Ça, tome 1

Quelque chose ne va pas à Derry. Ça ne va pas. Il rôde telle une ombre, donne vie aux pires cauchemars et se repaît avec délectation des enfants apeurés, ainsi que de la noirceur des adultes. le Club des Ratés se prépare à le combattre pour la seconde fois, mais y survivront-ils ?

J'ai tellement entendu parler de Stephen King que, bien que l'horreur ne soit pas mon genre de prédilection, j'ai décidé de me laisser tenter en voyant le beau coffret de Ça en librairie. Et à la lecture de ce premier tome, les deux mots qui me viennent à l'esprit sont : plus jamais !

Quel ennui ! Tous ces détails, ces digressions… le roman est une brique de 800 pages, mais il est rempli de précisions inutiles (le contenu d'une armoire à pharmacie, la biographie complète de personnages qui ne réapparaîtront jamais, les horaires des compagnies aériennes…). L'intrigue à proprement parler doit en occuper moins du quart, en comptant large.

Et même lorsqu'il se passe (enfin) quelque chose, le schéma devient très vite répétitif. Mike qui contacte les membres du Club des Ratés un par un… Imaginez l'intro d'Ocean's Twelve qui s'étirerait sur une heure de film, vous obtiendrez celle de ce livre.

Quant aux passages « effrayants » (eux aussi redondants), ils sont survenus trop tard pour m'arracher à ma torpeur. C'est la principale raison pour laquelle je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Je n'avais qu'une envie, les voir se faire tuer rien que dans le but d'en finir avec ce pensum.

Ce livre pourrait au moins être intéressant pour son aspect philosophique, mais là encore, c'est tellement peu subtil que même cet aspect-là lasse rapidement. le titre à lui seul suffit d'ailleurs à annoncer la couleur.

Je ne comprends pas du tout l'engouement autour de cette oeuvre, ni de cet auteur. Je lirai le second tome de Ça un jour parce que je l'ai (et que je suis maso), mais pas avant longtemps, le temps de digérer le premier, et ce sera là ma seule et unique expérience avec Stephen King.
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Au risque de me faire quelques ennemis, je ne garde pas un bon souvenir de ce si emblématique roman de King... En ai-je trop vu l'adaptation étant jeune ? Non : j'arrive dans l'ensemble à me départir de ce que j'ai vu... M'en a-t-on trop promis ? Certainement : je tombais parfois d'ennuis alors qu'on m'avais promis des nuits blanches et la coulrophobie à vie... le roman arrive-t-il après des livres plus durs, des univers plus sombres, des personnages plus malsains encore ? Peut-être...
Mais je ne le déconseillerais jamais à ceux qui veulent découvrir Stephen King, car bien que le fond n'y soit pas à mon goût, la forme, elle, est là et bien là et au moins pour cela, Ça doit être essayé.

Je viens de finir le Tome 1. J'ignore encore si je me sens assez motivée pour connaître la suite des aventures du "club des ratés" tellement il m'a été difficile d'en venir à bout. Les personnages sont très attachants, enfants et adultes, on a envie de partager leurs mésaventures, d'être auprès d'eux et de les voir évoluer.

Néanmoins, j'ai trouvé l'intrigue longue, par moment peu élégante, avec des passages lourdauds et je n'ai malheureusement pas du tout accroché au concept du clown maléfique tueur de gosses... difficile d'y croire, même si je sais que Stephen King s'est basé sur l'histoire d'un tueur en série américain qui se déguisait en clown pour piéger des enfants. C'est le caractère fantastique de cette créature à l'effigie de clown capable de matérialiser nos peurs les plus profondes, qui chez moi a été rédhibitoire. "Ça" n'a pas pris...

En tant que fan de Stephen King, j'avoue que ce livre est celui que j'ai le moins aimé. Je n'ai jamais tremblé et il m'est arrivé de m'ennuyer ferme pendant certains scènes d'action.

Enfin, après plusieurs hésitations, j'ai décidé de me lancer dans la lecture de l'un des plus fameux livres de l'auteur de ma vie, Stephen King. Les trois tomes de Ça, achetés chez un bouquiniste il y a plus de vingt ans, trônaient sur ma bibliothèque sans que j'ai le courage d'en entamer le voyage.
Encensé par la critique et ainsi que par plusieurs abonnés de Babelio, je m'attendais à être une nouvelle fois bluffé....
Commençons par le positif : la description de la ville de Derry, de ses travers et de sa population est une réussite totale. Les liens d'amitié entre les sept protagonistes sont admirablement exposés et je dois dire que certains passages relatant ce que croient voir les héros, sont grandioses. Quant au Tome 3, il constitue l'opus le plus enlevé et rythmé de la saga.
Mais le négatif est là : vu la tartine de commentaires positifs et enchanteurs, je m'attendais à déguster le meilleur "King"... Ne me lynchez pas, mais Çà sera rangé dans ma rubrique des déceptions Kingiennes. Des centaines de pages sont longuettes et ennuyeuses à mourir. Certaines scènes sont grotesques et inutiles pour la continuité de l'intrigue, et j'ai relevé parfois un manque de cohérence de l'ensemble. J'ai dû lutter pour ne pas décrocher et j'aurais tellement aimé que mon King vénéré aille plus loin dans les origines de Çà... Et cette tortue, qui est-ce ? Et le mari violent de Bev ? Et Audra qui se retrouve, on ne sait par quel miracle, dans l'antre de la bête ? Ce ne sont que quelques morceaux du puzzle que je ne suis pas parvenu à assembler.
Comme c'est du King, et que c'est écrit au couteau, j'ai toutefois réussi à aller jusqu'au bout.
Mais plus jamais Çà, non.

Terrifiant, on n'ose imaginer le pire et c'est le pire qui se produit. de quoi détester les clowns à vie.

J'ai voulu découvrir ce grand classique et j'avoue avoir été déçu.
J'ai lutté pour le finir car l'écriture est trop descriptive pour moi.
Je suis donc un peu passé à côté de ce qui se cache réellement dans cette histoire