Citations sur La Trilogie des jumeaux : Le Grand Cahier ; La Preuve.. (14)
- Je lui écris tous les jours dans les cahiers. Il doit certainement faire de même.
- Mais vous ne recevez jamais de lettre de lui ?
Il ne peut pas m'envoyer de lettres de là-bas.
- De nombreuses lettres arrivent de l'autre côté de la frontière. Votre frère ne vous a jamais écrit depuis son départ ? Il ne vous a pas donné son adresse ?
Lucas secoue la tête, il se lève derechef :
- Vous pensez qu'il est mort, n'est-ce pas ? Mais Claus n'est pa smort. Il est vivant et il reviendra.
Chacun d'entre nous commet dans sa vie une erreur mortelle, et quand nous nous en rendons compte, l'irréparable s'est déjà produit.
« Quelqu’un qui n’existe pas ne peut pas revenir. » (p. 276)
« J’essaie d’écrire des histoires vraies mais, à un moment donné, l’histoire devient insupportable par sa vérité même, alors je suis obligé de la changer. » (p. 335)
« Je suis convaincu, Lucas, que tout être humain est né pour écrire un livre, et pour rien d’autre. Un livre génial ou un livre médiocre, peu importe, mais celui qui n’écrira rien est un être perdu, il n’a fait que passer sur la terre sans laisser de trace. » (p. 256)
« Ne me remerciez pas. il n’y a aucun amour et aucune bonté en moi. » (p. 233)
. « Je connais la douleur de la séparation. […] Le départ d’un frère avec qui je ne faisais qu’un. Il est parti. Il a traversé la frontière. » (p. 220)
« Nous avons décidé de nous séparer. Cette séparation devait être totale. Une frontière n’y suffisait pas, il y fallait aussi le silence. » (p. 319)
« Nous avons décidé de nous séparer. Cette séparation devait être totale. Une frontière n’y suffisait pas, il y fallait aussi le silence. » (p. 319)
« À force d’être répétés, les mots perdent peu à peu leur signification et la douleur qu’ils portent en eux s’atténue. » (p. 27)