Dans ce tome 25, 7e de l'Arc Hadès nous poursuivons la partie « Inferno » avec son syncrétisme librement inspiré de "
La Divine Comédie" de
Dante Alighieri...
Force est de constater que le récit est largement consacré au drame vécu par Ikki du Phénix et Shun d'Andromède. Ikki se bastonne avec Eaque de Garuda, et dans une accumulation de tous les gimmicks éculés de la série nous assistons à un remake du combat contre Capella de l'Aurige ! Mais Sa Majesté Hadès convoque Ikki en Son Palais de Giudecca, ce qui laisse en plan Kanon des Gémeaux face à Rhadamanthe du Wyvern et Minos du Griffon... Et au Giudecca, nous assistons à un drame de qualité entre le grand frère qui souhaite libérer son petit frère, et le petit frère qui souhaite se sacrifier pour sauver son grand frère. Mais tout est gâché par une très incohérente histoire de boss à tiroir qui emprunte ses visuels à la saga "Alien" ^^
Donc Hadès maître de la mort, donc de la vie, a souhaité se réincarner dans le corps d'un être pur pour ne pas endommager et souiller son corps jugé parfait... C'est donc tout naturellement qu'il a choisi se prendre possession d'un guerrier pacifiste atteint du syndrome du martyr... Mort de Rire ! ^^
Pandore envoie Valentine de la Harpie enterrer Ikki au Cocyte avec Seiya, Aiolia, Milo et Mû, mais le Chevalier Pégase détenteur de l'armure divine d'Athéna ruse pour se faire libérer et tenter d'accomplir d'impossible !
Pendant ce temps Shakka et Athéna portés disparus depuis 3 tomes débarquent au Giuddeca, et cette gourdasse de Saori Kido demande au Chevalier d'Or de la Vierge de ne pas intervenir dans leur confrontation.
La narration est très théâtrale avec des personnages qui font et viennent d'un décor à l'autre, et dans cette configuration on a l'impression qu'on entre dans le Palais d'Hadès comme dans un moulin.