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Bleach tome 64 sur 74
EAN : 9782344009413
192 pages
Glénat (01/07/2015)
4.22/5   27 notes
Résumé :
Un nouveau Stern Ritter nommé Gremmy se dresse devant Yachiru, qui a libéré son sabre. Pire, la véritable nature que dissimule le sourire du Quincy se met peu à peu à affecter la petite fille ! C’est alors que celui qui vient d’hériter d’un titre sans égal fait irruption sur le champ de bataille…
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Je commence à me lasser. Cette vendetta contre ses propres personnages n'a pour moi aucun sens. Ou alors, c'est de la vengeance pure. J'espère sincèrement que ce sera le dernier arc de Bleach qui commence d'ailleurs à durer maintenant sans qu'on y voit un seul changement. Ce n'est pas vraiment que je n'aime plus la série, mais le tournant pris par Kubo senseï avec cette violence gratuite, ce changement radical d'ambiance et sans trop se donner la peine de répondre à quelques questions qui trainent encore… Je peux comprendre qu'on se lasse de sa propre oeuvre, surtout après plus de soixante tomes. Sans compter qu'on a peut-être (sûrement) forcé Tite Kubo à allonger sa saga. Mais encore une fois, décimer tous ses personnages un à un (trois morts définitives dans ce tome – personnages importants j'entends) de façon aussi sadique, c'est épuisant. Et pour moi, qui vois depuis plusieurs tomes tomber comme des mouches des personnages que j'apprécie depuis longtemps… c'est assez dur.

Personnellement, je m'attends maintenant à ce que tous les capitaines et les vices capitaines meurent. Autant avoir cette idée en tête, comme cela pas de faux espoir. Mais là encore, quel est l'intérêt ? A moins qu'une éradication complète du Soul Society pour repartir sur une nouvelle base soit le plan du mangaka… Enfin, bref…

Il y a cependant toujours du bon dans ce tome. Tout d'abord, la « qualité » de l'adversaire. Gremmy est encore une fois un Quincy assez exceptionnel, et même si ses capacités ne sont pas tellement exploitées en elles-mêmes (un tome c'est court), il n'en reste pas moins que son pouvoir laisse à réfléchir. L'imagination n'aurait jamais été quelque chose que j'aurais pu voir comme un pouvoir défensif, ni même imaginer combien il pouvait être dangereux. Encore une fois, Kubo arrive à créer des « méchants » (le mot est trop faible pour moi…) qui ont un côté très original mais qui reste monstrueux au possible. du coup, même si j'admire l'idée, elle me met très mal à l'aise encore une fois dans ce tome. Surtout que pour moi, les Quincy était des guerriers « bienfaisants », des protecteurs contre les Hollows. Et là, franchement, on a affaire à des monstres. Je ne parle même pas du groupe de Quincy qu'on voit à la fin.

Le retour de Kenpachi est par contre très plaisant. le personnage n'a pas tellement évolué depuis son apparition dans Bleach, certes, mais je suis toujours admirative de son côté insouciant et complètement déjanté. Et puis, on peut apercevoir un peu ce qu'a donné son combat contre Unohana (enfin). Il était aussi très sympathique de voir Yachiru et surtout de la voir se battre. A mon goût, elle reste un personnage très intéressant qui a été inexploité jusqu'ici et c'est bien dommage.

Pour le reste, du combat, du combat, du combat. Aucune info sur le pourquoi du comment de la fin de cette guerre. Toujours pas d'Ichigo… il est quand même censé être le héros et le sauveur de tout ce bazar (mais encore une fois, il faut faire durer las série…). Bref, la noirceur et le désespoir qui se dégagent des tomes les rendent de plus en plus lugubres et ce n'est vraiment pas le Bleach que j'apprécie.
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Dans ce tome 64 intitulé "Death in Vision", dans l'infirmerie du Gotei 13 Yachiru Kusajishi est confrontée à Guénael Lee, qui dispose des don d'invisibilité, d'intangibilité et de celui d'effacer son existence de la mémoire de ces adversaires... Concepts intéressant déjà usités ailleurs SFFF, mais ici porté par personnage 50% ridicule 50 % OSEF qui sort d'on ne sait où et qui veut on ne sait quoi ! Et pour ne rien gâcher tout ce passage est balayé par la magie du deus ex machina du boss à tiroir... Soupirs...
Kenpachi qui avait disparu de la circulation revient sur le devant de la scène pour venir au secours de sa subordonnée puérile (oui parce que les Moumoute et Nonosse les parodies de créatures de "Max et les Maximonstres", bon ben lol quoi), et notre monstre de volonté est confronté à Gremmy Thoumeaux le monstre d'imagination dans une opposition de style entre les jambes et la tête. Encore une fois déluge de concepts très cool et très fun avec le pouvoir de manipuler à outrance la réalité, déjà usités ailleurs en SFFF ("Les Princes d'Ambre", "Gunnm Last Order", "Ewilan"...) mais ici porté par un personnage 50% tête à claque 50% OSEF qui sort d'on ne sait où et qui veut on ne sait quoi ! Et pour ne rien gâcher tout ce passage est lui aussi balayé d'une revers de la main...
Car un quatuor de Magical Girls psychopathes a envoyé Gremmy censé être le plus fort des Stern Ritters au casse pipe pour affaiblir Kenpachi Zaraki avant d'entrer en scène (mais les niveaux de puissances de "Bleach", vous savez ce que j'en pense). Candice Catnipp « The Thunderbolt » et Meninas Mcallon « The Power » sont des détournements de super-héroïnes yankees et c'est OK, mais pour Liltotto Lamperd « The Glutton » c'est Alerte Repompage "Kisaiju" et pour Giselle Gewell « The Zombie » on touche une nouvelle fois le fond... Et bien évidemment cliffhanger de fin l'Espâce qui incite à continuer malgré tout...
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Je sais que beaucoup de gens n'aiment pas l'arc Quincy (principalement parce qu'ils le trouvent trop long), mais personnellement, moi qui m'y suis mise très en retard et qui ai pu lire tous les tomes à la suite, j'adore ! D'une part parce que l'auteur remet au goût du jour cette race oubliée et négligée que sont les Quincy, et d'autre part, parce que j'ai enfin accès à toutes les révélations que j'attendais depuis 4 ans ! (Depuis que j'ai vu l'anime pour la première fois...)
On sait maintenant pourquoi Ichigo a battu Zaraki dans l'arc Soul Society (car oui, Tite Kubo s'est trouvé une raison logique), on sait pourquoi ce dernier n'a vaincu Nnoitra que d'un cheveu, on sait pourquoi Ichigo ne gagne que tout juste quand il engage un combat serré. On sait enfin la vérité sur la famille Kurosaki – et leurs gènes sont pour le moins originaux !
Mon appétit est comblé.
Et surtout, je suis satisfaite de voir que l'auteur a fait l'effort de justifier les combats et les victoires d'Ichigo. Dans les shonens, c'est un classique : le héros affronte un méchant très fort, le bat, puis en affronte un autre encore plus fort, puis le bat, puis un autre encore plus puissant, etc. Il n'y a pas forcément de raison au fait que les combats soient de plus en plus ardus (Dragon Ball Z, voilà ton héritage !). Ici, non seulement ça enrichit l'histoire, mais en plus ça consolide sa crédibilité.

Parlant de ça, avant de lire cette suite, j'aimais bien l'univers de Bleach, mais le trouvai bancal. Pourquoi les Shinigamis ne traversent-ils pas les murs quand ils sont dans le monde réel ? Comment peuvent-ils marcher sur l'air ? Pourquoi c'était toujours le Hollow qui sauvait le héros et non Zangetsu ? Mais tout est expliqué… L'instabilité du pouvoir d'Ichigo, le peu de panache de ses shikai et bankai, jusqu'à la modification de son shihakushō (son vêtement). Ces failles scénaristiques n'en étaient finalement pas ! Je suis très contente de voir les capacités d'Ichigo évoluer encore (j'ai toujours été déçue par l'apparence son bankai).

Mais la meilleure révélation, pour moi, reste l'identité du premier Zenpachi ainsi que la scène de duel avec Zaraki. Comment croire qu'une femme aussi douce et empathique qu'Unohana ait pu être une criminelle de premier ordre ? Comment sa mentalité a-t-elle pu exercer une telle révolution qu'elle soit désormais experte en soins ? Et la relation qu'elle entretient avec le capitaine de la 11e acquiert une nouvelle profondeur que je n'aurai jamais pu soupçonner : entre admiration, rejet et dépendance. Ces scènes étaient incroyablement poignantes, et j'ai espéré jusqu'à la fin qu'ils s'en sortent tous les deux.
Évidemment, j'ai été déçue, à tel point que j'ai remis en question la stratégie de Kyōraku. Est-ce que ça valait le coup de se priver de la puissance guerrière d'un capitaine pour améliorer la force d'un autre ? Les Shinigamis ne sont-ils pas perdants, dans l'histoire ?

« Eh bien, peut-être pas tant que ça », me susurre ce 64e tome. le duel de Zaraki contre Gremmy dévoile l'étendue de son potentiel et m'épate littéralement. Je ne vous en dit pas plus, je vous laisse découvrir...

Alors certes, c'est un arc qui promet d'être encore plus vaste que celui des Arrancars. Les combats ont tendance à trop s'éterniser et se multiplier, mais les personnages qu'on connaissait depuis des lustres sont en train de mourir – c'est profondément palpitant ! L'empereur est quelqu'un de machiavélique et manipulateur, et pourtant tellement charismatique – sûrement à cause du fait qu'il ressemble tant à « Zangetsu ». Il est vicieux, mystérieux et impitoyable : je l'adore ! Mais je croise les doigts pour ne jamais me trouver face à quelqu'un qui lui ressemble dans la vraie vie…

Malheureusement, j'arrive au bout de ma réserve de chapitres, et il va bientôt falloir que je fasse comme tout le monde et que j'attende la sortie de la suite. Je crois que c'est maintenant que l'arc va devenir très long pour moi…
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Un tome avec des personnages super « badass » qui se font battre. Pour une fois, Yachiru et Kempachi sont en difficulté. Cela change. Même si le stern ritter Gremmy ne fait que passer. Il a su blesser mortellement Kempachi. .
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Les gens devraient arrêter de critiquer ceux qui ne savent faire que rêver, car à mon avis, ces derniers sont infiniment moins dangereux que ceux à qui leur imagination permet absolument tout.
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Il n'existe nul pouvoir plus puissant, en ce monde, que la force de l'imagination.
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Une baston qui laisse le temps de s'intéresser à autre chose qu'à son adversaire ne mérite pas le nom de « combat » !
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La beauté, c'est le néant.
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