2049...
L’œil fixait le monde, tel qu'il était devenu... Il avait dû être flamboyant. Il semblait désabusé.
Mathilde ressentait tous ces contrastes. Elle était seule, flottant au-dessus de cette multitude hétéroclite sortant de partout, rentrant on ne sait où. Elle ne pouvait rien faire, sinon constater.
L’œil voulait l'ordre et la sérénité, il voyait le sang couler, les pleurs et les larmes...
Mathilde avait peur...
Son ami Fiat L... >Voir plus