Aphorism, tome 2

Hinata: Hakamada, viens par ici.
Hakamada: Hein? Maintenant?
Hinata: Tu vas aller là-bas, clamser un petit coup. Oups. Je veux dire... jeter un petit coup d’œil.
Hakamada: Tu veux que j'aille me faire buter?
Hinata: Ton sacrifice permettra de sauver tout le monde. Faut accepter son destin. Allez, à toi de jouer.
Hakamada: Tu y vas fort!
Momiji: Non, attends Hinata... Ne sois pas si abrupt avec Hakamada. Il n'en a pas l'air, mais c'est un froussard!
Hakamada: Tu peux parler, toi!!
Hinata: Réfléchis donc, bon sang! A quoi crois-tu qu'il serve d'autre?
Hakamada: C'est quoi, ces façons de parler?! Ne me prenez pas pour un rouleau de PQ, ok?!

Aira: Que... vous n'êtes pas bien ou quoi?! Il n'avait même pas fini de parler!
Les jumeaux: Peu importe. On sait qu'il a la clé, c'est tout ce qui compte. On la récupère et l'affaire est réglée.
Aira: Mais regardez tout ce sang qui coule!!!
Le dragon: Très bien... montrez-moi votre force.
Aira: Qu'est-ce qu'on fait maintenant?!
Les jumeaux (sans hésitation): On se le fait.

"La clé ouvrant cette porte se trouve dans mon corps. Vous devez user de vos talents pour la récupérer. Il y a deux méthodes possibles. La première consiste à utiliser la technique et la seconde la force. Technique ou force. A vous de choisir la façon de me vaincre."

Hakamada: Grrr! Je suis bien vivant, bordel! ça vous amuse de me mettre dans un sac mortuaire?! Un problème? / Hum... en fait... c'est grâce à ça...
Momiji: Tes poils de jambe...?
Hakamada: Mon signe, idiot!
Aira: Oh... le kanji de "ressusciter"... tu as donc le pouvoir de revenir à la vie! Je comprends mieux.
Hakamada: Et ouais. Bah, disons que... j'avais entendu que c'était un endroit dangereux ici. Je ne voulais pas mourir, bien sûr. Et donc j'ai choisi ce signe...
Momiji: Pas bête du tout.

Le dragon noir: Je ne suis pas le dragon qui impose une épreuve. Mon rôle consiste à punir les hommes stupides qui ont quitté le droit chemin. Abandonner tes amis t'a conduit à l'échec. Cette porte restera donc fermée à jamais.
Mamoru: Mais je n'ai fais que...
Le dragon noir: Meurs!