Walking Dead, Tome 6 : Vengeance

Alors là on peut dire que ce tome porte bien son nom.

Celui-ci est centré essentiellement sur Woodbury où Rick et Michonne tentent de s'échapper mais avant Michonne compte bien se venger de ceux que lui a fait subir le gouverneur..
Pendant ce temps-là à la prison les zombies reviennent en nombre.

Pour moi ce tome est une réussite, il y a un vrai suspens que ce soit pour Rick ou pour les gens de la prison.

Toujours énormément de différence avec la série notamment une histoire plus centré sur Michonne qui reste un personnage très mystérieux.

Voici le plus sanglant des tomes de la série que j'ai lus jusqu'à présent… La violence découle du kidnapping de Rick, Glenn et Michonne qui, aux mains du Gouverneur, subissent les pires tortures physiques et mentales. Entre des combats dans une arène devant les habitants de Woodbury et face à des zombies, les sévices qu'on leur afflige pour qu'ils révèlent l'endroit où ils ont élu domicile, les otages sont obligés d'employer la force pour essayer de se sauver et d'échapper à leurs tortionnaires. le trio de survivants prend la fuite, aidé de Martinez qui, contrairement à ce que Rick pense, est toujours à la solde du Gouverneur et mène une mission pour découvrir l'emplacement exact de la prison …

Une tome bourré d'hémoglobine dont la violence, omniprésente, sert l'intrigue. Les planches et tableaux sont bien dessinés et l'intrigue apocalyptique suit son cours, impeccablement mise en scène.

Ce tome est marqué par une quête de vengeance intense,

Les personnages principaux font face à la cruauté du Gouverneur. Les scènes sont dérangeantes et empreintes de violence.

Les relations entre les personnages se complexifient davantage, et l'angoisse liée à la menace constante des dangers imprègne l'atmosphère du récit.

Et toujours en toile de fond, ce questionnement sur la nature humaine.

Martinez prof de sport...
Michonne avocate, croqueuse d'oreille et de chair... Elle sort l'oeil du gouverneur à la petite cuillère et il pendouille comme l'oeil de ... Elle coupe le bras droit du gouverneur.
Le Gouverneur coupe la main de Rick... !

Un 6e tome ultra violent encore une fois, une fuite en avant où tout le monde ne suit pas indemne. Rick qui réalise déjà qu'il n'est plus digne d'être flic. Ca, cette pause raisonnable, j'ai bien aimé.
Michonne est impressionnante de violence vengeresse, au même niveau que ce que le Gouverneur a osé lui faire subir. Ils se sont trouvé dans leur goût pour la torture. Sauf que lui, ça l'amuse, ce n'est pas personnel quasi ; tandis que pour Michonne, c'est justement personnel, vengeur, uniquement, pour qu'elle puisse y survivre, surmonter le traumatisme qu'i lui a infligé sans raison valable.
Excellent tome.

Un tome très excitant !

J'ai beaucoup aimé le développement du personnage de Michonne dans cette partie de l'intrigue, et notamment la manière dont elle a réglé son problème d'emprisonnement, de façon très mémorable !

On sent que les rôles s'équilibrent, Rick n'est plus forcément le seul centre de l'intrigue, et ça change l'équilibre du récit pour lui donner une nouvelle fraîcheur. Excellent !

Quoi de mieux que de terminer cette année 2022 en compagnie de Rick et sa bande ? Absolument rien ! (Oui j'étais en retard dans mes chroniques, mais j'ai bien terminé mon année avec ce tome) J'ai adoré ce sixième tome, aussi glaçant qu'explosif.

Rick, Michonne et Glenn sont désormais prisonniers du Gouverneur et ils vont faire les frais de cet homme dont la violence et la perversité ne connaissent aucune limite. Mais c'est sans compter sur la pugnacité de Rick qui met tout en oeuvre pour sauver ses amis et retourner à la prison.

Si le précédent tome montrait la monstruosité du Gouverneur, celui-ci nous laisse entrevoir celle de Michonne. Et le titre « vengeance » prend tout son sens, Michonne sombre dans un accès de folie, raisonnable certainement pas, mais propice au pardon (en tout cas au mien) après son calvaire enduré. Dans ce monde désormais sans foi ni loi, la nature humaine reprend le dessus et la tendance au dicton « oeil pour oeil, dent pour dent » est de mise. L'auteur nous plonge alors dans une ambiance étouffante, parfois malaisante tant la violence est omniprésente. La psychologie des personnages a été très bien développée et l'on prend conscience du désarroi dans lequel ils se trouvent. On ne peut qu'être témoin de la manière dont ce monde en perdition façonne leur personnalité et surtout leur humanité, aucun d'eux n'est épargné. Et comme il est de coutume, Robert Kirkman nous pousse à une certaine réflexion sur notre société, mais aussi sur notre humanité dans des conditions de survie, cela fait certes froid dans le dos, mais je ne crois pas qu'il soit dans le faux, bien au contraire.

En tout cas, cet épisode regorge d'actions tant sur l'avancée de l'histoire que sur les relations qui se tissent entre les personnages. Les rebondissements sont nombreux, j'ai été tenue en haleine tout au long de ma lecture, incapable de décrocher avant d'avoir terminé. Je salue encore une fois le travail de l'auteur pour disséquer les comportements humains avec tant de réalisme et d'habilité, dans un univers aussi riche. Je sais que je ne résisterais pas longtemps à l'envie de poursuivre ma lecture. Soyez tout de même averti, cet opus contient des scènes extrêmement gores et choquantes, il faut avoir le coeur accroché, mais ça en vaut le détour !

Il est question du sixième volet de cette série pos-apocalyptique. Un tome qui vient s'ajouter aux précédents et qui n'ajoute pas grand-chose de bien neuf dans le monde des zombies qui se baladent dans notre monde. Si les afionados raffolent de ce type de récits, je ne suis qu'à moitié convaincue du bien-fondé de pareilles histoires. Il n'y a pas de vraie progression et j'ai l"impression de faire du sur-place. Les vivants meurent tour à tour et ce qu'ils ont d'humanité semble se tarir à mesure qu'ils se confrontent à une société hostile qui a perdu toutes ses valeurs humanitaires.

Reprenant les épisodes US #31 à 36, «Vengeance» permet aux lecteurs francophones de connaître la suite de ce road-movie au pays des mort-vivants.

La première partie de l'album, qui se déroule à Woodburry, justifie à elle seule l'avertissement "pour lecteurs avertis" en quatrième de couverture. Si les scènes gores avec les zombies pouvaient choquer lors des tomes précédents, la scène de torture que nous réserve Kirkman dans ce tome plonge le lecteur encore un peu plus dans l'horreur. L'auteur n'y va pas avec le dos de la cuillère ( :) ) et livre quelques passages assez malsains.

Le développement des relations humaines entre les différents protagonistes, cède malheureusement un peu trop de place à des scènes de vengeance barbares en première moitié d'album et à une nouvelle kermesse aux zombies en deuxième partie d'album. En se plaçant encore un peu plus aux frontières de l'horreur, l'intrigue perd donc en profondeur. La descente aux enfers de l'humanité se poursuit donc à grands pas, mais malheureusement, cela s'effectue au détriment d'une certaine finesse au niveau du scénario.

"Vengeance" porte bien son nom. On continue à suivre Rick et Michonne dans l'enfer de Woodbury. Ils n'en ressortiront pas indemnes...
C'est un tome perturbant qui tangue entre une violence extrême et des banalités du quotidien.

Un tome avec une scène de torture très violente, c'est là où on se dit que le noir et blanc, ce n'est pas si mal pour ce genre de série !
Un récit toujours aussi passionnant, rempli d'intrigues et d'action !
Le travail sur les personnages et particulièrement intéressant avec notamment un Rick qui évolue fortement au fil des albums, une Michonne intriguante et des amitiés qui se font et se défont au rythme des situations tragiques que connaissent tous les membres de cette communauté de survivants.