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Citations sur L'homme qui savait la langue des serpents (191)

- Rien à voir avec mes parents et leur obsession du passé : tout ce qu'ils font sent le moisi, alors que ton grand-père, on dirait une plante qui fleurit sans s'occuper de ce que l'hiver est déjà là.
(Hiie à Leemet (le narrateur)).
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A cette époque, ils s'étaient lancés dans une entreprise qui les passionnait. Les poux de la taille d'une grenouille ne leur suffisait plus. Ils en voulaient de plus gros encore, de la taille d'un chevreuil.
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"Je voulais m'arracher au passé d'un seul coup, comme un lézard abandonne sa queue derrière lui et se précipite on ne sait où en se tortillant." p321
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...mais sur le principe, je peux concevoir qu'en caressant un doux pelage bien dense, on ressent de la chaleur et comme qui dirait des chatouilles.
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J’ai cessé de m’attrister de n’avoir personne à qui transmettre la langue des serpents. Au contraire, j’en ressens une joie mauvaise. Qu’elles vivent donc sans les mots des serpents, ces générations futures que je ne verrai pas et que je ne veux pas voir, ces stupides et misérables insectes ! Je ne les envie pas. Eux, bien sûr, ils ne peuvent pas regretter leur ignorance, ils ne savent pas ce qu’ils ont perdu – mais moi, je sais. Et je sais encore bien d’autres choses dont les générations imbéciles qui viendront après moi n’auront plus la moindre idée.
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Ah, tu m'as coupé les jambes, eh bien je vais me fabriquer des ailes et t'attaquer par les airs !
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Je savais d'expérience combien les gens qui ne les savent pas sont vulnérables lorsqu'on les attaque de la bonne manière. Je voulais faire de cet enfant mon héritier, je voulais lui offrir une fabuleuse arme secrète qu'il serait seul au monde à manier. C'était ma dernière pensée, le dernier objectif de mon existence.
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Ce n'est pas de Dieu ni des génies ou de Satan qu'il faut avoir peur , mais de ceux qui y croient
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Les gens sont toujours en train d’inventer un quelconque croquemitaine pour se décharger sur lui de leurs responsabilités.
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Dernière phrase de la postface de Jean-Pierre Minaudier, "Le pamphlet sous la fable" : Mais face au temps qui passe et à un monde qui change à un rythme de plus en plus vertigineux, nous sommes tous (ou nous serons tous un jour) des Indiens, des Bretons, des Leemet : vivre en faisant le moins de dégâts possible autour de soi, c’est accepter l’inévitable tristesse de tout cela, sans se vautrer dans le conformisme et la bêtise qui triompheront toujours, sans pour autant verser dans la haine ni se réfugier dans l’idéalisation d’un passé fantasmé, qui est une autre forme de bêtise.
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