Blue lock, tome 2

Avec ce tome 2 de Blue Lock, les auteurs nous plongent un peu plus dans le football made in Japan. Certes, il y a le jeu mais surtout les débats entre joueurs, chacun voulant affirmer ses qualités principales et surtout être le meilleur !
Ce tome comprend neuf chapitres allant du « football réinitialisé » à « la renaissance ». Dans l'intervalle, j'ai suivi deux matchs importants pour l'avenir du jeune Isagi, le personnage principal. Pour la première rencontre contre l'équipe X, c'est chifoumi, pierre-feuille-ciseaux, qu'ils utilisent pour décider qui choisit son poste en premier. le sort est favorable à Isagi qui décide de jouer en pointe.
Au cours de ce premier match, on passe de la pagaille complète avec mêlée générale, un jeu type cour de récréation, à un semblant d'organisation pour marquer enfin.
Très vite, le score est défavorable. La tension est extrême. Isagi se trouve alors devant un sérieux dilemme : tenter de marquer seul ou passer à Kunigami.
La zizanie est complète dans l'équipe qui a besoin des conseils du coach Ego pour tenter de s'améliorer. Je ne divulgâcherai pas la suite mais je ne peux que souligner ce moment de franche reconnaissance et d'amitié où Kunigami vient voir Isagi, seul devant son soja fermenté, et lui permet de partager son steak de faux-filet…
Suit alors le second match contre l'équipe Y qui a perdu aussi le premier et ne peut absolument pas se permettre une seconde défaite.
Dans ce manga, l'histoire se suit bien même si je reconnais être encore un peu perdu dans les planches aux images éclatées. Par contre, je reconnais que cela donne une impression de mouvement, d'action très appropriée au récit et aux événements qui l'émaillent.
Enfin, surprise, en fin d'album, je découvre la présentation de Blue Lock avec les plans des lieux puis le tableau indiquant quel plat est réservé à chaque joueur de l'équipe Z, suivant son classement. Notre ami Yoichi Isagi étant l'avant-dernier, il doit se contenter du soja fermenté. Gurimi Igarashi, le dernier, n'a droit qu'à un radis japonais mariné… Comme partout, les meilleurs sont toujours les plus favorisés !

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« En avant il faut foncer droit au but,
Deux mi-temps et quatre-vingt dix minutes,
C'est assez pour rassembler nos espoirs,
Et pour forcer la victoire, la victoire... » *

...Si vous connaissez ces paroles, c'est que vous avez peut-être connu ''midi les zouzous'' durant votre enfance, haha (ou pas). J'avais clairement ce générique en tête à la fin de la lecture de ce deuxième tome ^^'

J'ai plus ou moins directement accroché à ''Blue Lock'' dès le début. Cette histoire de centre de formation révolutionnaire où 300 joueurs sont enfermés, tel un Hunger Games, m'a surprise et intriguée. Bon, le coach me mets quand même bien mal à l'aise parfois, je dois bien l'avouer !

Je dis plus ou moins, car tout ne me plaît pas à 100%. Cet individualisme prôné pour devenir LE meilleur attaquant du monde : mouais, pas trop mon truc. Mais j'aime le foot et les shonen, alors ça passe quand même...

Pour le moment, ces deux premiers tomes m'ont semblés bien (trop) introductif, dans le sens où, je ne retiens même pas les personnages, juste le concept de ce centre de formation. Hâte de lire la suite, en espérant approfondir tout ça. En même temps, n'espérant pas me lasser de ce manga...

*Il s'agit des paroles du début du générique de ''Olive et Tom'' :)

Le 2ème tome se concentre essentiellement sur le football avec des matchs à l'intérieur du complexe. Il y a pas mal de questionnements, de stratégies, de soucis, de tentatives.
Ils essayent également de comprendre ce qu'Ego leur demande. Parfois Ego rajoute quelques informations, il est toujours aux aguets l'air de rien.
Nous découvrons un peu plus chaque membre, mais également de nouvelles équipes.
Ego est très loin de tout leur livrer clé en main, il ne fait que les guider, les façonner, leur donner des indices, mais à eux de comprendre et de se révéler.
Tous aimeraient être buteurs, mais ils vont devoir jouer à leur jeu préféré à onze. Soit ils gagnent en équipe soit il y a une autre solution.
Une deuxième règle qui dit que le meilleur buteur de l'équipe peut être repêcher même si l'équipe perd, ainsi elle pousse à jouer en individuel, et elle met un sacré bazar dans les deux équipes en lice.
D'ailleurs il faut voir comment ils se décident la première fois.
Reconstruire le football de zéro, ça n'a rien de simple. Tous leurs repères ont été bousculés.
Le lecteur n'a pas le temps de s'ennuyer, il est plongé dans les matchs. le dessin a toujours ce côté immersif. Nous cherchons le ballon des yeux.
Nous ne savons pas à quoi nous attendre, et à chaque fois dans les 2 équipes il y a des tactiques intéressantes qui se déploient, mais il n'en restera qu'une.
Nous suivons le processus de pensées de Yoichi Isagi qui va entre autre se questionner sur quel est son talent, mais sa prise de recul est très intéressante. Et en tout cas, le tome nous offre un final en apothéose.
C'est à la fois cruel, intéressant, surprenant et prenant. Mais que nous réserve la suite ?

Bonne lecture
Un tome plus centré dans le complexe
L'individualisme ne suffira pas.
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..

Seconde mi-temps pour ce Battle Royal non-létale footballistique.

On assiste enfin à des matchs dans ce complexe sportif, événement très attendus tant par les joueurs que les lecteurices, entre chaos et cohésion d'équipe (si c'est possible) pour ne surtout pas se faire éliminer et dire adieu au foot.
C'est toujours aussi marrant de voir les codes du shonen appliqués à des valeurs parfaitement opposées à celles habituelles. Ici, pas d'amitié ni d'entraide, seul compte l'individualisme pour écraser les autres et gagner.
À moins que...

Le personnage principal gagne en présence et en charisme, sachant tirer son épingle du jeu, comme un ou deux autres joueurs.
Les dessins sont efficaces et dynamiques, les phases de jeu s'enchaînent bien et le manga se lit d'une traite (ou d'une remontée de terrain ?).

S'il n' y a rien d'extraordinaire non plus, ça reste plutôt sympa et plaisant à lire.

Blue Lock, tome 2 (2019) est un manga shonen de Yûsuke Nomura (scénario) et Muneyuki Kaneshiro (dessin). Après avoir difficilement survécu aux premières éliminations, Yoichi Isagi se retrouve dans l'équipe Z. Prochaine étape, un tournoi fermé de 5 équipes où seules les deux premières places sont qualificatives. Mais comment jouer quand tous les joueurs sont attaquants ? Un manga plaisant sur le monde du football où les égos de chacun s'opposent aux intérêts de l'équipe.

Tome 2 terminé ! Les sélectionnés ne sont plus que 275 et vont former des équipes qui s'affrontent à l'intérieur de 5 groupes différents. Évidemment la pression est toujours présente sur les épaules des joueurs, entre écraser les autres et ne pas perdre...

Je suis déjà un peu plus dans l'histoire. La tension est toujours présente et le non-droit à l'erreur impose un stress permanent que je ressens presque un peu lorsqu'ils sont sur le point de perdre.

On veut en savoir plus, notamment sur Isagi qui nous était présenté comme un passeur au tout début et qui apparait petit à petit comme un attaquant et meneur de jeu. Cette histoire de "monstre" ou d'actions qu'il fait sans le fair exprès, j'espère qu'on basculera pas sur du total fantastique non plus.

À suivre !

Tomes 2 à 5 :

Après la révélation du projet Blue Lock, consistant à réunir 300 jeunes attaquants pour faire de l'un d'entre eux l'attaquant ultime qui permettrait au Japon de gagner la coupe du monde de football, les joueurs avaient été regroupés par groupe de douze et un attaquant de chaque groupe avait été éliminé, faisant tomber les groupes à onze.
Onze ? Justement c'est le nombre de joueurs dans une équipe, ça tombe bien !
Ainsi, les équipes vont être regroupé par poule de cinq équipes et un tournoi va avoir lieu.
A l'issue de ce tournoi, seul les deux meilleures équipes seront qualifiées et les autres devront faire leurs adieux à la compétition.
Petite particularité, le meilleur buteur de chaque équipe pourra être repéché.
Prenons en considération que les équipes sont composées de onze attaquants et que le meilleur buteur de chaque équipe aura un traitement de faveur, cela va donner lieu à des matchs assez particuliers.
Un arc sympathique qui va nous permettre de nous familiariser avec un bon nombre de personnages.

A peine la première épreuve finie, Isagi comprend qu'il est loin d'avoir le niveau de ses partenaires. Et ce n'est pas la nouvelle épreuve, en équipe, qui tend à prouver le contraire... mais qui sait ?
Le mangaka continue à explorer l'univers du football d'une manière fort originale. Même si je trouve dommage de mettre en avant l'individualisme au lieu de l'esprit d'équipe, on comprend peu à peu que chaque épreuve est une nouvelle leçon pour devenir le meilleur attaquant du Japon. le personnage central est loin d'être le meilleur et c'est ce qui le rend attachant. du côté des dessins, Dynamisme et rythme sont de rigueur pour raconter la puissance du jeu.
A voir si la suite poursuit sa progression.
Lien : http://boumabib.fr

J'ai préféré ce volume au précèdent. Il y avait beaucoup plus d'action et vu que le concept du Blue Lock a déjà été expliqué, on a pu en apprendre un peu plus sur les différents personnages et s'attacher à eux. Je continue de penser qu'on n'est pas forcément obligé d'aimer le football pour aimer ce manga. On commence déjà à voir une évolution dans la façon de penser de notre Isagi.

Blue Lock c'est tout simplement un plaisir coupable. le titre est un pur shonen de sport (ici le football) avec une touche de battle royal, concept de plus en plus courant dans le manga aujourd'hui.
Il faut le dire, le titre est très cliché, c'est vu, déjà vu mais c'est bien réalisé et c'est prenant. Ca semble même hors sujet par moment avec des idées plutôt alambiquées pour pas grand chose, mais ca a le but d'essayer d'évoluer, de se renouveler.