenti qu'il fallait pas trop l'embêter ce Léonard et que derrière son apparence fragile, perdu, rêveur il pouvait être capable de violence, il pouvait être très cassant avec les autres).
Je me suis senti proche de lui sur certains points, le complexe de l'ado maigre (on parle beaucoup des ados en surpoids mais je vous assure être tout maigre c'est horrible ^^), moi aussi je détestais enlever mon t-shirt !
Un très bon point, dans la seconde partie du récit, l'histoire entre Léonard et Luce, la première fois et la séparation. J'ai trouvé ça assez sobre avec des mots simples mais efficaces. L'auteur a su créer une vraie belle ambiance dans ces quelques pages, le décalage entre Léonard qui est amoureux et Luce qui se fait aucune illusion fonctionne bien et donne quelque chose d'assez émouvant, voir nostalgique.
En revanche, j'ai pas aimé la fin du roman, je crois que j'aurais préféré que l'histoire se termine sans les deux dernières pages...


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