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3,45

sur 346 notes
Pauvre Allan ! lui qui a pour principaux soucis, le manger bien arrosé et la consultation de son nouveau jouet : une tablette qui lui fournit l'actualité mondiale dont il est friand, se voit engagé bien malgré lui dans les grandes affaires du monde.
Par effet papillon, il se retrouve flottant dans la nacelle d'une montgolfière qui s'est abîmée dans l'océan indien. L'histoire racontera ensuite comment il se retrouve mi-dissident, mi-allié de la Corée du Nord et son adorable chef suprême, Kim Jong-Un, puis en possession de quelques kilos d'uranium enrichi, comment il parvient a mettre la pagaille chez les Coréens, et comment il devient le point de mire d'une bonne partie de la communauté internationale.
Ce deuxième tome était prometteur, Allan, expert en explosifs en tous genres, avait l'air de maîtriser la situation, il la maîtrise, certes jusqu'à sa sortie de Corée et puis… commence une sorte de troisième tome dans le deuxième tome, dans lequel notre centenaire semble s'éteindre, effacé par les autres personnages : Julius, son ami, et surtout Sabine qui n'hésite pas à lui clouer le bec.
L'humour du premier tome dans lequel Allan manie les explosifs, sympathise avec les grands de ce monde, met en oeuvre des projets fumants (c'est le moins qu'on puisse dire) s'amenuise dangereusement dans le second tome, l'humour noir que j'affectionne particulièrement dans les romans, frise parfois le mauvais goût, surtout lorsqu'il s'agit de néo-nazis.

Et puis ça devient long, très long : les grands de ce monde se mettent à focaliser sur le vieux, l'auteur sert des pages et des pages de manipulations et considérations d'ordre politique, faisant réfléchir et intervenir des personnalités agissant sur la scène internationale, peut-être nécessaires pour le roman, mais bien ennuyeuses à lire.
Moins d'action donc, et une hâte d'en terminer. J'ai malgré tout passé quelques bons moments de lecture.

Lien : https://1001ptitgateau.blogs..
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Saperlipopette, ça me chiffonne un peu de le reconnaître mais ce second volet des aventures d'Allan Karlsson m'a moins emballée que le premier.

Sans tarder, tentons une brève exploration du problème :

Piste 1, l'histoire se serait essoufflée. Rien de très surprenant eu égard à l'âge canonique du Vieux en objet (101 piges tout de même, je voudrais vous y voir).

Piste 2, la fraîcheur de l'effet de surprise n'est plus. Pour ma part la verve absurde et surréaliste du "Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire" m'avait joyeusement cueillie et sollicité le grand zygomatique. Ici du coup pas trop.

Piste 3, la traductrice a changé – venez pas m'ergoter, j'ai vérifié, certains passages me semblant plutôt malhabiles et peu conformes à l'esprit fantasque auquel Jonasson m'avait habituée.

Piste 4, depuis notre dernière rencontre, Allan Karlsson a pris un an, moi sept (allez comprendre). Autant d'années qui m'ont peut-être sournoisement changée en une vieille bique acariâtre, pas plus encline à la rigolade qu'à l'idée de sauver le monde. Soyons clairs hein… ce n'est qu'une hypothèse.

A creuser ultérieurement.
Pour l'instant le temps me manque, on est déjà presque l'année prochaine et j'ai une chronique sur le feu.

Nonobstant, pour ceux qui auraient trouvé ce bouquin au pied du sapin, pas de panique, il se parcourt sans déplaisir aucun (le bouquin, pas le sapin). Et même si l'on ne sait pas vraiment où veulent nous entraîner les péripéties de cette équipe de farfelus, l'on profite l'air de rien d'une intéressante leçon de géopolitique-pour-les-nuls, insolite et néanmoins pertinente.

Pas le bouquin de l'année donc, mais pas non plus le cadeau pourri. Du coup bah… deux étoiles et demie.

Ҩ

Quoi qu'il en soit, merci beaucoup à Babelio et aux Presses de la Cité pour m'avoir proposé cette lecture.

Et bonne fin d'année les amis : )


Lien : http://minimalyks.tumblr.com/
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Il est de retour, Allan Karlsson, toujours en forme, et prêt pour de nouvelles aventures. D'autant que le magot avec lequel il profitait du grand luxe dans un palace à Bali avec son pote Julius se réduit peu à peu à peau de chagrin. Il est donc temps de prendre la poudre d'escampette et de découvrir de nouveaux horizons, et c'est une excursion en montgolfière qui leur donnera l'occasion de vivre à nouveau de folles aventures .

Après avoir témoigné d'un siècle d'histoire, Allan analyse à travers le prisme de sa personnalité hors du commun notre époque. Il s'est même mis à la page, en découvrant les charmes et les ressources d'une tablette numérique, à laquelle il devient vite accro.

De Trump à Kim-Jong-Un en passant par la ministre des Affaires étrangères suédoise, Allan se fera de nouvelles relations, avec lesquelles il restera fidèle à lui-même , brut de décoffrage. Pas de langue de bois, c'est ce qui fait sa force. Bien entendu tout cela se fait sur un fond de trafic d'uranium ou de plutonium?), et de mallettes échangées.

Pas de surprise avec cette suite du Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire , même ambiance, même ingénuité des dialogues, ce qui contribue à déstabiliser ses interlocuteurs, désarmés par le culot du bonhomme, impressionnés par son âge qui force le respect, mais laisse planer un doute sur ses capacités.

L'intrigue est plus simple que dans le premier opus, et met en jeu moins de personnages et ce n'est pas plus mal.


On frémit un peu en constatant que de part de d'autre de la planète , deux fous à peine caricaturés, jouent à la bataille sans se soucier le moins du monde de l'impact de leurs décisions sur l‘avenir de la planète et de ses habitants (ont-ils conscience d'en faire partie? Il vaut mieux en rire, et c'est ce que nous propose une fois de plus Jonas Jonasson, dans cette farce bien troussée, qui laisse l'espoir de retrouver un jour ce vieux décidément burlesque et désopilant.

Merci à Babelio et aux éditions Presses de la Cité pour leur confiance.
Lien : https://kittylamouette.blogs..
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Vous souvenez-vous d'Allan Karlsson ?
Mais si, ce centenaire suédois qui, refusant de fêter ce centième anniversaire fuyait la maison de retraite dans laquelle il finissait paisiblement ses jours.
S'ensuivait toute une série de péripéties qui le conduisait, riche à millions, sur les plages de Bali.
Et bien Jonas Jonasson nous livre, dans le vieux qui voulait sauver le monde, la suite des aventures de ce personnage loufoque.
On le retrouve donc avec son complice, un gamin d'à peine soixante-dix ans, en train de dépenser allègrement sa fortune sur les plages indonésiennes.
Et quand l'argent vint à manquer, une idée germe... ou plutôt une asperge.
Les voici qui veulent se lancer dans la production de cette plante potagère.
Mais comme dans le précédent opus, rien ne va se passer comme prévu et quand en plus nos deux complices vont se retrouver au centre d'un trafic d'uranium....
Dans la droite continuité du Vieux qui ne voulait pas souhaiter son anniversaire, donc.
Jonasson livre une fois de plus, au travers des aventures de ces deux héros malgré eux, une analyse géopolitique de notre monde.
Une invitation au voyage autour de la terre pleine de rebondissement de la Suède à la Tanzanie, en passant par la Corée, les États-Unis, l'Allemagne, la Russie, le Congo ou le Danemark...
Préparez vos valises, n'oubliez pas de les étiqueter comme il se doit, dans un monde troublé et en proie à toute sorte de terrorisme, les forces de sécurité sont aux aguets.
Et puis, revisez les protocoles et vos langues étrangères, vous allez quand même discuter avec Poutine, Merkel, Trump ou Kim Jong-un... (Il y a même quelques clins d'oeil à notre président )
L'esprit du premier roman, dans lequel on faisait connaissance avec Allan, est bien là, mais je n'y ai pas retrouvé la même saveur, j'ai mis plus de temps à rentrer dans l'histoire.
Un sujet un peu plus politique-fiction, un personnage qui n'est plus le moteur de l'histoire avec quand même quelques situations ubuesques qui donnent une légèreté à cette lecture.
J'ai l'impression, mais ce n'est que mon modeste avis, qu'il ne touchera pas le même public que le premier...

Merci aux Presse de la cité et à Babelio de m'avoir permis de poursuivre les aventures d'Allan
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Quel plaisir de retrouver Allan KARLSSON dans cette nouvelle aventure. Il va de nouveau se trouver dans des situations inextricables dont lui seul arrivera à se dépatouiller.

Il rencontrera les plus grands de ce monde : Angela Merkel, Donald Trump et également le chef suprême Nord-Coréen, Kim Jong-un, sur fond nucléaire. Je vous l'ai dit, c'est loufoque.

Loufoque, mais pas que. Jonas JONASSON sous un humour grinçant, décrit avec brio les relations internationales des dirigeants de tous pays, leurs travers, et leurs influences sur les autres, de manière légale ou pas. Ça fait peur… On ne sait pas qui de Trump, Kim Jong-un ou encore Poutine est le plus à craindre. Une très bonne analyse politique de notre monde actuel.

Allan KARLSSON est moins présent que dans le premier opus. Il découvre les joies d'internet et d'une tablette noire et se lance également dans la production d'asperges… Oui, vous avez bien entendu, la production d'asperges.

Alors, si vous aussi vous voulez comprendre comment marche le monde, sans vous prendre la tête, ce livre est fait pour vous. A vous de voir.

Je remercie vivement Babelio et les éditions Presses de la cité qui m'ont permis de découvrir ce livre grâce à une Masse Critique.
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J'avais adoré “Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire” et “L'analphabète qui savait compter”. Je les avais trouvé désopilants, burlesques, rocambolesques et en même temps assez critiques sur notre monde, notre société, ses relations internationales absurdes, c'était un peu pince sans rire, souvent cynique, j'en garde un excellent souvenir. Ici, je suis loin d'avoir ri autant, c'est une petite déception, les deux autres livres s'étendaient sur une période de plusieurs années, avec des flashbacks, des incursions dans l'Histoire. Dans ce dernier roman, on retrouve les personnages du Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, mais l'action ne s'étend que sur quelques mois, les 101 années de vie d'Alan Karlsson n'ont plus vraiment raison d'être, et on quitte l'Histoire passée avec un grand H pour entrer dans l'Histoire contemporaine. On va rencontrer les acteurs internationaux du moment, Kim-Jong-Un, Donald Trump, Wladimir Poutine, Angela Merkel, et quelques personnages politiques suédois moins connu ici en France, et Emmanuel Macron sera même évoqué au cours de l'histoire. C'est sans doute un parti pris plus risqué, on retrouve toujours le côté rocambolesque, épique, aventureux, on retrouve toujours le caractère bien trempé, espiègle d'Ala Karlsson, certaines moqueries sur les grands de ce monde sont souvent bien vues, drôles, et joyeusement irrespectueuses, surtout vous vous en doutez, concernant Kim-Jong-Un et Donald Trump, mais parfois on tombe dans des délires complotistes un peu trop sur le fil du rasoir. Quand c'était des personnages sortis depuis longtemps de l'actualité, cela fonctionnait parfaitement, Staline, Mao, Nixon, Truman..., les cuites d'Alan Karlsson avec Truman étaient de grands moments, ici, on est moins à l'aise, et certaines spéculations demeurent douteuses. Malgré ce défaut, ce livre reste très divertissant, sympathique et drôle. Mais je ne suis pas certains que de reprendre les personnages de son premier succès était une bonne idée, en tout cas, ce roman n'est absolument pas indispensable, même pour les fans, il a un arrière goût de commande forcée par l'éditeur, l'auteur semble y avoir mis moins d'enthousiasme, c'est ce que j'ai ressenti.
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Le vieux qui voulait sauver le monde de Jonas Jonasson Presses de la Cité, octobre 2018 ,#LeVieuxQuiVoulaitSauverLeMonde #NetGalleyFrance

Cela fait longtemps que je souhaitais faire la connaissance d'Allan Karlsson, Je ne lui ai pas souhaité son anniversaire puisqu'il ne le voulait pas alors je me suis dit que vue la mission qu'il avait choisie je ne pouvais que l'accompagner un brin. J'ai bien failli d'ailleurs le laisser terminer seul son périple mais par respect pour son grand âge je suis restée avec lui coincée entre une valise enrichie en uranium, un cercueil au décor particulier et une botte d'asperges...Pour faire bref je suis restée sur le bord du chemin à me demander dans quelle aventure je m'étais lancée. Une écriture facile, des comiques de situation qui n'ont pas déridé mes zygomatiques. Je reconnais cependant à notre ancêtre quelques analyses à l'emporte pièce de l'état de notre monde qui ne sont pas inintéressantes, de là à dire que cette lecture est indispensable il y a à mes yeux un pas que je ne franchirais pas .
Un très grand merci aux éditions Presses de la Cité pour ce partenariat .
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Voici donc le très attendu second volet des aventures palpitantes et rocambolesques du célèbre centenaire suédois Allan Karlsson et de son acolyte un petit peu plus jeune Julius. Sur le principe de l' "effet papillon" et à l'occasion de la célébration de son cent unième anniversaire en montgolfière (avec champagne bien sûr) depuis Bali où il a élu résidence et profite de ses vieux jours, les péripéties insensées vont s'accumuler, et ce sont autant de rencontres tout autant imprévisibles que le vieil homme qui vont surgir.
Jonas Jonasson redonne corps et vie au papi alerte pour son âge, aux propos parfois sinon souvent absurdes voire burlesques. A la différence du premier ouvrage, davantage focalisé sur le glorieux passé du centenaire et ses rencontres avec les grands du XXème siècle, ce second volet pêche un petit peu sur cet aspect-là. Il faut dire que désormais Allan Karlsson trouve satisfaction et occupation désormais avec un joujou technologique très courant de nos jours : une tablette tactile qui lui permet de suivre l'actualité (aussi bien déprimante que ludique) du monde actuel, entendue dans sa globalité.
Si le vieil homme a pris de l'âge (1an juste), il n'a rien perdu de sa verve et de son goût prononcé pour l'alcool et les bons repas. "Chat noir" déclenchant des catastrophes en série malgré lui, Karlsson fera néanmoins de mémorables rencontres avec les puissants actuels dont le représentant Nord-Coréen vaut à lui seul son pesant de cacahuètes ...
"Le vieux qui voulait sauver le monde" se laisse lire sans aucun déplaisir et reste une lecture divertissante par ces temps moroses, même si la verve du centenaire a perdu un peu de sa superbe.
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Ecrire la suite d'un roman comme "Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire" qui a séduit, rien qu'en France, 1,3 million de lecteurs tient de la gageure la plus totale. L'exercice n'est pas facile car comment résoudre l'équation entre, reprendre des éléments préexistants, et dans un même élan y insuffler juste ce qu'il faut de nouveautés pour ne pas perdre le lecteur en route ? Ce pari un peu fou, à l'image de son personnage culte Allan Karlsson, Jonas Jonasson l'a relevé avec brio pour "Le Vieux qui voulait sauver le monde". Son talent, vous le savez, est de de se saisir d'une toile de fond, d'un contexte réel (en l'occurence ici la crise sur la question de l'arme atomique entre les Etats-Unis et la Corée du Nord) pour le distordre en lui apportant les idées les plus loufoques, les plus insensées. C'est une nouvelle fois un régal tant au niveau des dialogues truculents que des rebondissements qui conduisent cette histoire dans des retranchements que n'auraient pas renié notre Hubert Bonisseur de la Bath, alias OSS 117. Allan et Julius ne font jamais les choses à moitié et les voir croiser Donald Trump ou bien encore Kim Jong-un constituent des moments très drôles. Presque aussi barré et déjanté que son prédecesseur, ponctué de rencontres toutes aussi improbables les unes que les autres, on rit beaucoup et on assiste avec délice aux aventures de ce "Don Quichotte" suédois qu'est Allan Karlsson. Si vous aimez les récits farfelus, les personnages un peu fou, mais encore revisiter l'actualité récente sous un angle impertinent et décalé, "Le Vieux qui voulait sauver le monde" sera un excellent remède à la morosité ambiante. Une cure de fou rire indispensable à l'orée de l'hiver.
Je remercie chaleureusement, l'auteur Jonas Jonasson, merci également aux éditions Presses de la Cité ainsi qu'à Masse critique et Babelio pour ce très beau moment de lecture !
Lien : https://thedude524.com/2018/..
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Aïe !
J'ai lu par ci par là que Jonas Jonasson avait beaucoup hésité à écrire ce deuxième volet de la saga du centenaire Allan Karlsson. Pendant longtemps, il n'y voyait pas l'intérêt. Après lecture, j'avoue ne pas comprendre ce qui l'a fait changer d'avis.
J'ai un immense respect pour Jonas Jonasson. le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire est un chef d'oeuvre d'humour noir et une critique féroce, au même temps que très originale et bien documentée, des turpitudes du XXe siècle. Mais là où la traversée de la dernière centurie par un expert en explosifs qui sauve la vie de Franco, énerve Staline et picole avec Roosevelt, avait de la gueule, il faut dire que la mise en scène d'un vieillard qui va au golf avec Donald Trump et se moque de Kim Jong Un, n'a pas le même effet. D'autant plus que ces deux-là ne nous font plus rire depuis longtemps.
Bref, c'est l'idée de départ qui n'est pas bonne.
Tout au long du récit, on a l'impression d'avoir affaire à un imitateur qui essaie de copier le style flamboyant de l'auteur du premier volet, sans jamais y arriver vraiment. C'est laborieux, poussif, les personnages sont moins drôles et les situations sans intérêt. Dans la formule revisitée de quelques paumés en road-trip, l'éléphant Sonia nous manque cruellement.
J'insiste sur le fait que j'apprécie Jonas Jonasson pour ce qu'il a fait de mieux, mais la lecture de ce livre me pose des questions sur la pertinence et le risque d'écrire une deuxième partie, sous la pression des éditeurs ou du public, lorsque l'étincelle inspiratrice de la première a donné tout ce qu'elle avait à donner. Et que la flamboyance du premier tome devient, plus qu'une force, un poids insurmontable.
C'est dommage : Allan Karlsson, ce vieux qui, ne voulant pas fêter son centième anniversaire en 2005, se retrouve avec seulement un an de plus en 2017, méritait une fin de vie plus honorable.
A lire si on a l'esprit collectionneur et qu'on veut à tout prix honorer la saga, car il est certain qu'il n'y aura pas de troisième volet.

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